La journée, j'suis qu'efficace, à dormir.
Car, la nuit, j'me tortille.
Dans mon lit, j'me questionne.
Que faire, dans c'monde, de dictionnaire.
Dicte moi, j'déciderai, la dernière étape.
Comment monter d'étage, sans faire tomber, d'étagères ?
La sensation, est légère, par terre, sans faire simulation.
Fatigué, sans en parler.
De parole, à paroles, j'vais m'retrouver au parlement.
Avoir faim, m'remet, l'boost, à fond.
A plomb, pour appeler, les transports.
Où j'croise, des vieux, qui dansent, des jeunes, qui tremblent.
Où j'croise, transgenres, transphobes.
La guerre, guerre, des formes.
J'suis un microbe, donc, j'préfère regarder, les filles, les plus folles.
L'humour, l'amour beauté, l'environnement, est faussé.
J'vois une, blonbune.
Incroyable coiffure, j'suis tendu.
Jeu de regards, jusqu'à que quelqu'un, parle.
J'descendrai, quand, tu descendras.
Enfin si, j'connais, le chemin.
J'descendrai, quand, tu descendras.
Enfin si, j'connais, le chemin.
Sans arrêt, j'tournouille, à chaque arrêt, d'ce bus.
Conducteur, freinant, avec abus.
A chaque salut, d'un glandu, de dehors.
Jeune mademoiselle, à doux visage.
Ne regarde pas, cette moitié beauté.
Chamboulé, par ta douce peau.
Chamboulé, par ta douce paume.
A combien, j'pourrai en courir ?
A combien, on s'met, en couple ?
Regarder ailleurs, que toi, est inconcevable.
Ce ciel, arrête, d'le mater.
Ces traces, de nuages.
Sont des dessins bâclés.
Un peu comme nous, Dieu a badé.
D'un cheveu, j'aurai pu dire, eurêka.
Mais comme dab, j'suis en retard.
T'es partie, dans c'terrible arrêt.
Sûrement, près d'ton appart.
Peur d'te parler, peur d'être un rapace.
Jeune en déclin, l'avenir, peine à repasser.
Si c'était réciproque, on verra, le jour prochain.
J'descendrai, quand, tu descendras.
Enfin si, j'connais, le chemin.
J'descendrai, quand, tu descendras.
Enfin si, j'connais, le chemin.