L'amour Est Une Bêtise

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Ce fût un vendredi que tout a commencé a partir en n'importe quoi.

Mon frère refusais de m'adresser la parole je venais de casser avec mon mec, mon père comme a son habitude n'était au courant de rien quant a ma mère... Elle était du côté de mon frère.

Toute mon enfance j'ai été amoureuse du même garçon, je n'avais pas choisi exprès que ce soit sur lui que je jette tout mon dévolu mais malheureusement ce fu le cas et ça mon frère ne me le pardonnera jamais. Pourquoi ? Parceque c'est son meilleur ami, son ami d'enfance avec qui nous avons tout les 3 grandi ensemble, son frère de cœur.

Ce fut lors d'une soirée bien arrosé que j'avais couché avec lui, on était tout les 3 complètement saouls. Mon frère était parti vomir dans les wc pendant que je me tapais sans en être spécialement consciente de ce que je faisais son meilleur ami. Je m'étais réveillé clairement mal. Je m'étais levé du lit dans lequel je me trouvais complètement nu pour courir vomir dans la salle de bain, j'étais retourné au lit 5 minutes Plus tard toujours sans capter où j'étais. Je m'étais rallonger et rendormi.

C'est vers 10h du matin que j'avais entendu du bruits a côté de moi. Je m'étais réveillé très mal et j'avais froid. J'étais allonger sur le ventre la tête face a la porte et la couverture était au creux de mon dos juste au dessus de mon fessier. J'avais remonter la couverture et les bruits avais cessé. Je m'étais alors tourné lentement puis j'avais ouvert les yeux, c'est en l'apercevant que je m'étais redresser vite laissant la couverture qui cachait ma poitrine tombé.

Il me regardais les yeux grand ouvert choqué et je le regardais perdu. "quesque tu fous dans mon lit" furent les premiers mots sorti de ma bouche encore pâteuse. Je me rappelle de son silence gênant et son regard toujours aussi choqué me regarder de haut en bas. J'avais alors baisser les yeux et remarqué la tenu dans laquelle j'étais présenté. Il avais son caleçon et j'avais uniquement ma culotte, j'ai vite caché ma poitrine qui était jusqu'à maintenant a découvert. Je l'ai regardé complètement perdu, choqué, je comprenais plus rien. J'avais alors détaillé son Corp, remplis de trace de luxure, de griffure et même de bleu. Moi j'avais les poignées rouge comme si j'avais été attaché un peu trop fort, j'avais les cheveux en pétard, des suçons par tout sur le corps, des bleus sur les fesses, des marques rouge vif sur tout mon dos et ma poitrine n'en parlons même pas. L'état dans lequel nous nous trouvions était déplorable à souhait. J'avais actuellement honte de mon propre Corp. Je venais tout juste de réaliser, j'avais fais ma première fois. Complètement saoul et avec le meilleur ami de mon frère, le garçon que je considérais comme mon propre frère.
Je ne savais plus du tout quoi faire.

Je venais de trompé mon copain avec lequel j'étais en couple depuis maintenant 3 années. J'étais dégouté de moi même, a tel point que j'en eu la nausée. En voyant mes yeux larmoyant sont regard changea également, il devient neutre mais avec une pointe de honte et de tristesse dans les yeux. Lui aussi était en couple, il était fiancée pour dire, la date prévue a cette effet était prévu pour le 10 janvier, la date de mise en couple et la date a laquelle il l'avait demandé en mariage. "je..." avait il tenté de dire. La vérité était tel que nous n'avions tout deux rien à ce dire tellement la culpabilité nous rongeait de l'intérieur. "non." j'avais répondu, je m'étais rapidement remise de mes émotions, a l'intérieur j'étais dévasté mais face a lui j'étais sur de moi. "personne ne doit être au courant. Silence de mort compris ?" "mmh."a été sa réponse a mon égard. Je m'étais alors tourné dos à lui, j'avais regardé la chambre, je devais me levé pour me rhabiller. De toute façon il m'avais vu entièrement nu cette nuit là même s'il ne s'en rappelais pas alors bon. Je m'étais redressé sur les deux pieds et j'avais marché droit vers mes sous vêtements, je les avais enfiler puis j'avais récupéré ma robe pull rouge et mes cuissardes noir, ma ceinture encore accrocher à la tête de lit puis j'étais parti sans un mot.