Autobiographie française

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Ce matin la, France était clouée au lit. La veille, le pays c'était bloquée le dos. Impossible de bouger aujourd'hui. Elle avait essayée, bien sur... mais à part lâcher un cris terrible comme si elle c'était... rien en fait ne pouvait faire hurler France comme ça.

De douleur en tout cas.

Le docteur était tout de suite venue... immobilisé jusqu'à nouvel ordre avance interdiction formel de se lever ou d'être stressé.

« -Pas me stresser ? Je ne dois pas bouger et rien foutre et je dois pas être stressé ? » et voila, c'était déjà la catastrophe.

Le docteur, pourtant habituée à ce qui était la pire patiente qu'il n'avait jamais eut, prit la fuite. Oui, il n'y avait rien de pire qu'une personne qui n'était presque jamais malade. Parce que, quand elle était malade, c'était quelque chose de relativement grave, douloureux, les deux et le remède était toujours pire que le mal selon elle.

Empire de France n'allait pas la contredire. France en colère, bloqué au lit, c'était une journée de travail terrible devant lui. Le pays faisait le boulot d'une armé... mais heureusement, elle avait fait assez d'enfants et avait assez de petits-enfants pour faire deux armés et trois équipe de foot (quatre en réalité mais il faut exclure Vichy de cette blague).

« -Alors... » il apporta un thé à sa petite soeur.

« -Que devais-tu faire aujourd'hui ?

-Va voir dans mon... » elle fit une énième tentative pour se redresser et prendre la tasse...

Echec total au vue du cris.

« -Ne bouge pas. »

Il posa la tasse sur la petite tablette pré installé.

« -J'en veux pas ! Ni du thé ni de la tablette ! Je suis pas une petite vieille ! Maintenant file moi mon ordi et va voir mon agenda. »

Empire de France obéit et sortit... éclatant de rire en entendant France ne plus arriver à retenir un cris de douleur... encore.

Enfin... il appela neveux et nièces, leurs expliquant la situation...

« -Bon... tout le monde est la ?

-Non.

-Il manque Alsace.

-Et Liberté.

-Non, ça c'est normal.

-Ah tu fais du favoritisme ?

-Vichy, tu devais pas venir.

-Peut-être mais Liberté m'a équiper de ça. » il montra son téléphone à son oncle, Liberté était en vidéo conférence et les surveillaient.

« -Je vous surveille ! »

Tout le monde fit signe à celui qui le tenait de raccrocher.

« -Vous avez pas intérêt à raccrocher sinon je balance tout à maman ! » et tout le monde se calma.

C'était radical.

En bonne petite dernière, elle savait comment s'y prendre pour qu'on l'écoute et qu'on lui obéisse au doigt et à l'oeil.

Enfin... temps que l'argument « maman » était valable.

« -Enfin... bref. Voici les tâches qu'il y a à faire. » dit l'oncle à ses neveux en distribuant les papiers.

« -Elle va se remettre en bien moins de temps que prévue par les docteurs alors méfiez vous, faites bien le boulot et oubliez pas. » il prit un air aussi sérieux que possible.

Countryhuman : Autobiographie françaiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant