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60 : Yukio (Blue exorcist) x Reader : Flirt Indécent

Vous qui commentez, likez et lisez mes chapitres ! Je vous adore !!! Vous savez pas à quel point ce recueil me rend fière ! ( AKA l'une des seules choses que je pense avoir réussi dans la vie )

J'ai appris que l'écriture de fanfiction était illégal ... PTDR !

Tu as cours avec Yukio ce matin. Tu entres dans la salle en riant avec Rin et t'assoie au premier rang. Tu poses tes fesses sur le siège avant de de croiser les jambes. Tu retiras ton long mentaux beige et le posa sur le dossier de ta chaise.

Vous aviez dormis ensemble mais aviez pris soin de ne pas arriver en même temps. Il fallait garder votre petite relation secrète. Tu avais pris soin d'amener des vêtements chez lui afin de toujours paraître irréprochable le matin.

Tu posas tes affaires sur la table tandis que le jeune professeur entrait dans la salle. Il salua la classe avant de poser un bref regard sur toi. Tu avais affiché un sourire rayonnant sur ton visage et il avait esquissé l'espace d'une seconde, un petit sourire.

Même son frère n'était pas au courant de cette petite aventure. Vous aviez réussi par de nombreux stratagèmes à lui cacher cette relation amoureuse.

Il installa ses affaires sur le bureau et commença rapidement son cours. Alors qu'il avait commencé son cours depuis une dizaine de minutes, tu détachas un bouton de ta chemise. Les autres élèves, tous placés derrière toi, ne remarquèrent pas. Cependant, ton amant tiqua légèrement.

Tu pris soigneusement des notes du cours pendant une autre dizaine de minute. Ce laps de temps terminé, tu fis tomber ton stylo juste devant ta table de sorte à ce que Yukio soit obligé de le ramasser. Tes plans se déroulaient comme prévu. En effet, le jeune homme se baissa pour ramasser ton précieux stylo. Lorsque sa tête était à hauteur du dessus de la table, tu décroisas et recroisa les jambes.

Tu l'observais avec attention afin de voir sa réaction. Il avait légèrement vacillé, avait posé sa main sur ta table et avait posé ton stylo sur le bureau. Son visage était rougeoyant et tu ne savais pas si ses yeux lançaient des éclaires ou si il te désirait.

Alors qu'il était toujours penché vers toi, le stylo encore dans ses doigts, tu te penchas vers lui et murmuras :

- j'ai pas mis de culotte ... J'espère que ça ne te dérange pas ...

Il avait écarquillé les yeux, s'était raclé la gorge et avait tenté de continuer son cours au mieux.

Après une heure et demi de cours, il laissa les élèves faire une petite pause. Tous les élèves partirent en courant pour aller au toilette ou tout simplement chercher un petit café. Shiemi t'interpella :

- (T/p) tu viens ?

- J'arrive Shiemi ! J'ai juste une petite question au sujet du livre dont je t'ai parlé

- Ah oui ! Sur la démonologie ?

- Exactement !

Heureusement que tu allais très souvent à la bibliothèque avec la petite blonde. Tu y avais trouvé un livre génial et c'était l'excuse idéale.

Lorsque la jeune femme sortie, il ne restait plus que Yukio et toi dans la salle. Il ferma la porte.

- Je croyais que tu ne voulais en aucun cas resté seul, porte close, avec moi...

- (T/p)... A quoi tu joues ?! Dit-il en se déplaçant jusqu'au tableau.

Tes calcules étaient parfaits !

- Mais à rien voyons !

Tu décroisas et recroisas les jambes.

- Arrête de faire ça !

- De faire quoi ?!

- Tu veux pas que je vérifie tes vêtements chaque matin ?! Si ?!

Ta seule réponde fût un rire sincère et cristallin. Tu te levas avant de faire le tour de ta table. Ta main frôla son épaule tandis que tu passais derrière lui. Il ne bougeait pas, comme si ton contact l'avais pétrifié. Comme si il était tiraillé entre te plaquer contre le tableau noir et t'embrasser sauvagement et te virer de cours.

Tu t'avanças alors pour murmurer à son oreille :

- Tu m'aimes ?

- Je suis fou de toi (T/p)... Mais si on se fait prendre... on risque d'avoir de gros problèmes...

En entendant du bruit dans le couloir, tu sortis rapidement des photocopies de ton sac. lorsque les élèves rentrèrent un à un, ils ne trouvèrent qu'une élève assidue demanda à son professeur la signification d'écrits qui lui étaient étrangers.

Il continua le cours en se plaçant le plus loin de toi possible. Ses yeux, lorsqu'ils balayaient la classe, évitaient ta personne. Tu répondais à chaque questions qu'il posait. Tu pouvais le sentir se tendre à chaque réponses que tu prononçais. Il s'avait que tu étais une élève brillante. Mais il était aussi certain d'une chose. Tu répondais pour le provoquer, allant jusqu'à terminer ses phrases.

Une fois le cours terminé, il t'interpela alors que tu rangeais tes affaires

- Mademoiselle (T/p), j'ai deux mots à vous dire. Son ton était ferme et sec

- Ca va barder pour toi ! dit Rin avant de quitter la salle

Sheimi sortie en te faisant un petit signe pouce en haut comme pour dire "Ca va aller t'inquiète". Tu lui répondis par un signe de la tête. une fois tous les élèves sortis, le jeune professeur ferma la porte.

- Deux fois enfermé avec moi dans la même matinée ?

Tu te levas, contournas ton bureau avant d'y poser tes fesses.

Il approcha de toi, avant de poser un regard nouveau sur toi. Tu croisas les bras sous ta poitrine tout en soutenant ce regard impénétrable. il posa ses mains sur la table, l'une à ta droite, l'autre à ta gauche. Son visage était à quelques centimètres du tiens.

- Je ne sais pas ce que tu cherches à faire, mais ca ne marcheras pas murmuras-tu

Tu savais pertinemment que même si il te faisait de l'effet, tes charmes était beaucoup plus convainquant. Tu te levas, le forçant à s'écarter. Tu avanças, le poussant toujours à reculer. Bien que ta démarche restait féline, elle n'en était pas moins ferme. Le dos du jeune homme heurta alors le tableau noir dans un nuage de poussière de craie. Tu plaquas ta main sur son torse avant de murmurer à son oreille

- Essayer de me dominer ? Moi ? Vraiment ?

Un petit rire s'échappa de tes lèvres tandis que tu caressais sa joue de ta main.

il attrapa ton poignet et échangea vos positions rapidement

- Ma salle de classe, mes règles !

Dans la seconde qui suivi, ses lèvres s'écrasaient sur les tiennes et son corps pesait sur le tiens.

Vous souillèrent alors le tableau, son bureau, ainsi que les pupitres de tout tes camarades.