Mon rythme cardiaque, ma respiration,mes pensées, tout s'accélère.
Je pleure, je tremble, je tient ferment mon collier.
Bref, j'ai peur.
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Si l'on devait illustrer mes sentiments par une figure mathématique, ce ne serait ni une parabole ni une parabole, ni une sinusoïde. Ce serait juste un gribouillis.
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Je tire la corde de toutes mes forces, je tire la corde jusqu'à épuisement.
Puis vient le weekend , pourtant je ne peut m'empêcher de penser à ce qui m'attend.
Je ressasse le jours, je ressasse la nuit sans pouvoir mettre en pose mon cerveau éreinté.
Et enfin je vois la semaine recommencer.
Je m'épuise sous le poids des jours, des mois, des trimestres. Mais, je ne pourrait probablement jamais reprendre mon souffle.
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Chaque Vendredi je me dis "dernier jours avant le weekend".
Chaque jours de la semaine je me dis "pourquoi ne ferais je pas ce jours le dernier?"
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Le fil de mes pensées
PoetryLe recueil d'une âme en peine cherchant un peu de liberté... Parfois, la nuit, lors de mes insomnies, ou La journée lors de mes rêvasseries je réfléchis. Des images, des mots puis des phrases se forme dans mon esprit. Mais, je n'ai personne avec qui...
