La douleur

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Je ne vois que la terreur, j'en ai assez, assez de faire voir ce que je ne peux supporter. La douleur reviens encore, mais cette fois ci avec de la rigueur. J'aimerais voir ça comme un défis, mais tout ce que je vois me dit le contraire... je finirais abandonnée sans que je ne me rends contre. La pluie tombe, je m'effondre dans les plaques, où les gens passent en doublures. Non je ne parlerais pas, comment aurais-je la force pour parler à ceux qui finiront par me trahir ou même me mettre de coté. Alors là je ne parlerais pas, pas à eux... Moi j'ai marchée dans le sombre et la misère d'enfance, je n'ai aucun doute de ma réussite. Alors écoute moi:

Maman ma toujours dit d'attendre, ça allait finir par arrivé un jour. Je te jure j'aurais aimée de rien croire, mais les circonstances ne me donnait pas le choix. J'avais un but, le but de ne pas me ramasser plus bas que ceux qui m'ont piétinés avec de la fierté. Tu as dis que tu en avais besoin de l'amour et même donner. Croire tout ça me causais des cauchemars. J'aurais espérer de ne même pas voir que c'était toi qui allait me forcer à m'ouvrir à toi. Un amour avec des routines à s'en causer de la tristesse. Le bruit de la pluie tressaillait dans mes veines, j'avais fini, fini avec tout ça. Dites les j'étais contente, mais perdue. C'était impossible de voir plus loin, je n'avais rien, rien qui puisse me rendre utile. Je te traitais d'une façon non commun. Tout ce que je voulais était là, hélas c'était impossible de ne pas avoir de sentiments. Cette personne qui avait le pouvoir de me faire tout oublier. La réaction du publique me donnait la chair de poules... mais j'ai quand  même continuer jusqu'à me rendre contre que ma vie se nourrissait des ordures. La réaction de mes entrailles en avait pas la force de tout supporter, j'en avais surement la réponse, mais je ne voulais pas céder ma place à n'importe qui. Mon entourage fessait tout pour puisse me protéger du danger, la question était-t-il pertinente¿ (quel danger!?). Es-ce le danger de ne pas pouvoir croire aux autres ou même de ne pas avoir une famille sur qui compter? ... Tout ça semblait un mystère, j'avançais qu'avec le rythme. Je souhaitais de ne pas avoir a lutter contre mon sang, je n'avais aucune intention de partir. J'irais la on trouvera rien, rien a aimer ou même construire, tout que l'on s'aime fini toujours par partir. C'est mieux d'etre magique, la magie qui existe pas au près des hommes. Je le sens près de moi, mais je n'ose pas l'approcher, je sens la saleté, la trahison qui vient avec, de même de la colère d'une triste passé. Si je ne me réveille pas de ce cauchemar j'vais m'éteindre petit à petit, au bord de la mer, allonger dans la sable en serrant l'une contre l'autre , une nuit vaut plus qu'une pièce alors je ne  peux avoir de la confiance, c'est le temps de ne plus y croire en moi. 5 heures du matin je me drogue sous la pression de tes actions. Bienvenue vers l'enfer, un enfer qui aura a peu près une fin ...

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 28, 2020 ⏰

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