Un sacrifice imaginaire

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 Puis, une fois, je suis resortie rapidement de l'ascenseur, je suis rentrée dans notre voiture en compagnie de ma mère, on a réussi à esquiver la voiture grand-pierre, puis on est sortis du sous-sol. Je ne vous cache pas la fierté que j'éprouvais pour moi-même à ce moment-là. Par contre, en sortant, on s'est retrouvés dans une invasion de zombis. J'avoue que j'avais paniqué, puis, ayant rapidement repris mes esprits, j'ai réfléchi de quelle manière pouvais-je bien me sortir de cette situation compromettante, et, ayant étudié la situation, une solution me vint à l'esprit, et par la même occasion me glaça le sang. Néanmoins, c'était bien là la seule solution: j'avais pris la décision de me sacrifier, en me disant que si je sortais de la voiture, toute l'intention serait portée sur moi, ce qui donnerait l'opportunité à ma mère de s'échapper saine et sauve. Je lui avais expliqué mes futures actions, je me rappelle qu'elle faisait tout pour m'en empêcher en pleurant. Je lui disais que, quoi qu'il arrive, j'allais sortir, et que je lui demandais de ne pas gâcher mon sacrifice à son égard. Elle finit par accepter à contre-coeur, je lui fis mes adieux en l'embrassant chaleureusement. Après quoi, je me retournis vers la porte, l'observant un instant en faisant mes dernières prières, puis, décidée, attrapai la poignée, la pivotai, l'ouvris, puis me montrai au grand jour, à cette vision d'horreur.

Le temps presse.

Je me levai, pris un court élan, sautai, fermant les yeux. Dans un court instant, je me retrouvai dans une grande pièce sombre de façon à ce que je ne puisse voir autour de moi qu'un drap ébène, assise sur un canapé vintage, devant un grand écran sur lequel était inscrit "clique sur play", une télécommande à la main. Machinalement, j'exécutai l'ordre. Aussitôt, une larme solitaire perla sur mon visage: tous mes souvenirs s'affichaient l'un après l'autre. Ce fût un court instant, un instant de nostalgie, un instant de repos,

un instant de remord.

Le vidéogramme achevé, j'éteignis l'écran, j'ouvris les yeux, me trouvant pratiquement engloutie dans un groupe de morts-vivants. Je vis ma mère au loin par le rétroviseur, pleurant à chaudes larmes. Elle s'éloignait de moi malgé elle, petit à petit.
Ma vision se mit à s'affaiblir, ma consience se mit à se dissoudre. Un dernier remord, un dernier pleure, un dernier sourire,

un dernier regret...

J'étais morte. Me réveillant soudainement de ce rêve, je me sentais à la fois rassurée et dérangée.

Était-ce réellement la bonne solution? Je ne le sais pas, et je ne le saurais sûrement jamais. Les jours suivants, je ne sessais de réfléchir à ces mêmes questions: quelle aurait été ma décision si jamais ce rêve devenait réalité? Est-ce ma mère aurait accepté mon choix? Quoi qu'il en soit. Ça aura été plus ou moins une bonne expérience à vivre, bien que non peu glauque.

489 mots cette fois. Franchement j'ai bien aimé écrire cette histoi- ... quoi? boooooooon ok j'ai pas posté pendant loooongtemps mais j'avais pas le time avec les études, les projets, les animes, le dessin (parce que je fais du dessin mon compte insta est @ zelda_animeart voilà promo faite en soumsoum fermeture des parenthèses dans 3 2 1 tjiouuu) et puis, et puis... bon. Ok, je m'excuse, je suis désolée. Comme ça, tout le monde est content😁
Alors du coup même si y a, qu'on se le dise, très peu de gens qui lisent mon contenu non-existant, genre y a moi eeeet... moi, bah y en a pas beaucoup qui lisent. En même temps, c'est un peu éclaté au sol donc breeeeeef. J'espère franchement que les rares personnes qui passent par là on aprécié ce moment, et puis bousclavida👋

Un cauchemar répétitifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant