Ce sentiment lourd est perturbant pénétrant dans mon crâne tué par la société de nos jours, je tente d'idéaliser celle-ci afin de ne pas me condamner aussi rapidement a la mort qui nous est tous du, tous offert des la naissance, ou seule le temps me permettra de reculer cette épreuve si magique que seule les condamnés ont se privilège de pouvoir y faire face ; lorsque cette période sombre se plonge dans ma tête, aucun espace de recule est envisageable ni même possible a tenter afin de s'échapper de la noirceur de mes pensées je le sais, que au fond de moi, mon cerveau prendra le devant sur la mort, et que la mort devra suivre mon cerveau, celui-ci qui ne veut s'adapter a aucun environnement a part a celui qu'il s'impose, m'imposer des douleurs me rappel que je fais parti des mortelles et que tous peux m'arriver comme tous le monde, mais quelques choses que je ne sais expliquer me ramène toujours a me dire que peut-être ne suis-je pas humain, je suis simplement la en temps que voyageur se qui m'expliquerais pourquoi je ne suis plus, mettre de mes émotions, de mes actes depuis la mort de mon grand-père, celle qui ma temps affecté. Nul ne le sais, mais j'ai besoins de l'exprimer, je le sais, cette événement ma marqué, par la stupeur et la froideur de son long corps allongé dans cette espèce de carapace le protégeant de toutes pensées au actes négatifs, moi petit, face au cadavre de mon grand-père, demandant a ma mère pourquoi ne se réveille t-il pas, son regard incompris posé sur moi me rappelant qu'il est mort, et cette larme coulant sur ma joue, traçant son chemin, comme lui tracerais le siens dans l'haut de là, ou personne ne peut l'atteindre, bien trop haut, bien trop loin, bien trop tranquille. La froideur de mes mots me replonge au plus profond de cette instant, inoubliable, l'envie d'attraper cette lame a coté de moi et de l'enfoncé au plus profond de moi afin dis faire couler mon sang, et ma haine son si puissante, si rude a devoir surmonter. Toute c'est substance que je consomme me servent simplement a remonter a la surface de cette période insoutenable, elle me servent seulement et simplement a oublier mon grand-père l'espace d'un instant et de me laisser divaguer dans mes rêves les plus puissant. Ceux ou le monde n'a pas de haine, que de l'amour et tant de couleur, ou l'Homme est libre de tous, sans même être contraint de devoir effectuer des actions qu'on lui oblige ou même qu'on lui propose, l'Homme pourrais voyager, l'Homme pourrais même décider de sa mort, et le monde serais si joyeux que personnes ne serais la pour se lamenter de son sort, le sort qu'il a décidé. Ma pensée est toujours sombre, peut importe le moment, peut importe la situation, mon mal être viens principalement de moi-même, je ne peut continuer comme ça, a me regarder vivre, a être spectateur de moi-même, sans aucun amour pour sois, avec seulement de la haine et du mépris. Impossible a comprendre être compris et plus personne ne cherche a le faire, il ne faut pas me comprendre, il faut m'observer, je suis spectateur de ma personne et je suis donc imprévisible, la lueur d'espoir se montre parfois, mais je fais demi tour, comme si 'obscurité de mon mentale me rendais plus prévisible et plus sereins face a lui, ce lui qui est moi. Je n'arrive plus a me reconnaitre, pourtant je sais qui je suis et ou je vais. Mais a cette heure si ou vais-je ? Je me suis perdu et il me faudra encore du temps pour que je me retrouve, et encore plus pour que les personnes pensant me connaitre me retrouve a leurs tour. Cette douce mélodie qui chante dans ma tête me prouve que je ne suis pas seule, nous sommes au minimums deux, mais qui sont t-ils ? des démons ? peut-être que se sont eux qui me pousse a faire tous ces actes que je ne veux pas commettre, mais que je suis comme forcé a commettre. Je me laisse dériver car un peu de résistance m'abat comme si j'étais une proie. Je suis une proie, mais la proie de mes pensées. Je la subit au lieu de la suivre. Cette seule motivation de rester ici est de me montrer jusqu'ou je peux aller, combien d'épreuve je peux encore supporter, et combien d'envie de suicide puis-je encore résister. Cette clope que je viens de déposer sur le bord de mes lèvres, me fais respirer la maladie, puis la mort. Ça me rappel a quel point je me sent mal, comment ai-je fais pour en arriver la ? Après la mort de mes grands-pères, je me suis rapproché d'individus qui n'aurais jamais du être des fréquentions pour un être aussi influençable et fragile que moi, comme si mon amitié avec eux était plus puissant que cette partie de ma famille qui me reste, cette famille que je déteste tant et pour laquelle je ferais tous pour la quitter et ne plus jamais la rejoindre. Une fois mon indépendance requise, je partirais du jour au lendemain sans prévenir qui que se soit de cette famille si misérables sois t'elle puis je disparaitrais a tous jamais. Des médecins et d'autres personnes ont tentées de m'aider, mais a chaque fois, dans leur regard, le même signe d'incompréhension se fut lire. Seule face a moi-même, c'est comme si j'était la et que je me contemplé, face a cette égo surdimensionné qui accompagne cette souffrance. Mes sentiments on pris de l'énergie, se voile sombre au quelle je fais fasse est de plus en plus fort, depuis ce mal être qui s'impose a moi, je me suis toujours forcé a ne pas creuser des tranchées sur ma peau. Mais l'envie est si forte, si dense que cette fois ci, il met impossible de résister, alors je saisie cette lame de rasoir et la pose si fortement sur ma peau que celle-ci s'ouvra sans difficulté. Le sang coulant de celle-ci me fais tellement de bien, comme si toute ma haine sortait de celle-ci. Et lorsque j'aurais décris entièrement les sentiments et l'idéologie que je possède, je m'éclipserais pour l'éternité. Je saisie cette bouteille au idée presque claires, anéanti je l'ouvre et fais couler doucement cette douce pluie brulante. Je ne vis pas par amour, je survis pour l'amour, mais je n'y crois plus, mon cœur est comme une cage fermé sans ouverture possible. Je ne me donnerais pas la mort par amour, mais je le ferais pour respirer l'air pure lors de ma monté, puis ma redescente se fera a six pieds sous terre. Dans mes yeux de la colère, dans mon cœur des mutilations, je n'arrive, je ne peux contrôler toutes mes pulsions, cette nuit je m'évaderais de ce monde pour rejoindre l'autre monde, je m'y rendrais a l'alcool mélangé a une substance blanche qui y fera fondre mes organes, ainsi je divaguerais de façon lourde est douloureuse pour punir tous mes péchés que j'ai pu commettre, pour me rendre tous le mal que j'ai distribué et toute cette haine que j'ai refourgué a l'humain.
Ce sentiment d'incompréhension, celui qui génère tous les autres, tous ceux qui me poussent a commettre des actes que je n'ai absolument aucune envie de commettre. Ceux qui m'ont déjà poussé a fuir mon domicile et a me retrouver a plus de cinquante kilomètres de chez moi. Chez moi, la ou je ne me sent même pas chez moi, dans mon propre corps, je ne me sent pas chez moi, seule fasse a ses pages blanches qui n'attendent qu'une chose, que je leurs disent se que je pense, se que je ressent, dans mon corps rempli d'une folie constante. Certaines substance que j'inhale, que je consomme arrive a contrôler ces orbites glauques et sanguinaires se baladant dans mon esprit sombre. Cette haine accumulé que je finirai tôt ou tard a sortir, elle s'échappera par une violence incomprise et délirante, si satisfaisante de rendre mal les hommes n'ayant rien fais pour sauver, mon grand-père, ses médecins qui l'on laissé mourir a petit feu. Cette pulsion est encore plus violente que les autres, et cette envie de faire régner la mort en moi et tellement enviant et t'elle un chevalier brandissant son épée, je brandis ces quelques médicaments, les disposant violemment dans ma bouche, les avalants a l'aide de se liquide brulant mon foie comme un briquet sur de l'essence. La douleur de ce mélange m'apaise. L'âme lourde et sans aucun regret, je me laissa tomber sur mon lit, l'esprit divaguant mais toujours conscient, j'envoie quelques messages a ses personnes ayants une importance infinie pour moi. Les paupières lourdes, je m'éteints lentement, vigoureusement comme satisfaits par mon action, un dernier sentiment de plaisir m'envahi, comme libéré de mes démons trépidants. Mon âme s'envolant, se refermant comme par au-dessus de mes yeux, mes lourdes paupières me faisant voir un noir sombre et lourd.
Une lourde douleur pesante frappant mon crâne, mes yeux s'entrouvre et la lumière pénétrant mon âme, me prouve que j'ai encore échoué et que ces pulsions désastreuse vont encore se présenter me baignant toujours plus dans un bain remplie de mon propre sang. Allumant ce cône remplie d'une substance désireuse m'emmenant dans une idéologie toujours plus profonde. La direction de la fumé vers le cieux emmène corps et âme toujours plus haut, et sur ce bon de mélancolie, les pieds dans le vide, assis au bord de ma fenêtre, je contemple le monde extérieure, si triste et heureux a la fois, un temps gris et froid, mais quelques enfants jouant dans la neiges et rigolant si insouciamment. Cette homme ce décrivant comme mon père me scrutant d'un regard plein de mépris et de haine, soufflant d'exaspération commence a me rabaisser si bat qu'il met impossible de me reprendre en main directement, abattu, dévasté je me lève, l'esprit chaud et le cœurs froid, le frappant sans remort plusieurs fois, cette homme n'est plus rien pour moi, a part un humain. L'esprit lourd, je prend un sac, et sans aucune métrise de mes actions, je met quelques affaires qui me sont indispensables, quelques carnet et stylo, deux pulls, un pantalon et des écouteurs. Montant sur mon vélo, un cour courant de liberté envahi mes poumons, je me dirige vers ces chemins rocheux m'emmenant la ou je ne sais pas ou je vais a l'image de ma pensée affaiblie et rugueuse. La musique s'agitant dans cette boite crânienne que je veux temps faire sauter m'exil de se monde auquel je dois faire face chaque jour. Alors les kilomètres défiles, le temps passe et les forces de l'ordre son envoyé a ma poursuite afin de me retrouver. Cette lumière bleu fasse a mon dos, projetant mon ombre brute mais a la fois vague au sol. Le pied lourd collant la pédale, l'enfonçant toujours plus fort, jusqu'à cette voiture au gyrophare bleu stationnent face a moi...
Cette dispute si déchirante n'est pas seulement avec toi, mais également avec moi, corps et âme m'appartenant essaye de se prendre dans les bras, mais la chaleur de l'un et la froideur de l'autre les repousses instantanément. L'apaisement de ce joint d'herbe que je consomme avec désir et besoin m'apaise lentement puis tombant amoureux je tombe au sol, un bruit aigu dans mes oreilles, ma vision flouté. L'amour ma fais me relever et ma haine ma fais m'écrouler. Le temps vague, je me relève et déverse un trait de whisky dans mon foie, mon corps affaibli me regarde me détruire seule, plus besoins de l'environnement vivant qui m'entour, le regard des humains est devenu comme inutile a mes yeux, mais mon propres regards. Replongeant une seconde fois, des capsules fus déposé dans ma bouche, avalé a l'aide de cette bouteille de whisky. Le temps de l'écris, ma tête lourde tombe, et percute le sol, les pensées troubles, je pense a elle...