4.
ALEX
En rompant avec Camilia, j'ai cru qu'elle et son chien de poche, Isabella, allait enfin me lâcher les baskets.
Faut croire que j'ai eu tord depuis le début...
Cam' reste autant collante et énervante qu'avant - voir même pire -, et Isa autant stupide et puta.
Elles serront toutes les deux dans chacuns de mes cours ces trois prochains mois, sauf un, le seul où el perro fardero n'est pas avec moi. Malheureusement, il y a encore cette stupide Camilia qui participeras dans le cours de Littérature Mondiale.
- Bonjour, je me présente, je suis M.Williams, votre professeur de Littérature Mondiale pour ce trimestre. Je vais aussi l'être pour le restant de l'année, mais cette décision vous appartiens complètement ; si oui ou non, voudrez vous restez dans ce cours? Aujourd'hui est votre première heure ici, alors autant y aller doucement, n'êtes-vous pas d'accord?
- Oui, répondis quelques élèves par-ci par là.
- Bien. Je vais vous passer un petit questionnaire à remplir avec un serieux absolu. Veyez, s'il vous plaît, éviter les réponses stupides ainsi que les lignes blanches.
Vous avez tout le reste du cours afin de le compléter, et c'est à me remettre avant de partir. À vos crayons!
Je retourna la feuille, et vis en caractère gras sur le haut de la page : QUESTIONNAIRE, MOI ET MOI-MÊME par Hoodley Williams, professeur de Littérature Mondiale de dernière année.
Je griffonas mon nom au bas de la page, et ouvrit enfin le document.
Un coup d'oeil à gauche,
Un coup d'oeil à droite...
Merde, alors!
Les autres élèves on déjà commencer sans se plaindre.
Je tourna, retourna, tourna, retourna, les pages, puis regarda le prof, assis calmement à son bureau.
Décisément, ce n'est pas une blague.
60 questions à propos de notre vie!
Bah oui, comme si j'allais écrire sur cette stupide feuille au numéro 23 :
Non, je ne suis pas membre d'un gang, mais je fais à-croire que oui. Oui,j'ai déjà tué, et j'ai faillit en tués plus d'uns.Oui, j'ai déjà ressus des balles sur mon corps.Non, je ne vais pas arrêter de tué tant qu'il sois encore en vie.Normal, non?
Bah voyons.
- M'sieur?
- Levez votre main monsieur...Péna Soua-aréz, je viendrai personnellement à votre bureau afin de répondre à votre question.
Je serra les poings.
- Tout d'abords,c'est Pena Suarez, et deuxièmement , j'en ai rien à foutre de lever mon bras et d'attendre gentillement que vous vennez me voir. Donc, ma question es : Qu'est-ce que ça fait si je répond pas à aucune de vos putains de questions à la cons?
- Règle numéro un dans ma classe : aucun jurons et manque de politesse envers moi et vos camarades. Si cela ce reproduit, je serai contraint à vous envoyez chez le bureau du proviseur, ou sinon de vous donnez une copie de 500 mots sur La Politesse À L'école Secondaire Fairfield.
- J'en ai rien à...
- Écoutez, jeune homme. Ceci est votre premier et dernier avertissement. Dans cet établissement, la politesse est une règle à respecter peu importe les conditions. Sois dit-en passant, jurer et faire de l'attitude ne vous amèneras pas plus haut que la racine de vos cheveux, alors autant vous plier aux règles et bonnes conduites dès maintenant.
- Franchement, je suis à court de mot, Monsieur! Qui êtes-vous pour juger mon comportement et dicter la conduite parfaite que j'ai besoin d'avoir? Non, mais est-ce que vous vous foutez de moi!
- Je suis nul autre que votre simple professeur de Littérature, jeune homme. Il es en mon devoir de vous apprendre cette matière, ainsi que de vous amenez sur le droit chemin. En outre, j'ai également l'obligation de me souciez de votre comportement ainsi que language, afin de m'assurer que vous ne dérapez pas. Le pourquoi du comment de ce questionnaire; j'apprend un peu mieu à vous connaître, pour mieux vous aidez. Certes, en dehors de Fairfield, vous êtes amplement en contrôle de vous même; ce qui veux dire que si vous désirez agir en véritable voyou sans aucun respect et faire comme si la vie vous appartenait et que vous faites la loi, eh bien, faites-le! Mais ne soyez pas surpris si plustard, vous êtes toujours sur la touche départ.
En voyou? En voyou?! Il se fout de ma gueule, c'est clair!
Je serra les poings encore une fois, puis dis tout simplement :
- Vous savez quoi? J'me barre, sa vous faciliteras la tâche.
- Psst, Alex, reste s'teplaît! Fait pas ça!
Une main se posa sur mon bras; celle de Cam.
-Touche moi pas, p'tite pute!
Et sur ceux, je claqua la porte sous aucune autre parole, aucune objection de la part de ce bâtard. En gros, sans même qu'il m'es empêcher de foutre le camp.
***
19:35 PM
Mamá es partit travailler il y a moins d'une heure, et mes petits frères sont à la maison, sois en trein de se battre, sois en trein de bouffer au grand complet le restant de nourriture qu'il y a dans le frigo. Quant-à moi, après être partit en trombe du cours de señor Williams je suis aller me poser dans un terrain de foot, à moitié inexistant, dans mon quartier. J'ai tirer, tirer, tirer, tirer, tirer et encore tirer dans le but. Puis ensuite, j'ai dribler, dribler, bribler, dribler, dribler et encore dribler jusqu'à 17:00 PM. Arriver à la maison, pleins de sueur, mi'amá m'a engueuler pendant près d'une demi heure, parce qu'elle avait reçu un coup de fil venant de l'école, disant que j'ai été absent tout le reste la journée. Ces enfoirés, j'vais leurs niquer leur race. Maintenant, je suis sur le haut d'un très,très vieux bâtiment, et je fait des pompes. Oui, des pompes. J'ai enchaîner aussi quelques jabs/directs/crochets/uppercuts dans le vide, avant de m'assire, les jambes pendantes vers le bas.
Le soir, ici, tout es absolument magnifique; la vue au loin des quartiers riches, les lumières, les sirènes de polices, etc. Bientôt, on entendra de la musique typiquement brésilienne, batant au maximum dans le quartier sud du Colorado.
Mierda, qu'est-ce que je donnerai pour que tu sois assis avec moi, en ce moment, papá..._______
Voilà! Alors? :)
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Dark Blood
Romance《 Pour moi, t'aimer signifiait la même chose qu'un soldat se préparant à aller à la guerre; je ne reviendrai probablement plus jamais la même. Mais, tu sais quoi? J'en avais strictement plus rien à foutre à ce moment là. 》, dis-je avant de tourner l...