L'enfance

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J'ai couru toute mon enfance pour échapper à ces appellations: "démon", "monstre". J'ai couru aussi loin que j'ai pu , et aussi vite que je le pouvais aussi. Je me suis battu de toute les manières dont je le pouvais aussi. Bagarres, comme blagues.

Je n'ai jamais connu mes parents. Je ne connaissait pas leur nom non plus, jusqu'à mes huits ans, où le sandaime a enfin daigné me révéler leur nom à cause de ma peine. Je venais tout juste de perdre mon senseï, la seul personne qui m'a apprécié pour ce que j'étais: Itachi, Itachi Uchiwa. Il m'avait montré beaucoup de chose, et de techniques. Il avait été comme un père, malgré son jeune âge et sa demi-présence dût à son rôle d'Anbu et de sa famille. À mes six ans, il m'a pris sous son aile, m'apprenant comment manipuler des kunaïs et comment faire un henge. Il m'avait même conseiller à l'époque d'utiliser le henge pour aller m'acheter de la nourriture dans des boutiques. Ainsi, je ne me ferais pas sortir à coup de pied. J'apprenais vite, et j'ai aussi très vite appliquer ses techniques dans des bagarres avec des étudiants de l'académie Ninja. J'en suis sorti vainqueur à tout les coups, jusqu'à ce qu'Itachi me dise qu'il fallait se battre uniquement lorsque c'était nécessaire. J'ai commencé à éviter les bagarres, et j'ai tout simplement arrêter au bout d'un moment. Il a continué à m'apprendre: il a même réussi à me déroger un professeur privé pour m'apprendre à lire et à écrire, ainsi qu'à conter. Bien sûr, cette femme n'était pas vraiment professeure, elle était ninja, mais elle venait quand même tout les jours où elle le pouvait. Je dirai qu'elle a été la deuxième personne à m'apprécier, après Itachi. Natami,je crois que c'était son nom, mais ce n'est plus claire dans mon esprit, je ne sais pas pourquoi. Je suis vite arrivé à mes huits ans, un peu moins emprunts à la solitude. Et puis, Itachi est arrivé, un jour de pleine lune à mon appartement, les mains pleine de sang. Il venait de tuer sa famille. Il m'a parlé de son petit frère, de sa future solitude, et de sa demande de l'aider et le protéger. Je lui ai promis, peut-être n'aurais-je pas dû?

C'est ainsi que quelques jours plus tard, Le sandaime est arrivé. À peine entré chez moi que je lui ai crié dessus. Je lui ai mis tout ce que j'avais sur le coeur. Il a fini par craqué, et il m'a dit la vérité, toute la vérité. Kyubi, Minato, Kushina. J'en ai voulu à mon père et à Kyubi. J'en ai voulu à ma mère. Maintenant que j'y pense, je pense que tout ca n'était que factice, pour cacher une tristesse profonde. Ensuite, je me suis demandé pourquoi? Je veux dire, mon père était le bien connu Héro de Konoha, et ma mère, elle, est aussi une figure marquante d'Uzushio, le village caché dirigeant le pays des tourbillons, ce pays constitué que d'îles. C'est alors que j'ai su que j'avais encore de la famille. Un grand-père, l'Uzukage, le roi du pays des tourbillons. Ma mère était sa seule fille. J'était donc le seul prince du pays des tourbillons. Mais mon Grand-père avait refusé de m'élever pour différentes raisons. Il m'avait laissé au lieu de ma naissance, me refusant. Le sandaime me donna mon héritage. Une simple clé, qui me donnait accès à un manoir. Il m'expliqua la base des sceaux et me dit que j'était le seul à pouvoirs y entrer sans l'accord de mes parents à cause de mon sang. Le reste se trouverait sur les lieux.

C'est ainsi que je me lançait dans l'étude des sceaux. On ne me voyait plus dans les rues. Je m'étais trouver une cachette à la bibliothèque et j'étudiais, souvent au détriment de mon alimentation. Au bout de trois mois, je réussit à y entrer. Je m'y installât. Rapidement, je remarqua que plusieurs pièces m'était encore inaccessible à cause de différents sceaux. Le premier devait être le bureau de mon père, l'autre semblait bien être une bibliothèque, et aussi étrange que cela puisse être, il me semblait que des oosens était aussi bloqué par des sceaux. Une autre chose m'intrigua, un sceaux, au-dessus duquel il était écrit "Traverse pour Uzushio". Était-il possible que ce sceau m'amène directement à ce village? Ca ne semblait pas impossible. Je ne réussi à débloquer que le sceau du oosen avant d'entrer ,à mes neufs ans, deux ans après tout le monde, dans l'académie Ninja. Je n'avais aucun retard, grâce à Itachi. Mais je ne compris absolument pas pourquoi le sandaime ne m'avait pas inscrit avant. Peut-être le conseil ne voulait pas. J'appris plus tard qu'il y avait une seule et unique raison, il avait demandé à Itachi de devenir mon senseï privé, et finalement, sa tentative se solda par un échecs à cause de ce qu'à fait celui-ci.

Dès que j'entra à l'académie, je fut écarter par les autres élèves. "Démon", "monstre" était de mise, même dans cette école. Les professeurs ne me prêtais pas attention. Je me mis peu à peu à faire des blagues. J'attirais l'attention de la mauvaise manière, parce que j'était blessé à l'intérieur. J'étais tanner que les gens me traitent de démon. Ca a marché, les gens ont commencé à me traité de cancre et de raté, parce qu'en plus de faire des blagues, je ne faisais aucun effort dans mes tests théoriques, ce qui me faisait souvent faire frôler l'échec scolaire.

Un jour, à mes dix ans, on m'annonça la mort de Natami, ce professeur qui avait passer son temps à m'apprendre à lire, à écrire et à conter. Elle était morte d'une maladie, et n'avais jamais eu d'enfant. Elle m'avait laissé une lettre, me faisant promettre de mieux me concentrer à l'académie et de devenir fort. Elle me légua tout les livres de sa bibliothèque, ainsi que tout ses parchemins de techniques Ninja. Cette femme, que je n'avais pas vu depuis un ans et demi, m'avait laissé tout ça. J'avais le coeur rempli de tristesse, et de joie. Cette femme m'avait léguer tout ca, elle me faisait confiance...mais elle était morte, et je ne la reverrais jamais.

C'est ainsi que j'ai passé mon enfance. L'insouciance avait perdu sa place dès mon plus jeune âge pour laisser place à la dure vérité. Un cœur brisé par les adultes et par leur manigance. Un cœur meurtri par Sa mort et par Sa trahison. Un coeur insouciant parti en fumée par la vérité, autant que par les mensonges.

Pourtant, je ne les haïs pas. Je suis juste triste, sans pourtant pleurer. Je ne sourit plus non plus, sauf pour leur montrer que ça ne m'affecte pas, mais pourtant, ça m'affecte. Je devrais peut-être arrêté cette comédie. Mais je ne le ferais pas, parce que je sais que si je le fait, Iruka, Teushi, Ayame et Jiji-sama s'inquièteront. Depuis quand je ne veut pas leur montrer ma peine? Je ne sais pas. Je présume que c'est parce qu'ils sont les seuls à me montrer du respect et à me donner un peu d'affection.

Mais dans tout les cas, mon coeur a de l'espoir de voir de meilleurs jours arriver. J'espère, j'espère... Mais je ne mît accroche pas trop, comme je garde cette idée au plus profond de mon coeur. Mais je sais un chose, je m'accrocherais toujours à l'espoir de voir un monde de paix, de joie et de sérénité. Un VRAI monde de paix. Je ferai toujours de mon mieux, tel est mon nindo. Je n'abandonnerai jamais, peu importe l'obstacle. Tel sera ma vie.

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 24, 2015 ⏰

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