Laisse moi te le dire (Yamcha X Tenshinhan)

VI.

J'ai étais tourmenté.
J'y ai réfléchi.
Tourner de droite à gauche dans mon lit.

Sans trouver le sommeil.
Trop occupé à penser.
À songer à cette soirée.

T'avoir embrassé...

Je me sens si idiot.
Tu avais fui juste après.

Aux dernières nouvelles, je n'embrasse pas mal. Mais tu n'étais peut-être pas emballé à l'idée que je t'embrasse.

J'ai étais stupide de penser que tu le voulais. Je pensais que tu le souhaitais autant que moi, ce baiser.

Qu'aucun de nous ne voulait faire le pas.

Je suis persuadé que je te dégoûte maintenant.

Je suis sûr que tu ne voudras plus me voir.

J'avais juste cru que tu l'avais voulu.
Mais je le voulais juste.

Je l'avais juste voulu.

J'ai tourné en rond, mon esprit embrumé.

Par le fait d'avoir posé mes lèvres sur les tiennes.

Ça avait étais doux. J'avais aimé ça.
Mais es ce que tu l'avais aimé ?

Je voudrais m'excuser de t'avoir embrassé ?

Es ce que tu voudrais encore me voir ?

Es ce que tu avais apprécié le dîner ?

La nuit m'avait semblé longue.
Mes cernes interminables.

Et la vaisselle dans l'évier impensable.

La porte c'était ouverte. Puerh était revenu.

"Bonjour Yamcha, comment c'est passé votre diner ?

- je l'ai embrassé.

- félicitation ! Mais vous ne devrez pas être heureux ?

- ça l'aurait était s'il n'avait pas fuis totalement embarrassé, je t'avais bien dit qu'il ne partagerait pas les mêmes sentiments que moi

- tu es sûr de ça ?

- qu'es que tu en sais même ?

- je parle souvent avec Chaozu, tu sais.

- et ?

- tu devrais rappeler Ten shin han pour vous expliquer.

- absolument pas, je ne ferais pas ça"

Qu'est-ce que je pourrais bien lui dire ?
Je n'ai pas envie d'en parler.

Je vais juste rendre la situation encore plus embarrassante qu'elle ne l'est déjà.

Le téléphone avait sonné.

J'avais reconnu ta voix. Tu avais une voix timoré au bout du fils.