À quoi pensez vous ? Non ça ne l'es point. Ni une histoire, ni un conte et encore moins une raillerie. Vous pouvez l'appeler l'ŒUVRE car voilà ainsi son nom. Une œuvre dont les racines sont encrées dans un velouté de paix, de mépris, de trahison, de bonheur, de...et...Ne soyez donc point gourmand car vous saurez ce qui est dû de savoir et dont vous avez déjà connaissance. Où ? De quelle façon immergé l'encre si pesante de ce navire d'idée et de passions qui ne demande qu'à naviguer sur les doux flots d'une imagination subtilement affinée par la meule du savoir,de la volonté et de la conscience ?Attention, mesdames et messieurs notre navire vient d'accoster. Accoster??Mais où ?? Nous ne le savons guère mais baptisons cette terre Afrique car voilà ainsi fait le choix de destination de de cette déesse, guide de notre traversée imaginaire. Déesse se nommant « pensée ».
Nous voilà explorateurs vous et moi de cette Afrique aux forêts luxuriantes, aux déserts de sable ardent, à la douce fraîcheur des eaux ruisselantes et regorgeant de vie. Une Afrique au sol fertile grouillant tel le cerveau de neurones de magnifiques métaux et pierres précieuses.
Le couché de soleil se faisant ressentir nous établîmes immédiatement un campement à la hauteur de notre imagination pour une première nuit sur cette terre qui espérons le se révélera porteuses d'intrigues.
Le lendemain très tôt,nous sommes au taquet prêt à embarquer dans ce tourment de réflexions. Nous avancions d'un pas très pressé et méticuleux dans ces jungles d'Afrique aux bois robustes et aux dangers attractifs et exaltants.
De nombreux trésors s'offrirent à nous, mais dont nous ne prêtions importance et désir car ceci nous étant déjà attribué de par mère nature. Des semaines passèrent, des semaines de fantastiques découvertes et rencontres avec les majestueuses créatures animales maîtres de ces lieux.
Puis un matin « le toucher ». Une expression cause de notre premier contact avec des autochtones. Ce fût un touché des plus saugrenus qui nous fîmes rendre hommage à notre déesse. Ainsi entrée en contact avec une tribu que nous choisîmes de nommé « Imman »tout simplement par cause de son attrayance quoique très prononcé pour les longues baignades dans les rivières d'eaux douces et argentées. À la rencontre des Imman nous comprîmes bien vite que cette tribu enfant d'Afrique se brodait de mœurs assez légère et de pratiques occultes opprimantes de leur personne. Une tribu ce caractérisant par une quasi inexistences d'ambition , cause de leur routine à se prélassé dans les cours d'eau. Néanmoins c'est une tribu qui su se montrer d'une courtoisie exemplaire comme le fît cette terre d'accueil. En entrant dans leur tribu bons nombre de choses nous choquèrent de façons brutales mais ce fût à la vue de monuments érigés à la gloire de..(choque) à la gloire de..( étonnement) à la gloire de babouins. Babouins auquel sont attribués de vastes domaines et tant de sacrifices.
En effet, voilà un mois passé en leur sein, un mois de pure débauche, un mois de mimétisme, un mois de fratricides,un mois de.....et puis merde , un mois de soumission accrue et agaçante envers les babouins soit disant demi-dieux de ces misérables Imman, honte de cette terre Afrique. Tout un supplice à nos sens d'explorateur de l'imaginaire. Après ce long moi éprouvant la décision fût prise de déserté les Imman. Après tout nous ne sommes que simple passagers férus de découvertes. Durant cette suite de trajet nous découvrîmes des chaînes de montagnes aux sommets lointains tapis dans une épaisse brume
En s'enfonçant de plus en plus dans cette terre et au delà des déserts de sable aux cent et un cristaux étincelants nous tombâmes de manière subite sur une autre tribu identique du point de vue physiologique à celle des Imman.
Nous l'appelâmes <Kôkô > suite à la vue de l'amour indéfectible que ce peuple avait pour les noix de coco. Noix envers lesquelles cette tribu nourrissait une volonté farouche à en extraire le doux nectar, témoignage d'un peuple doté d'une ambition et d'une ténacité telle la robustesse d'un diamant. Les kôkô avaient les uns pour les autres un amour si prononcé qu'on les auraient pris tous comme formant une et même chair. Un peuple d'un dynamisme admirable,d'une compréhension et d'un respect vénérable de leur milieu de vie. Nous nous y sentions merveilleusement bien. Loin du mimétisme des Imman, les kôkô , peuple sage ont sues préserver la nature intrinsèque de leur personne. Force, courage, abnégation... voilà quelques unes des qualités transcrites dans le flux de sang de ces braves. Une société droite, admis à accomplir de prodigieuses prouesses et dont supplications et interrogations se portaient vers un et un seul être dit « le SUPRÊME ». Ce Être majeur était considéré par les Kôkô comme l'essence de toutes choses. Pour ces croyants, le SUPRÊME s'incarne tant bien dans la fraîcheur des eaux, l'étendue des océans, que dans la richesse du sol et du souffle du vie dont ils sont imprégnés. Le SUPRÊME est pour les kôkô l'expression la plus ardente de l'amour, autrement dit le SUPRÊME est l'Amour par excellence.
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L'ŒUVRE
Short StoryUn miroir d'idée exposant deux Afrique totalement contraire aux mœurs opposées. Ceci est un éveil de conscience, une prise d'élan.