/!\ scènes de sexe /!\
Une fois à l'étage elle me jetta à nouveau sur le lit. Même si on pouvait croire qu'elle était plus calme ce n'était pas le cas. Mes deux mains attachées furent bloquées au dessus de ma tête et elle s'assit sur mon bassin.
- Je suis désolé chaton, j'ai besoin de me calmer.
Elle remonta mon t-shirt et glissa ses mains chaude sous mon dos pour dégrapher mon soutien-gorge. Mes seins étaient à sa vue entière. Son corps était déjà nue sur moi, elle avait brûlé ses vêtements avec le corps. Ses seins tombaient légèrement mais étaient parfaitement proportionnés. Sa main glissa sous mon pantalon pour se glisser contre mon ouverture qu'elle caressa avec deux doigts. Un léger gémissements sorti de ma bouche, j'en étais honteuse.
Elle s'allongea au dessus de moi, sa tête dans le creux de mon cou. Ses lèvres aspiraient ma peau pour y laisser des marques bleutées. De sa deuxième main elle venait caresser mes joues rougies.
Les caresses de mon entre jambe disparurent et le tiroir de sa table de chevet s'ouvrit. Je vis un gros sexe en plastique violet atterrir au dessus de moi et l'autre sourire.
- On ouvre la bouche chaton.
- Mais il est énorme mat !
Elle profita de mes quelques mots pour l'enfoncer dans ma bouche. D'abord dans le creux de ma mâchoire mais vu que l'objet n'était pas entré jusqu'à sa base Mathilde n'était pas contente, elle l'a donc poussé dans ma gorge. Mon corps fit un mouvement pour l'expulser mais elle appuya dessus, je senti mon envie de vomir augmenter jusqu'au moment où elle le retira totalement. La sensation d'inconfort restait dans ma gorge et me démangeait.
- Mathilde...
Sans crier gare elle descendit mon pantalon et m'a culotte à mes pieds et les retira, mon sous-vêtements atterrit dans ma bouche en boule pour me faire taire.
Tout était si violent mais si doux à la fois. Elle poussa sur mes jambes pour les écarter, un frisson me parcourra. Mon corps en mourrait d'envie. J'ai repensé à l'homme sous la guillotine quelques heures avant, l'odeur du sang oxydé et du cadavre brûlé et étonnement mon envie diminua. Soudain le jouet de Mathilde prit une place grandissante en moi alors qu'elle embrassait mon cou. Je poussais un crie étouffé de douleur, ma tête renversée en arrière. Elle est réellement folle. Quand elle le laissa sans bouger dans mon vagin on n'entendais que ma respiration haletante dans la pièce. Je l'aimais à contrecoeur et je la haïssais. En silence elle se leva et courut en bas pour revenir avec un panier dans les main. Quand elle le posa sur les draps un bruit de plastique m'interloqua. Je la vis lentement attraper des pinces à linge et venir les pincer sur mes tétons, le côté de mes seins et l'intérieur de mes cuisses. La douleur du god était si intense que celle des pinces était quasiment inexistantes. Quand elle eu fini le jouet commença à bouger, d'abord lentement puis bien plus vite en moi. Elle ne tarda pas à inséré le bout qui sortait de mon vagin dans le sien. Mentalement je la suppliais de ne pas bouger mais elle entama des mouvements verticaux. Le plaisir pris progressivement le pas sur la douleur. Quand j'ouvris les yeux je la vis les larmes sur les joues. Mes doigts s'enfonçaient dans la peau de mes main jusqu'à m'en faire saigner. Étrangement la douleur s'apaisa, non pas que tout ça s'arrêtait mais elle me fit des caresses si douces que la douleur s'envola. Sa tête dans ma poitrine qu'elle embrassait remonta jusqu'à mon cou et mes lèvres. Je sentis ses dents mordre ces dernières mais pas violemment, plutôt... tendrement ? Juste assez pour être sensuel.
La vitesse dans mon vagin s'accélèra et se stoppa net d'un coup. Elle avait jouis sur moi. La sensation de sa cyprine s'écoulant sur ma peau me donna un frisson. Elle se releva ensuite et retira le god de mon entre jambe. Tout le rangement de passa très rapidement, comme si elle avait honte, comme si elle regrettais. J'étais toujours allongée me demandant ce qu'il se passait, et si moi aussi j'allais avoir le droit à l'orgasme. Il en fallut peu pour qu'elle s'allonge à mes côté et fasse glisser ses doigts le long de mon corps avant de les rentrer dans ma bouche.
- Dis moi que tu as aimé.
Elle frottait ses doigts sur ma langue longuement.
- Chaton ne me fâche pas.
J'acquiesça et elle retira ses doigts.
- Moi aussi je voudrai bien pouvoir terminer...
Je lui avoua honteusement vouloir que ses caresses contre ma peau continuent, que ses baisers qui me brûlaient la peau recommencent.
- Ça ce n'est que pour les chatons assez sages.
Elle me bloqua dans ses bras et se blottis dans mon cou. J'ai attendu qu'il se passe quelque chose et j'ai finalement compris que l'heure de dormir était venue pour elle. Sa sieste dura, et dura encore.
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Stockholm syndrome
Fiksi Remaja- Le monde extérieur est une prison. - Mais c'est moi qui t'emprisonne.