Fight : un destin insoupçonné

chapitre 11

Coucou Bonjour

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Il était exactement huit heure du matin et le soleil de New-York etait à son paroxysme, les rayons d'une lueur intincelantes ne manquaient pas de faire luire la douce peau diaphane de Charlie qui contrastait fortement avec celle d'un teint hâlée de son époux.

- passe là moi que je t'aide déclare Amir en tournant son regard vers sa prétendue épouse qui roulait sa valise maintenant épuisée à cause de la chaleur n étant sûrement pas habituée, contrairement à lui qui appréciait, surtout voyant l effet que ça avait sur la femme près de lui.

La blancheur de sa peau contrastait divinement bien avec la noirceur de ses long cheveux qu'elle avait fini par attacher

- oh merci, j'ai l impression que ce jet est à des kilomètres pourtant je le vois bien.

Cette remarque eu bon de faire naître un fin sourire sur les lèvres de l'homme avant qu il n arrive enfin devant les marches de l'engin.

Une fois à l intérieur, deux hommes, le Stewart ainsi que le pilote les attendaient avec un grand sourire scotché aux lèvres

- monsieur, madame il firent en cœur en les saluant, une poignée ferme d'homme pour la part de Amir

- enchanté de vous rencontrer enfin madame Hassan je suis le commandant de bord Martial Almon et c'est moi qui vous conduirait tout le long de ce vol je vous souhaite un excellent voyage il lui dit une lueur dans le regard

Martial était un homme d'une quarantaine d'années qui depuis déjà 4ans se chargeait de piloter le jet de Amir lors de ses voyages d'affaires

-euh... Merci je suis enchanté également

Amir quant à lui se tenait debout et possessivement plaça sa grande main derrière le dos de la jeune femme lui procurant cette même chaleur étrange. Pourquoi avait-il faist ça ? Elle ne voulait pas croire en une éventuelle forme de jalousie alors elle se laissa entraîner

Le pilote leurs souris une dernière fois avant d exécuter un semblant de révérence et disposer

-je vous débarrasse monsieur ? Demande le stewart une fois devant leur siège.

Ce jet était juste d'une somptuosité remarquable rappelant encore à la jeune femme avec quel genre d'homme elle s'était marié...

Même si son père était un homme tres riche, puisse son âme reposer en paix, James Delormeau n'était pas du genre à jouir en public de sa richesse, il faisait son possible afin que ses enfants vivent une enfance "normale" bien qu étant souvent traqué par les journalistes et jouissant quand même de biens des avantages. Il se battait pour que l orgueil n habite jamais leurs attitudes, ce qui faisait que Charlie se sentait assez mal à l'aise face à tout ce luxe... à cette pensée cette dernière refoula ses larmes et s assis sur le fauteuil en cuire aussi doux qu'un coussin, qui était à l'opposé de celui de Amir une petite table les séparant.

Peu habituée, Charlie plaça timidement une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille et pris son téléphone un silence assez pesant régnant dans l habitacle. Amir quant à lui avait retroussé les manches de sa chemise grise laissant entrevoir des veines attrayantes sur ses bras musclés.

Jusqu'à lors Charlie n arrivait pas à croire le fait qu'elle côtoie un homme aussi beau et puissant que lui.

Quelques instants après, le stewart de tout à l'heure, un jeune homme brun aux yeux bleu d'environ trente ans à vue d'oeil vient vers eux munie d'un chariot bien garnie, elle qui avait faim elle serait servie