On pourrait également intituler ce texte "Où l'auteur part en freestyle"
Bonjour! J'ai plein de choses à dire sur ce texte mais je vais faire court. C'est avec beaucoup de fierté et de honte que je présente ce texte. N'y cherchez pas la logique, elle est dur à trouver. C'est une impro totale où j'écrivais ce qui me passait par la tête.
ლ(╹◡╹ლ)Entouré d'inconnus masqués et déguisés vendant leur âme sur le dancefloor, Atsushi recherchait désespérément ses amis.
Évidemment il ne les trouva pas. Il avait espéré en vain que l'aura imposante des ses amis lui permettrait de les retrouver parmis cette foule d'invités masqués. Ils ne semblaient pas être là. Désormais, Il ne lui restait plus qu'à s'occuper gentiment au buffet en attendant que les invités partent d'ici quelques heures.Savourant pleinement, du moins pas autant que le garçon masqué présent au buffet depuis le début de la soirée, les mets sur le thème d'Halloween, Atsushi se demandait ce qu'il avait raté dans sa vie. Le premier raté qui lui vint à l'esprit fut le choix de ses amis qui l'amena, des années plus tard, à cette situation. Atsushi, un garçon calme et rempli de bonté, avait réussit on ne sait comment à devenir ami avec Chuuya, un garçon au tempérament explosif et énergétique (malgré sa petite taille), et Dazai, un garçon beaucoup trop intelligent pour le bien de la société (et surtout de ses amis). Évidemment, c'était ces même amis qui avaient décidé d'organiser une fête masquée pour Halloween chez eux tout en sachant que le gris n'était pas très social et qu'il n'avait aucun moyen de s'échapper puisque les trois amis vivaient en collocation. Les colocataires avaient évidemment fait la sourde oreille lorsqu'Atsushi avait émis certains problèmes.
Heureusement pour lui, le gris n'était pas le seul à déserter le dancefloor. Il y avait le Goinfre, un homme qui lisait tout en marmonnant (sûrement des incantations) sans masque puisque sa frange suffisait à cacher son visage, une fille portant un simple masque noir avec quelques dorures et un homme qui se tenait à côté d'elle avec un masque similaire.
Ce n'était pas la joie du côté buffet, de plus le goinfre avait fini les petites tartelettes préférées d'Atsushi. Il décida donc d'aller voir dans la cuisine s'il n'en restait pas.
Au cours de sa traversée, il vit des choses des plus étranges : un raton-laveur était confortablement installé sur le canapé, le chapeau fétiche de Chuuya par terre, du sang au plafond, des sous-vêtements au sol, quelqu'un déguisé en fermier qui ventait les mérites de sa vache Marguerite, des mouches qui se réunissaient en troupeau sûrement en train de préparer un plan démoniaque, une dizaine de paquets de mouchoirs suspects empilés sur une commode, et encore d'autres...
Arrivé dans la cuisine, il trouva la raison d'un des mystères. Le sang provenait d'une fille assise sur la table de la cuisine occupée à soigner ses blessures avec Yosano, qui apparemment se serait battu parce qu'une fille essayait de draguer son frère. Le fait qu'il soit sur le plafond restait tout de même un mystère.
Après une inspection précise des placards, Atsushi ne trouva pas ses tartelettes adorées. Mais il trouva des chips ! Cependant, les chips ça donnent soif. Il répartit donc sur le même trajet en sens inverse. Au passage il remit le précieux chapeau sur le porte-chapeau (Chuuya avait insisté pour en avoir un à l'emménagement) et parla au fermier (qui en était vraiment un, sa vache avait gagné un concours de beauté d'ailleurs).Une fois de retour au buffet, le gris se sentait épuisé et s'octraya le droit de boire un petit peu d'alcool. Ne tenant pas très bien l'alcool, il évitait d'en boire en général. Mais au vu des invités présents, il se disait qu'un petit dérapage de son côté passerait inaperçu. D'ailleurs, il n'avait pas vu ses amis, à part Yosano, qui se faisaient d'habitude si bien remarqué.
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Où Le Soukoku Règne
FanfictionEt le crack et les univers alternatifs aussi~ Quelques OS skk et sskk (cracks pour quasiment tous) écrits sans prise de tête. C'est une cover provisoire le temps que j'arrive à en faire une de qualité (que je ne ferai sûrement jamais)