Visage Gris

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Il était tôt ce matin là beaucoup trop tôt, mais j'étais pressé, je n'aurais pas du être autant excité, je ne le savais pas mais je débarquais en enfer...C'était le début, le début de la fin, certains pourront dire que je n'ai pas assez lutter mais la vérité c'est que si tu ne le vit pas tu ne peux pas savoir. Ce qui m'est arriver va en choquer plus d'un, peut être que sa t'est déjà arrivé, je ne l'espère pas... mais tout est possible. Comme je le disait ce matin là j'étais venu en avance, vous savez j'étais le genre d'élève qui était toujours surexcité en voyant la rentrée des classe se rapprocher, faire les fournitures, acheter mes habits, mon sac à dos... La veille de la rentrée j'avais pas trop dormi, encore une fois je n'arriver pas à fermer l'œil malheureusement après tout sa mes yeux ne se sont plus jamais réouvert. Ce collège était marron, le contour de la propriété du collège était entouré de grillage, pas très accueillant me diriez vous ? Et si je vous disais que c'est sûrement la chose la plus normal qui c'est produit dans ce collège, mes aînés était dans ce collège, sa s'était bien passé il m'avais pas mis en garde, le regrette t-il ? Je ne sais pas je ne suis plus là, demandais leur pour moi... Je parle beaucoup pour une personne morte, seulement j'aurais du parler avant on n'en serait pas là. Le portail venait de s'ouvrir j'hésitais à rentrer. Je me demander si je rentré trop vite si sa ferais pas « chouchou du prof » ou si je rentrée trop tard la personne « perché » donc j'attendis que une grande vague d'élèves rentre pour me fondre dans la masse, 3 minutes après l'ouverture une vague d'élèves arriva et je vit me mettre dans le lot, à ce moment là je ne le savais pas mais je venais de rentré en contact pour la première fois avec mes assassins, oui c'était un suicide on ne va pas se le cacher mais pour moi sa reste un assassinat ils m'on pousser à le faire, il m'on tué, le regretteront-il un jour, je ne sais pas la justice Française n'est peut être pas au courant et même si il l'était que ferait-elle...en rentrant dans le collège directement je fut attiré par ce joli parc qui était juste sur la gauche du portillon qui servait d'entrée et de sortie, ce parc était si beau, il était remplis d'arbre je crois que c'était des pins, je n'ai jamais demander. Une femme plutôt jeune aux cheveux noirs avec le teint pâle vint devant nous, les élèves, et demanda le silence et poursuivis en disant

-Les professeurs principaux vont pas tarder à arriver restez calme pendant 5 minutes ! Puis elle repartit

J'alla m'assoir à un banc dans le petit parc avec les grands arbres et regarda les personnes qui était rester un peu plus loin, certains avait l'air de se connaître, moi je ne connaissais personne sa m'a pas aider d'ailleurs... Je regarde une fille, elle avait de Jimi chaussures donc dans ma tête je complimentais ces chaussures, puis un garçon qui avait une coloration bleu, je me demander si il était pas gothique il était habiller en noir, et je tourna la tête sur ce garçon MAIS...... pourquoi me regarde t'il, j'avais quelques choses sur le visage ? Non je ne croit pas, mais que c'est il dit en me voyant qu'il était le prédateur et que j'étais sa proie, si j'avais su que ce jeu était pire qu'une chasse à l'homme...Les professeurs principaux vint, il n'eu donc pas le temps de s'approcher de moi pour me parler, on monter les escaliers, je me sentais seul, ma professeur était vielle aux cheveux gris et avec de grosses lunettes on aurait dit un hibou, on arriva enfin devant la salle C103, je m'en rappelle, mes larmes dans rappelle. Le professeur ouvre la porte de la classe, nous fit entrer et nous demanda de nous assoir, c'est l'étape que je déteste le plus, j'ai toujours eu peur de m'assoir à coter d'une personne méchante ou de rester seul... Du coup je fonça m'assoir en premier à une table pour être sûr de ne pas être rejeter et après que tout le monde soit assis une personne vint s'assoir à coter de moi et c'était lui, le garçon de tout à l'heure, sa silhouette plutôt banale je devrais dire avec ses épaule carré et son visage gris, il ouvra la bouche, je vit ses dents blanche, extrêmement blanche et prononça cette phrase qui resta à jamais dans ma mémoire...

-Je peux m'assoir ?

Les larmes de mon ombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant