"𝙴́𝚕𝚞" {Les mystérieuses cités d'or}

"Jeu cacher"

Bonjour!

(Ou bonsoir peut importe)

Me voilà donc avec une nouvelle partie, qui j'espère vous plaira!

Pour ceux qui se posent la question, oui je n'appelle pas mes publications des chapitres. Car, pour moi, un chapitre n'est pas aussi court que les parties.

Cependant, j'écris un livre depuis quelques mois, sortie tout juste de mon imagination! Et j'en suis bien fière! Qui comporte des chapitres donc. Un jour je le posterai. Car cela me tient à cœur et que c'est ma première histoire entièrement de moi.

J'en suis déjà à une vingtaine de pages virtuelles!

Bien je vous laisse avec la suite de "Élu" maintenant.

→Edel

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"Où sont Esteban et Tao?"

La question de la jeune femme resta à un moment en suspens dans l'air.

Le silence des rues déjà vide de si

bon matin, devenait de plus en plus silencieuse.

Le groupe ne prononçait pas une parole.

"Esteban et Tao?"

La dernière fois que les espagnols les avaient vus, ils avaient l'air déboussolé et enfoui dans une profonde tristesse.

Laguerra, finalement, décida de tout dire à Zia. Après tout, vu son caractère solide, elle ne s'en voudrait pas trop.

«Ils ne sont pas à Barcelone, du moins pas pour l'instant. »

Mendoza la coupa dans son élan de parole, lui agrippant le bras.

Ce n'était ni le bon endroit, ni le bon moment.

Il fit signe à Zia et les autres de le suivre à l'intérieur de la taverne, encore vide à cette heure-ci.

Rico s'était occupé de jeter les derniers ivrognes dehors.

Ils s'assirent à une table quelconque.

Rico sortit de derrière le bar, et les salua. Un grand sourire au lèvres, heureux de revoir la jeune inca.

Le tavernier reprit son occupation derrière le bar, pendant que le groupe ne disait mot.

Mendoza, poussa un long, très long soupir avant de prendre la parole.

Zia regardait tour à tour ces amis, arquant un sourcil.

«Esteban et Tao ne sont pas ici, à vrai dire, nous ne savons même pas où ils sont. »

Laguerra continua le monologue.

«Il y a six ans, un mois après ta disparition ou, nous et eu passions notre temps à te chercher, ils prirent une décision.

Un soir, ils nous expliquèrent qu'ils avaient comme idée de te chercher, mais seul. Esteban et Tao voulaient que Mendoza et moi, vivions notre vie de couple, et que Sancho et Pedro retournent en Espagne, leur racine. »

Laguerra marqua une pose, ou Mendoza reprit.

«Nous n'étions pas d'accord. Nous ne voulions pas les laisser.

Mais, le lendemain, le soleil à peine levé, ils étaient déjà partis avec le Condor.

Après ça, nous n'eûmes plus de nouvelles.