Tout est expliqué dans le titre... Quelques histoires sur Peter, les Avengers, ses potes et ses ennemis (et vraiment beaucoup de Irondad, voire que ça). Elles n'ont pas de lien les unes avec les autres, je fais un peu ce que je veux avec le moment o...
En farfouillant dans les papiers de son labo, Tony tomba sur un vieux journal dont la une l'accrocha. Il s'appuya sur un meuble et ouvrit le Daily Bugle à la page 3.
Enfin une explication scientifique au phénomène des âmes-sœur ! Le Dr. Reed Richards répond à nos questions.
Daily Bugle : Alors, doc, de quoi s'agit-il exactement ? Reed Richards : Eh bien, vous savez que depuis trois semaines, la population humaine s'est vue affichée d'une nouvelle capacité à son actif : sur le corps des humain(e)s s'inscrivent des cicatrices en tout genre, simples coupures, marques ou plaies, mais qui ne sont pas les leurs. Chaque homme et femme de la planète est en réalité relié à une autre personne et ce, sur tout le globe. Les cicatrices appartiennent aux gens auquel les personnes sont reliées. Daily Bugle : Pouvez-vous nous en dire plus ? R.R. : Pour l'instant, mon équipe a dénombré deux types de liens : le lien agapique entre deux personnes amoureuses, et le lien oïkonique, un lien familial, par exemple entre une mère et son enfant. Les humains reliés ensemble sont appelés âmes-sœur. Daily Bugle : Est-il possible de communiquer avec son âme-soeur ? R.R. : Cela est bien possible, et se la manière la plus simple qui soit : il suffit d'écrire sur une partie de son corps, par exemple le bras, et l'âme-soeur verra le message sur son propre corps.
Tony regarda par curiosité la date de parution du journal : il était vieux de plus de deux ans. "Ce Richards avait fait des bonnes déductions à l'époque, je devrais peut-être lui passer un coup de fil." pensa-t-il. Puis il laissa de côté le journal et reprit la construction de son énième prototype d'armure Mark.
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Alors qu'il passait l'hologramme tactile autour de son avant-bras, il prit conscience d'une sensation d'engourdissement au côté droit. Il éteignit la projection et observa son bras. Peu à peu, il lui sembla distinguer des petites marques, comme des traits ou des coupures de quelques centimètres, apparaître sous ses yeux.
Les traits se multipliaient et il n'en comprenait pas la cause. Ce ne fut que quand l'une des marques devint rouge sang que cela le frappa.
Oh non...
Tony se précipita vers le meuble le plus proche et fit table rase des plans inutilisés. Enfin il trouva ce qu'il cherchait. Il remonta sa manche gauche et écrivit sur son bras à toute vitesse.
Arrête ça ! pouvait-on lire au bic noir. Tu es une trop belle personne pour te faire ça.
Puis le message disparut. Tony croisa les doigts pour que le ou la destinataire ait reçu cela.
Après quelques secondes qui parurent des siècles, une écriture un peu ronde s'inscrivît timidement.
Si vous me connaissiez, vous diriez le contraire, disait amèrement l'être humain de l'autre côté.
