OS The Untamed / Alternate Universe

🔥4| Prince de la Nation du Feu Wei Ying et le Maître de l'Eau Lan Zhan

(OS inspiré par le dessin animé Avatar le Dernier Maître de l'Air. Même si Wei Ying devrait clairement être l'Avatar, là, il est le Prince de la Nation du Feu parce que, parce que... Parce que, avouez qu'il serait carrément sexy avec le costume de Prince de la Nation du Feu 😍🤤)

Wei Ying, de son sombre regard séduisant, resplendissant, toisait, sublime, superbe, le Lan qui demeurait à terre. Celui-ci, ses délicats, fragiles genoux à terre, se faisait violence pour ne pas laisser son corps endolori par les vives blessures de son terrible, cruel amant resplendissant tomber dans un violent fracas qui dénoncerait sa grande faiblesse, annonçant ainsi sa défaite.

Le sang ne cessait de rouler, dans une douce et cruelle caresse douloureuse, alanguissante sur sa fragile chair opaline. Sa fine et délicate main reposant sur le pommeau en argent finement ouvragé de son épée Bichen, le beau visage aux sévères traits glacés de Lan Zhan resplendissait, une fine pellicule de sueur venait faire briller avec douceur ses fragiles traits de glace. Quelques perles salées écorchaient, dans une lente caresse cruelle, les délicats contours de son séduisant visage à la douce apparence sévère, stricte, impassible. La douleur, la fatigue vint s'inscrire avec douceur, tendresse sur le séduisant visage glacial du Lan.

Wei Ying, notant combien son amant était devenu si faible face à lui, laissa un ravissant sourire malicieux étiré ses tentatrices et délicieuses lèvres. Ses doux yeux de biche à l'éclat de noisette luisait d'espièglerie tandis que, d'un suave pas voluptueux, il se dirigea face au Lan dont l'impassible et beau regard insensible demeura bas, ses fins yeux mordorés reposaient sur une amulette. Une amulette finement ouvragée, joliment forgée dans un pur or qui prenait la forme d'un majestueux phénix, un rubis à l'éclatante lueur rougeoyante en était le corps, jonchait le poussiéreux sol poudreux semblable à de la terre sablonneuse colorée d'une puissante teinte rouge, presque d'une violente couleur d'argile.

Ses longues et fabuleuses jambes s'abaissant avec lenteur dans une alanguissante et suave sensualité aussi gracile que voluptueuse, le magnifique, magnifique et maléfique Wei Ying prit, de ses fines mains délicates, l'amulette joliment forgée. Dans un vif geste empreint de majesté, le sublime Wei leva son puissant bras vers la voûte céleste, incendiée par les flamboyantes plumes des Phénix, devenue d'une ardente et dorée teinte carmin. Le rubis étincelait de milles feux, les rayons vermeils de la dorée lumière pourpre, écarlate se reflétaient dans la pierre précieuse sanguine. Les zélés yeux enflammés, qu'un feu dévorant incendiait, des Phénix se virent  éclairés de ces embrasés reflets violents, impétueux. Même les doux yeux de biche du beau Wei Ying étaient dévorés par ces ardentes et puissantes flammes.

Son visage, magnifique visage, était délicieusement tordu par la rage, une suave rage violente qui, ne seyant que trop bien à ses traits délicats, ne faisait que magnifier son joli minois. Son sombre regard séduisant se reposa sur le Lan dont les reins s'enflammèrent. Et, il était pratiquement sûr que cet impétueux feu ne venait pas du fiévreux désir ardent qu'il ressentait pour son ravissant amant terrifiant qui n'était que plus beau, plus resplendissant, plus lumineux encore. Ses ensorcelants traits d'une délicatesse fine, pure voyaient leur vénusté envoutante s'intensifier lorsqu'ils se crispèrent d'une tendre férocité qui ne le rendait que plus troublant, plus désirable, plus superbe que d'ordinaire...

Ses ravissants traits, tordus dans une rage qui ne le rendait que plus séduisant encore, il abaissa l'amulette d'or dans un vif mouvement, son puissant bras retomba dans une impétueuse grâce le long de son plaisant corps, Ses fins sourcils bruns, superbement dessinés, se froncèrent dans une tendre minutie. Ses irrésistibles lèvres pareilles à un sublime mais fragile bouton de rose demeurèrent closes en ce délicat et séduisant bourgeon.

— en avant ! s'écria-t-il, d'un impérieux ton, aussi superbe que dangereux.

D'un brut mouvement triomphant empreint d'une violente majesté, d'une splendeur ardente, il leva son puissant bras droit, sa flûte longue sculptée dans du sombre bambou entre ses fins et délicats doigts.