síճҽ́ɾíҽ

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Steve et Bucky atterrissent en Sibérie, devant l'ancienne base d'Hydra.

Bucky va dans le tiroir de Natasha Romanoff et prend un fusil. Puis Steve et lui descendent.

Steve : Tu te rappelles la fois où on a dû rentrer de la plage dans un camion frigorifique ?

Bucky : C'était pas le jour où t'avais dépensé l'argent des billets de train pour t'acheter un hot-dog ?

Steve : C'est toi qui avais dépensé 3 dollars pour gagner une peluche pour une rouquine ?

Bucky : Comment elle s'appelait ?

Steve : Dolores. Tu l'appelais Dodo.

Bucky : Elle doit avoir 100 ans, aujourd'hui.

Steve : Comme nous, Bucky.

Il tape l'épaule de Bucky.

Ils sortent et se dirigent vers la base. Ils remarquent la porte ouverte.

Steve : Il doit avoir quelques heures d'avance sur nous.

Bucky : Ça lui a laissé le temps de les réveiller.

Ils entrent et prennent un ascenseur. Ils arrivent dans un couloir et ils avancent prudemment. Ils montent un petit escalier quand ils entendent du bruit derrière une porte.

Steve : Prêt ?

Bucky : Ouais.

La porte de l'autre côté du couloir s'ouvre sur Iron Man, qui lève son masque. Audrey le suit de près.

Audrey : Tu sembles sur tes gardes.

Steve : J'ai eu une mauvaise journée.

Tony regarde Bucky.

Tony : Détendez-vous, soldat, c'est pas vous qu'on cherche.

Steve : Alors, que faites-vous ici ?

Audrey : Bah, il se pourrait que ton histoire tienne la route. Il se pourrait. Ah oui, Ross ne sait pas qu'on est là, c'est préférable. Sinon, on serait obligé de nous arrêter nous-même.

Steve : Oui, ça risque d'entraîner des formalités.

Steve baisse son bouclier. Audrey enlace Steve.

Steve : Content que vous soyez là.

Tony : De même.

Tony regarde Bucky qui tient toujours son fusil droit sur lui.

Tony : Bon, le tireur embusqué là, ça va, c'est bon, y a une trêve, tu peux baisser ton...

Steve fait signe à Bucky et ce dernier baisse le fusil.

Ils continuent à avancer dans la base. Mais sans savoir que Black Panther les suit.

Ils arrivent dans la salle où se trouvent les hibernés.

Tony : Je détecte des traces de signatures thermiques.

Steve : Combien ?

Tony : Euh... Une.

Ils arrivent dans la salle et les lumières s'allument. Ils voient les tubes.

Soudain, la voix de Zemo leur parvient dans les haut-parleurs

Zemo : Si ça peut vous rassurer, je les ai tués dans leur sommeil.

Ils avancent vers les tubes et, en effet, ils sont morts, un éclat de balle dans le tube et un trou au milieu du front.

αѵҽղցҽɾs : ճɾҽαk մթOù les histoires vivent. Découvrez maintenant