Ce lundi matin, j'entendis mon alarme et son son insupportable que mes oreilles fatiguées supportait quand même. Cette alarme répétitive qui m'invitais à faire mon quotidien bien triste et froid. Mais mes jambes était trop lourde de peine ce lundi matin.
J'éteignis faiblement mon réveille et m'arrêta pour regarder un plafond fade. Les voix dans ma tête ont commencées à me susurrer des phrases auquel on ne voudrais pas réfléchir. J'essaya alors d'en faire abstraction en fixant ce plafond blanc et mal peint. Les questions ont commencées à cesser et c'est le vide absolue qui avait prit place. J'ai compris alors que je m'étais perdue et réalisa qu'il était temps de sortir de ce grand lit à moitié vide.
Mais l'idée de m'extirper de cette chaleur confortable m'empêchait de le faire vraiment. Alors je pris les forces qui étaient dans un recoins et sortie de ce lit. Je ne sais pas à qui étaient ces forces mais ce n'était sûrement pas les miennes, ma peine était trop lourde et disait aux autres sentiments et état d'âme de partir avec force.J'entra dans la douche et pensa à cette chaleur et fraîcheur que la douche allait me livrer, souvent trop fraiche au début et trop chaude par la suite. Cette fraîcheur qui crispe et cette chaleur qui fait rougir ma peau et fait apparaître des plaques rose foncées.
L'eau sortit et me crispa et fonça ma peau comme je l'avais imaginé auparavant. Ici même les voix ont reparlées, et je m'immobilisas pour regarder le vide et essayas dans faire abstraction encore. Cette fois-ci elles persistaient, mais je ne voulais pas penser à cette solitude qui m'envahissait ce lundi matin.Sortis de la vapeur qu'avait créé la chaleur, et parcours ma maison pour arriver dans ma pièce encore vivante des mouvements que j'avais fais avant cette douche.
Je commença à m'habiller, une autre source de chaleur qu'il fallait réaliser avec des mouvements qui me semblait trop fatiguant à faire.
La couleur noir avais pris le dessus avec autant de force que la peine. L'envie de m'effacer ce lundi matin, d'oublier cette journée trop lourde à porter. Je regarda ma montre, et vis l'heure, elle ne m'avait pas attendus, deux minutes de trop c'était écoulées. Je pris encore des forces et sortis de la maison accompagné de mon sac à dos remplis des cours que j'allais avoir ce lundi matin.Je ferma la porte et m'arrêta, le ciel était obscur, je le regardais plus attentivement, le ciel était tacheté de lumière. Ma bouche laissas un sourire s'échapper. C'était mon premier sourire ce lundi matin.
VOUS LISEZ
Histoires de vie
Historia CortaHistoire écrite sous le coup de « l'émotion » (Ont va faire abstraction des fautes 😅)