Le Bout du tunnel

Retour À La Terre

Sur terre les humains passent comme les feuilles: si le vent fait tomber les unes sur le sol, la forêt vigoureuse, au retour du printemps, en fait pousser bien d'autres; chez les hommes ainsi les générations l'une à l'autre succèdent.

Homère.

J'ai réouvert mes yeux après un petit saut, mal dormi, même si mes lucanres  ont reçu leur part de vertue ce ne fut pas le cas pour  mon esprit, j'ai l'impression que tout à été laissé derrière, un semblant de coup remplie par une  vélocité mélangeait à  une force qui vous vient de plein fouet accosteait vos  côtes.

8:30am

- meusieur s'il vous plaît on voudrait voir ce qu'il y'a dans vos valises.

La voix du douanier m'a prit de court, je me suis retourné pour donner l'image à son son.. Un homme dans la quarantaine, les yeux ridé bouffie par les cernes qui l'entourait, il était petit de taille, un ventre qui bondissant devant ça silohette, ses vêtements n'étaient pas repassaient,  une certaine négligence disons ...
Finalment rien n'a changé ici je vois que même dans le fameu nouveau aéroport d'Alger la méthode d'admission est toujours la même.
Je me suis dirigeait vers lui, tout en daignant à ne pas lui montrer mon aggasement.. .. Ici c'est toujours comme ça si vous êtes différent des autres on vous remarquera et on s'intéressera à vous peut importe la manière et l' intention avec laquel on y accède.

-Bonjour monsieur..
-Bonjour, vous avez l'air fatigué monsieur le voyage était fatiguant à ce point me dit il avec sarcasme... , avant d'ouvrir vos baguage, donner moi votre passport s' il vous plaît.
-effectivement j'ai très mal dormi, lui ai-je répondu tout en lui donnant mon passport.

La vu de mon nom l'a nettement flancher, j'imagine que mon nom ne lui semble pas des inaperçu,sa machoir s'est rétrogradé, et voilà qu'un visage curieux laisse place à un visage falcifiait..

- vous auriez pu me le dire dé le début, monsieur younes, je suis désolé pour ce dérangement, tennez votre passeport et passez une bonne journée.
-vous dire quoi ? , je vous ai laissez faire votre trvaille c'est tous.
Je vous souhaite une agréable journée à vous aussi.

J'ai repris mon passport, je voyais le regard perplexe et sceptique qui me scrutait, j'imagine sans doutte qu'il se pose beacoups de questions en ce moment même.

Après avoir dépassé les contrôles de l'airport, tous ce que je voulais était un endroit où je pouvais allumé ma clope.
J'ai pressé le pas vers la sorti, et la j'aperçois une tête que je connais très bien.
Mustapha

Cette homme la était comme un deuxième père pour moi, d'ailleurs c'est avec lui que j'ai passais le plupart de ma jeunesse, il était tout le temps la pour nous,........ Nous surveiller, aller nous  déposer puis nous  chercher de l'école moi et mon grand frère , .. Mais aussi à me conseiller quand j'en avais le plus besoin, sans autant à lui raconter quoi que se soit, j'imagine que j'étais comme un fils pour lui aussi, la gentillesse et la douceur de son cœur n'ont font aucun doutte.
Contrairement à ce que je m'attendais il n'a pris aucune ride, toujours sur la selle en le regardant je sens que c'est moi qui a prit un coup d'âge, comme si la court de la vie ne s'appliquait qu'à moi.

-Mustapha... J'ai posé ma valise, il était sidéré mais aussi ému à la fois de me voir, ça fait si longtemps
-viens dans mes bras fiston.
Tu nous a énormément manqué weldi, tu es devenu un homme à ce que je vois
-vous aussi Mustapha, ça me regouit de voir toujours  cette pêche en toi..dis donc tu va me donner le secret ou tu compte le garder pour toi ?

.. un sourire généreux fut dessine sur son visage

- il n'y a pas de secret mon fils, ou disant que le secret fut révéler il y'a bien longtemps.. la paix intérieur ne s'accomplie que lorsqu'elle trouve son dieu, dénia que veux tu.. Enfin je ne veux pas te remplir la tête avec ça, j'imagine que tu es fatiguè par voyage ainsi que les événements qui sont arriver d'une manière brutal allons au parking une voiture nous attends dehors.
-oui, Mustapha accorde moi un moment, je dois passer un coup de file, je te rejoins dans le parking dans un moment.
- je serrai dehors dans une scoda noir, tiens ce téléphone, il y'a une puce dedans, j'imagine que ton père  ne t'a pas expliqué le programme quand tu étais à Paris ?
-malherusment non, j'ai pas eu le temps de lui parler au téléphone il semblait pressé.
-il y'a de quoi mon fils.. Nous allons partir le voir, la ou une autre voiture t'attends tu dois prendre la route sur Oran.
-Oran  ?
-oui, je sais ça semble bizarre, tous serra plus claire une fois à la maison, ton père t'expliquera tous .

Les questions s'adraissent dans mon esprit  comme une avalanches de flèches dans un combat du moyen âge.
Décidément, mon père n'a pas changé, encore une fois je me retrouve toujours dans un tourbillon quand il s'agit de ses affaire ou les affaire du pays comme il le dit si bien.

Je suis parti dans un coin assez cacher, j'ai pris ma boîte à cigarette, hâtif j'ai allumé ma clope et pris ma première bouffé d'air pour réaliser tous ça,  biezarment tous ce qui me traverse l'esprit maintenant c'est un vide seul l'air de ma terre natal se bénissait en moi après tous ce n'est que dans la terre mère qu'un cœur retrouve son battement.