Cela faisant plusieurs semaines, voir des mois que je restais enfermée dans ma ‘’maison blanche’’. Je ne sortais plus, ne faisait plus les courses, je ne rendais plus visite à Annie. Et tout ceci depuis que l'on m'ait envoyé cette enveloppe. Ce n'est pas ces petites enveloppes blanches où l'on trouve de temps en temps une lettre amicale parfumé ou bien une carte postale. Celle-ci était grande, marron, et lourde. J'en avais sortis une feuille blanche où des petits bouts de journaux étaient soigneusement collés. Je pensais à une erreur au début... Mais je m'étranglais de peur en voyant ce composaient ses bouts de phrases...
« Tu pensais que personne ne sans douterais ? Et bien tu te trompes. Car moi je sais qui tu es »
Voilà ce qui était écrit mots pour mots... Mais ce n'était pas cela le plus effrayant. On nous avait pris en photo... Michael et moi. La preuve je trouvais de multiple clichés au fond de l'enveloppe, il devait y en avoir plus de 1 cm d'épaisseur. Je déglutis quand je vis ce qu'elles contenaient. Michael me tenant la main, moi dans ses bras, Michael et moi dans le bain, lui et moi dans le même lit. Pour moi il n'avait rien d'ambigüe la dessous, mais que dirais les autres s'ils voyaient cela ? Après l'affaire Chandler je ne voulais pas que cela dégénère de nouveau !
Voilà ce qui à fait que je me retourne dans les rues, que je surveille à travers mes rideau les alentours. Un paparazzi en manque de scoop ? Comment à t-il peut rentrer au sein de NeverLand ? Il n'y a que moi qui connaissais le passage secret, moi et Michael ... A moins que ...
Le téléphone interrompit mes pensées et je me recoiffais rapidement comme si l'interlocuteur allait sortir du combiné.
« Sharon Jac... Stander à l'appareil...
_ Mon petit comment ça va ? Fais attention à ce que tu dis. C'est dangereux, tu sais ? »
C'était Dorothy, je fus un peu rassurée, la façon dont elle me disait de faire gaffe à ce que je pouvais dire, me fis douter un moment ... Etait-elle au courant de quelque chose ? Je devenais parano. Chose qui n'arrangeait pas mon cas.
« Oui, oui tout baigne, répondis-je en jetant un regard par une minuscule ouverture la fenêtre.
_ Oh, tu as une petite voix, me fit la grosse dame, enfin j'ais quelque chose qui pourrait te changer les idées... Ton père m'a appelé hier et ...
_ Dorothy, la coupais-je en sentant mon cœur se serrer, ne l'appelle pas comme ca. Je ne m'y habituerais jamais...
_ Oh bon, c'est nouveau ca. Enfin ... Michael m'a appelé, il voulait te dire qu'il t'invitait chez lui.
_ En quel honneur ?
_ Il voulait te présenter à sa famille.
_ QUOI ? Euh je veux dire oh c'est cool. »
En réfléchissant bien... Je pourrais penser à autre chose, comme elle disait. Me présenter cela voulait dire ... En tant que fille légitime ? Et moi que dirais-je devant toute la famille. Je connaissais rapidement les sœurs, Maureen, Janet et La Toya, et elles me prenaient toute pour sa petite amie. Dans quel quiproquo m’étais-je mise ?
« Quand est ce ?
_ Demain soir, mais il t'autorise à venir avant si tu le souhaite.
_ Dorothy ... commençais-je un brin de stress dans la voix.
_ Oui mon petit ?
_ Pourquoi il ne m'a pas appelé lui-même ?
_ Et bien ... »
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Blanc Comme Neige ᴹᶤᶜʰᵃᵉˡ ᴶᵃᶜᵏˢᵒᶰ
Fiksi PenggemarAlors qu'il pensait n'interroger qu'une illustre inconnue, Martin Bashir voit son opinion bouleversé quand il fit la connaissance de Sharon. Sharon, ou l'orpheline aux cheveux de blés ayant partagé toute l'existence de l'illustre célébrité Michael J...