Chapitre 1

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Il étais cinque heur et demi, Arthure marchais, parapluie a la main, pour ce rendre chez luis apres une longue et ennuyeuse journée d'école. Le jeun garçon de seize ans écoutais attentivement les centaines de gouttes d'eau qui venais s'écraser sur son parapluie. Il avais un pas très lents et ne ce souciais pas des flacs d'eau qui c'était former sur le trottoir. La rue principal qui étais en temps normal si animée étais, en ce temps de pluie quasiment déserte. Arthure aimais les jours de pluies car il peut pleurer sans avoir a cacher ses larmes. Il c'était fait laisser tomber, il y a de cela un mois, par la personne qu'il considérais être la femme de sa vie. Chaque jours il ce rappelais tout ce qu'il avais vécus avec elle et le fessais a chaque fois sombrer dans une profonde tristesse. Lorsqu'il rentrais chez lui, cette peine lui revint et ce mit a verser quelques larmes.

C'est alors qu'il déposas son pier dans une flaque qui lui semblais toute petite alors que bien au contraire, tout son pied fut vite noyer d'eau. Ce fut ensuit la totaliter de sa jambe qui disparut dans le petit étang et par après son corps tout entier tombas. Arthure ce retrouvas alors dans un grand étendu d'eau sombre dont la seul source de lumière venais du trous dans le quel étais la flaques. Paniqué, il tentas de nager vers la source de lumière mais une fois arriver il ne pouvais pas en ressortir. Il avais beaux pousser de tout ses force rien ne ce produisais.c'est comme s'il posais sur un mur alors qu'il n'y avais rien. Arthure regarda autour de lui afin de chercher en vain une autre possible sortie. C'est lorsqu'il venais a manquer de souffle qu'il vit une magnifique jeune femme au cheveux teint  d'un magnifique bleu éclatant lui offrir un magnifique sourire avant de lui tendre la main. Arthure s'empressa de lui prendre la main comme si cela avais été un réflexe. Lorsque ca main touchas la sienne il constatas que celle si étais extrêmement douce et cette douceurs l'apaisa et fermas les yeux puis il perdit connaissances.

Arthure ce réveillas avec ces vêtements de la veille dans un lit complètement mouiller. Il ne comprenais pas. Il pansais que ce n'étais qu'un rêve. Mais alors qu'est ce que fait cette eau dans son lit. Qui étais cette fille. Trop de question qu'il ne voulais pas tant  trouver une réponses. Alors le jeune homme déjeunas et enfilas un nouvelles uniforme pour ensuite ce rendre a son école. Arthure empruntais le même chemin qu'il empruntais chaque soir et chaque jours. Ce matin il n'y avais pas de flaque d'eau mais choisit tout de même de changer de trottoir juste pour être sur que son trajet allais ce passer sans encombre. Une fois arriver a son école, Arthure replaça sa tignasse brune tout en ce dirigeant vers sa classe. Une fois entre dans la classe il vit les personne qu'Il côtoyais depuis si longtemps sans vraiment s'intéresser a eux. Que ce sois Marianne,la joueuse de basketball, ou que ce sois William, le petit geek a lunette, personne ne portais attention a lui et il ne voulais pas qu'ils portent leurs attentions sur lui.il allas s'asseoir a sa place, dans le fond de la classe sur le bord de la fenêtre et observas a l'extérieure tout en écoutent la cacophonie que formais l'assemblage de la voix de tout ces camarade. C'est alors que les voix cessèrent et laissèrent place, lors d'un très court instant, a des tas de bruit de chaise qui frottais sur le plancher. Monsieur Anderson étais arriver. Fidèle a son habitudes, il adoptas des manière assée décontracter car il disposais ces pied sur le bureau. Sous ces aire de gros dure méchant, monsieur Anderson était un très bon professeur qui aimais ces élèves. Le cours débutas alors. Arthure ne l'écoutais qu'a moitier car il ce remémorais les événement de la veille. Il fut sorti de ces pansée lorsque trois toc ce fit entendre en provenance de la porte. Celle si s'ouvris ensuite et laissa place a une magnifique femme au cheveux d'un bleu imaculé.

- je vous présente Emma. Elle vien d'emménager et elle vas ce joindre a notre classe pour le reste de l'année. Tu peut aller t'assoir la bas. Dit calmement le professeur  en désignant la place a coter d' Arthure.

il n'en croyais pas ces yeux, c'était la fille qu'il avais vue hier. Elle étais bien réelle.

L'amour sous la pluieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant