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PDV de la jeune femme :

Je courrais sans but précis, je n'ai plus aucun de souvenir de qui je suis et qu'est ce que j'ai pue faire par la passée, comme seul indice un morceau de papier avec une adresse à la Nouvelle-Orléans. Selon le bout de papier, il s'agirait de l'adresse de mon père. Je ne sais même pas ou je suis mais je finirais bien par trouvée la sortie de cette immense foret. J'ai hâte de commencer ma nouvelle vie enfin je crois. Comme un Phoenix, cette nouvelle-vie est une sorte de rédemption pour mes actions passée.  

PDV Externe : 

Le feu de l'espoir animait la jeune femme qui c'est faite la promesse de toujours être heureuse, du moins quand elle le pourras. Elle courrait toujours et suivait le hasard. Des milliers de Kilomètres plus loin, l'endroit qu'elle avait fuit quelques heures auparavant, un homme, son sauveurs était étendue gisant dans une flaque de sang, son sang. La jeune femme aurait voulue le sauver mais cela lui était impossible, elle veut tenir la promesse qu'elle lui as faite est pour cela il faut qu'elle reste en vie, en retournant le sauvée, elle aurait périt. 

Elle arrive sur le bord d'une route et c'est de là que débute sa rédemption. Elle fessait du stop attendant impatience l'arrivée d'une voiture. Elle n'avait pas complètement perdue la mémoire, juste oubliée son identité et sa vie passée mais pas l'époque d'aujourd'hui.

Cela fessait presque 2h qu'elle patientait sur le bord de la route. Elle commençait à perdre patience mais pas espoir. Son estomac criait famine et ces yeux fatiguée essayaient de rester ouvert, ces pieds tremblaient eux aussi de fatigue. Maintenant, elle marchait sur le coté de la route, attendant un signe de vie extérieur. 

Au loin, sur le bitume, un bruit de moteur retentit. La femme se retourne, sourire au lèvre est aperçois une voiture au loin. La voiture se rabat sur le bord de la route et le ou la conducteur/trice fait signe la jeune femme de monter. Celle-ci ne se fit pas prier et accourut au coté de l'engin. CLIC, la portière du coté passager fut déverrouiller et elle monte à bord. Le conducteur était un homme de couleurs au sourire joueur et inquiet.

- Je vous conduis ou belle demoiselle ? dit-il gaiement

- Merci, je souhaiterais allez à la Nouvelle-Orléans, s'il vous plaît.

- Quel coïncidence, c'est justement là que je comptait me rendre. Tutoyer moi, je ne suis pas si vieux que sa. 

Elle hoche la tête et à cette instant son estomac refit son apparitions. Oh non, c'est trop gênant. pensât-elle. Le rouge lui montas au joue et l'homme en sa compagnie rigole doucement.

- Vous devez avoir faim pour qu'il crie ainsi. Depuis quand n'as tu mangée ? 

- Je n'en ai aucune idée, dit-elle en essayant de se souvenir

- Hmm, comment t'appelle tu ? demande l'homme l'air pensif

Elle hésite à lui répondre. 

- Tu peut me faire confiance, je ne te veux pas de mal. répondit-il voyant son hésitation

- J'ai perdu la mémoire, chuchote-elle en baissant la tête pour essayer de cacher ses larmes

L'homme parut triste pour la jeune femme puis il la regarde et répond.

- Moi c'est Marcellus mais appelle moi Marcel. Je t'aiderais, je suis sure que l'on retrouvas ton identités, je te le promet.

Elle parut terrifier à cette idée et tourne la tête de gauche à droite.

- Non. Je ne veux pas savoir, s'il vous plait

- Pourquoi donc ?

- J'ai peur. Peur de mon passée même si je ne le connais pas, je veux "crée" une sorte de nouvelle moi comme une renaissance.

L'homme lui fit les yeux rond. Marcel aurait adoré résoudre ce mystère mais même sans l'avis de la belle inconnue, il cherchera.

Ils venaient d'arrivée en ville, Marcellus en avaient profité pour manger avec la femme, la soigner et lui acheté des vêtements convenables. Ils étaient devenues meilleures amies et c'était promis de se revoir un jour ou l'autre. Marcel venait de la déposé à l'adresse qu'elle lui avait indiquée, celle de son "père".
D'un pas confiant, elle monte les quelques escaliers menant à l'appartement de son paternelle.
Pourquoi a t-il fallut que l'ascenseur soit en panne ? Pensait-elle épuisée

Pdv jeune femme : 

Après terminée de monter 3 étages à pied, j'arrive face à une porte. Celle-ci est en bois comme toute les autres mais pourtant rien qu'à l'idée de frapper à la porte, une montée de stress s'empare de moi. J'essaye de calmer ma respiration puis décide enfin de toquer. En toquant, la porte s'ouvrit. J'entre et découvre un magnifique studio vide.

J'entre et referme silencieusement la porte derrière moi

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J'entre et referme silencieusement la porte derrière moi. Il devait avoir les moyens pour se payer une telle beauté. Sur la table de la cuisine, une lettre était posée. Elle est adressée à une certaine "Emma Anderson, ma fille".  Ce nom m'est familier mais impossible de me souvenir ou je les entendue. Je décide avec beaucoup d'hésitation d'ouvrir la lettre.

Ma petite fille, je sais que j'ai souvent été un père absent et je m'en excuse. Si seulement tu savais à qu'elle point je t'aime. Après avoir appris ta disparition j'ai paniqué, je ne savais pas si je te reverrais un jour, si tu étais allais bien et si tu me pardonnerais un jour. Je suis donc sorti chassée les vampires pour me décontracté mais se fut surement la pire erreur de ma vie. Cette nuit là, une sensation que je n'avais pas connue depuis longtemps c'est emparé de moi, la peur. Ce monstre qui prétends chassez lui aussi des vampires a essayée de m'assassiner. Cette nuit là, j'ai vue ma vie défilé devant mes yeux et j'ai réalisé que je tenais beaucoup à toi.                                   Je t'écris cette lettre dans l'espoir que tu la lise un jour. Avec mes dernière force, tout mon amour et mes larmes, je note mes dernière parole depuis mon lit de mort. Sache que même dans l'haut de là, je veillerais sur toi. Je t'aimerais toujours quoique tu fasse. Je rejoins les étoiles et espère être avec ma petite femme adorée, ta mère.

L'amour d'un père et plus grand que les montagnes "

Le temps d'un InstantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant