72 : Bakugo (mha ) x reader

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Y a pas longtemps j'ai appris que mes potes me voyaient comme Bakugo (Ils ont préciser "doué au karaoke")... Et je sais pas trop comment je dois le prendre ...

@Riubaka Voici le chapitre que tu m'as demandé !

A l'heure où j'écris ceci je suis cas contact... On adore ^^ 

Bakugo et toi étiez confortablement installé dans le canapé de votre appartement. Il avait réussi à devenir un héro professionnel, mais vos deux salaires ne vous permettez pas d'acheter ou de louer un appartement plus spacieux. Il était assis et regardait avec le plus grand intérêt un reportage sur les héros en Amérique latine. tandis que tu étais allongée, la tête posée sur ses genoux. Tu regardais son visage avec attention. Vous vous étiez rencontrés au collège et encore jusqu'à aujourd'hui, il avait tendance à froncer les sourcils quand il se concentrait Ses doigts jouaient avec délicatesse dans tes cheveux. C'était un moment très agréable, comme suspendu hors du temps et de la réalité.

Mais ce moment fut de courte durée. En effet, le bipper de Bakugo vint à sonner. le jeune homme retira ses mains de ta chevelure avant d'attraper l'objet bruyant.

Un individu dangereux est en train de braquer la banque du coin de la rue. Il y a des otages, dit-il

Tu te relevas pour le laisser se mettre debout. Il enfila rapidement sa tenue de héro ainsi que tout son équipement. Pendant ce temps, tu attrapais la télécommande et cherchais une chaîne d'information en continu à la télévision. Bakugo embrassa ton front et murmura :

Tout va bien se passer mon coeur. Avec un peu de chance, je serais rentré avant la fin du reportage.

Soit prudent mon amour répondis tu.

Il hocha la tête avant de sortir pour se diriger rapidement vers la cuisine. Il sortit par le petit balcon dont vous disposiez pour prendre les escaliers de service de votre immeuble. Il ne voulait pas risquer que des journalistes, des fans ou encore des paparazzi s'agglutinent en bas de votre bâtiment. Tu l'avais observé descendre par l'escalier de service et courir dans la rue jusqu'à ne plus l'apercevoir. Une fois le jeune homme hors de ton champ de vision, tu te diriges vers le canapé. Tu t'y installe tout en attrapant la télécommande afin de monter le son. Tu tendis le bras et attrapas un coussin que tu seras fortement dans tes bras. La télévision donnait des informations sur le nombre d'otages et qui était l'assaillant, quel était son alter. Soudain, le cameraman se tourna tourna vivement l'objectif vers une frimousse que tu connaissais bien. Une belle femme brune se plaça alors devant la caméra, un micro à la main. Elle annonça l'arrivée du héro à l'alter explosif sur les lieux. Elle s'approcha de Bakugo pour lui poser quelques questions. cependant, il ignora la jeune femme et rejoignit une brigade de police agglutinée un peu plus loin. Tu crus apercevoir une tignasse rouge entourée de policiers. Si c'était bien la personne à laquelle tu pensais, le duo de choc allait s'en sortir et expédier le problème avec rapidité et brio.

Au bout de dix longues minutes d'attente à regarder les lieux de la prise d'otage ainsi que les troupes présentes. Soudain, les troupes se sont éparpillés. L'un des membres de la brigade sort un mégaphone afin de communiquer avec le forcené. Kirishima et Bakugo n'étaient visiblement plus là. C'était une bonne chose. En effet, si l'assaillant a accès aux informations, que ce soit radio, téléphone, ou télévision, il pourrait anticiper les actions des forces de l'ordre mais aussi voir les héros arriver et contrer plus facilement leur parade. Mais là, l'assaillant était comme les spectateurs et ne pouvait donc pas savoir où se trouvaient les deux héros. Tu supposais que les garçons étaient en train de se faufiler à l'abri des regards. Tu scrutais l'écran, inquiète. Même à l'écran, la tension était palpable. L'angoisse et l'attente devenaient de plus en plus insoutenables. Soudain, il y eut un énorme bruit sourd suivi très vite d'un nuage de fumée. Les déflagrations d'explosions fusaient. Les garçons étaient donc passés à l'action. A la caméra, on ne discernait plus rien du tout. Le son de la télévision était assez fort, pourtant tu pouvais entendre très distinctement les explosions résonner dans la rue. La journaliste était tout aussi affolée que toi. Rapidement, son caméraman et elle furent conduits en sécurité tandis qu'on commençait à voir de façon de plus en plus nette la banque. Il y avait un brouhaha assourdissant, on pouvait entendre des cris et des hurlements. Les voix s'entremêlaient et tu ne comprenais rien à ce qu'elles disaient. Malgré la voix portante de Bakugo, la cacophonie ambiante t'empêchais de discerner chacune des voix. Les minutes défilaient. Les policiers attendaient dehors, arme à la main, prêts à tirer. Tu tremblais en te demandant pourquoi cela prenait autant de temps.

Tu n'en pouvais plus d'attendre et pris une veste et tes clés avant de sortir par la porte d'entrée. Tu courus dans les escaliers afin d'arriver le plus vite possible pour arriver rapidement sur les lieux de la prise d'otage. Plus tu avançais, plus la fumée et la poussière soulevées par l'explosion se densifiaient. Grâce à ton alter qui te permettait de te téléporter sur une courte distance, tu passas rapidement le barrage de police. Tu te cachas derrière un fourgon de police afin d'observer la banque. Soudain, il eut un grand silence. Ce silence dura au moins une bonne minute. Brusquement, la porte de la banque s'ouvrit. Un homme ayant les mensurations d'une armoire IKEA vola à vingt bon mètres. Il ne bougeait pas et semblait inconscient. C'est alors qu'apparurent à l'embouchure de la porte Kirishima et Bakugo. Ils se tapèrent dans la main avant d'avancer vers leur ennemi gisant sur le sol. Les garçons avaient de nombreuses écorchures mais cela ne semblait pas être très grave. Les forces de l'ordre s'empressèrent de menotter le vilain et de l'enfermer dans un fourgon.

Tu te téléportas devant Bakugo et te jetas dans ses bras.

(T/p), mais qu'est ce que tu fais là ?

Il referma ses bras autour de toi et embrassa ton front. Lorsqu'il te relâchas, tu fis une accolade à Kirishima.

je suis content de te voir (T/p)

Moi aussi ! Ça fait tellement longtemps Kiri !

Bakugo passa sa main dans ton dos avant de murmurer à ton oreille :

Allez viens, on rentre à la maison ! Il embrassa ton front avant d'ajouter : Je t'aime (T/p) !

 Moi aussi, Bakugo !

Perso manga/OC  X Readers/ocOù les histoires vivent. Découvrez maintenant