Drogo (Tome1)

41.la bête.

Point de vue de Maylis

Si le fait d'accepter la condition de Caroline ne change rien pour moi, je vous avoue que moi seul réalise ce que j'ai fait.

On est tous a se faire une soirée comme si de rien était et pourtant.....

Drogo ne me quitta jamais et le liens que nous avons se fait sentir mais tous ont oublier un détail.... La bête, cette même bêtes qui m'a fait plonger dans un retrait du monde et m'avait appris a lui faire confiance, voir même a l'aimer .cette bête qui me laisse faire si je peux dire une vie social, je me blinda totalement et ce de manière a ce que personnes ne puisse sentir mon malaise,

Oui. La bête était sage mais pas rassurée par tout cette agitation a ses côtés. J'avoue avoir également du mal, pendant la partie de chasse, c'est en tant que bête et animal que je chassais. Maylis n'avais pas de raison de chasser , seul la bête avait droit de vie ou de non mort sur moi .

Si personnes ce soir n'a réussit a comprendre mon véritable fond , je me rendis vite compte que tromper une race de personne était simple et un jeu d'enfants.

Pendant la soiree, je du faire face aux multiples regard de Klaus, lui savait, lui seul ressentait la profondeur de cette bête, mais il fut de bonne composition et se tût face a cette vérité.

Aux yeux des autres, il avait ignoré mais en réalité ses message en pensée que seul nous deux possédions, était clair,

Klaus en pensée a la bête: protège la d'elle même, elle a besoin de toi. Et a confiance en toi .

Ce que Klaus ne savait pas est que la bête sous ses airs de brutes épaisses et sanguinaire était totalement incomprise, et cela elle comme moi Fûmes vites au courrant qu'il était dangeureux de tout dire aux autres races.
Mais j'avais un autres problème et de taille, les paroles de Drogo concernant Hope me restèrent gravés en mémoires, cette même mémoire qui peut vous faire basculer en un claquement de doigt. Nous devions rester tous ensemble mais la bête réclamait sa tranquillité , ce fut trop d'agitation pour elle . Et j'allais l'aider a mieux se sentir, la soirée battait son plein et je me leva. Personne prêtait trop attention. La bête regarda par cette fenêtre qui lui donnait l'impression d'être retenue prisonnière, mais l'étions nous vraiment prisonniers?.
Je décida alors d'ouvrir cette même Fenêtre et me hissa sur le meuble afin de rejoindre notre bulle de sérénité. Une fois dehors nous respirâmes tout deux a pleins poumons et savourions ce moment, mais il ne fallait pas rester là . C'est alors que j'opta pour le garage, on se rendit ah garage qui collait la maison et avec la bête. On s'y engouffra.

Je laissa la bête sortir de mon corps tel un prisonniers qui redécouvre sa liberté. Et la seul chose dont la bête aspira était dormir .
On se mis alors sur morceau de tissus en guise de matelas et l'on se mis en boule et le sommeil nous pris.
Malgré le fait de dormir, il y avais toujours un sens Éveiller tel un gardien qui garderai un trésor dont son maître lui avait  confié cette tâche.

Du bruit se fit entendre et nous fîmes toujours semblant de dormir mais la bête est fourbe et sous ses poils et son blindage psychologique, elle était en alerte, nous n'étions pas seul. Et nous patientions sur le fait d'agir au bon moment. Les bruits de pas si léger , si discret, limite un être normal n'aurait rien  entendu se rapprochait de nous et nous savions a écouter les respiration qu'ils étaient quatres.
Quatres personne venu troubler le repos de mon ami, et pourtant,On devaient subir et se rendre à l'évidence : étions nous devenu des animaux de compagnie?

Klaus parla doucement: elle ne dors pas .

Caroline: tu le vois bien elle dort.

Klaus: n'approchez pas, laissons les ,ils ont besoins de calme et de solitude.