Axelle, ayant été abusé par son géniteur dans le passé, revient sur Paris avec son frère, Brahim, après avoir passé six ans au Canada. Revenir pour porter plainte contre la personne qui avait détruit sa vie n'allait pas être simple, mais une promess...
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Flashback
2013, Paris
Commissaire n•2 : Pruski t'as voulu faire le malin avec tes potes ? Vous voilà séparez. Et j'vous jure que cette fois on va vous coffrer.
Mathieu : On a rien fait wesh !
Commissaire n•2 : Tu parleras devant la juge, maintenant tu te tais et tu attends !
Mathieu : Mais si j'vous dis qu'on a rien fait ! Vous perdez votre temps il se mit à ricaner
Commissaire n•2 : Ce qui me fait perdre mon temps c'est de parlé avec toi là, mais t'inquiète pas, on va bien s'occuper de vous.
Mathieu : tchip
L'agent sorta de la pièce, la brune et le brun se retrouve donc seuls. Axelle a peur, littéralement, se retrouver seule avec un homme, même si c'est un garçon de son âge, lui fait peur. À part son frère et son grand-père les hommes la terrifient. Elle se demande où est passé son frère, pourquoi il prend autant de temps, elle a peur, peur qu'il les retrouve, peur que ça recommence.
Mathieu : T'es là pour quoi toi ?
À l'entente de sa voix elle sursauta, elle ne sait pas quoi faire, la porte est fermée et ils sont que tout les deux, certes il est menotté mais cela n'enlève pas sa peur.
Mathieu : Ok je vois tu veux pas parlé, sauf que moi je m'emmerde donc jvais te parler.
Sa phrase sonnait comme un ordre, comme quand son géniteur lui parlait et la forcer à faire des choses sexuel avec lui. Elle releva son regard vers lui, quand il croisa ses prunelles brunes, elle commençait à trembler de peur.
Mathieu : Eh meuf calme-toi wesh , y'a rien.
Elle n'écoutait absolument pas se qu'il venait de prononcer, trop concentré sur sa respiration, elle ne voulait pas faire de crise de panique ici, pas devant lui, pas devant les agents. Seul son frère est capable de la calmer, c'est vrai que cette semaine elle en avait faite des crises.
Mathieu : Euh ça va ? Tu veux que j'appelle quelqu'un ? il commençait à se lever, elle se recroquevilla aussitôt sur son siège, elle avait du mal à respirer
Axelle : Reste... à ... ta place elle murmurait ses mots
Mathieu : Excuse-moi. De toute façon j'peux pas bouger, j'suis attacher à mon banc.
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