Un Pétale Sous La Pluie |J.Jk|

17- Nouvelle famille.

Assise sur la chaise du salon, je frottais mes mains l'une contre l'autre, nerveuse. Mon père se tenais là, appuyer contre le mur, le téléphone à l'oreille. Il tenais le file entre ses doigts alors qu'il discutait calmement mais sérieusement avec le Générale de l'armée. Je l'imaginais facilement, assis à son bureau, vêtue de sa veste militaire ornée de toutes ses médailles, un cigare dans une main et son téléphone dans l'autre.

Ma mère avait préférée se retirer en allant préparer le diner, interdisant à mes frères de jouer dans la pièce principal tant que la communication n'avait pas prit fin. Pour ma part, je n'avais pu que me poser là, fixant mon père répondre à ce qui me paraissait, une pluie de question.

Il ne raccroche le téléphone contre le mur qu'après une heure de discussion, tournant immédiatement son regard vers moi.

"Jungkook vient d'être prit en charge, le sergent tenait à ce que l'on sache qu'il tenait parole. Il a donner l'ordre pendant notre conversation."

Un souffle libérateur s'était propager dans mes poumons alors que ma main était venue se placer sur mon cœur. Un rire nerveux m'échappait alors que mes yeux étaient subitement vitreux. C'était la plus belle des nouvelles. Je me sentais enfin soulager, reprenant vie intérieurement.

"Merci infiniment papa..."

Il était venu m'enlacer, me disant qu'il était fier de moi et qu'il m'aimait. Puis il s'était reculer, se tenant droit devant moi avant d'annoncer :

"Ton mariage a lieu la semaine prochaine."

Mon sourire s'envola alors, prenant conscience que tout se précipitait à présent.

"Une semaine? N'est-ce pas un peu tôt? Je n'ai même pas rencontrer son fils!"

"Nous avons organiser votre rencontre dans deux jours, puisqu'il rentre demain. Nous irons diner en famille et ainsi vous aurez tout le temps nécessaire pour faire connaissance."

J'avais hocher la tête en venant observer mes mains toujours liées, légèrement anxieuse de cette rencontre. Si il était aussi intimidant que son père, je savais déjà que j'allais avoir du mal à m'ouvrir à lui.Mais je savais ne pas avoir le choix et acceptais la situation. Je le devais, pour lui.

Je pensais à mon beau brun, souriant et parfaitement rétablis, recevant sa première médaille pour avoir participé à la victoire de sa nation. Un léger pincement au coeur me pris en réalisant que je ne serais la pour le féliciter, mais j'étais heureuse de savoir que grâce à moi, il pourrait vivre une vie paisible et heureuse.

Je m'étais donc lever, offrant un dernier sourire à mon père avant de rejoindre ma chambre pour récupérer une veste et aller directement annoncer la bonne nouvelle à monsieur Jeon qui attendait certainement tout aussi impatiemment que moi. Ma mère m'avait vu parfaitement apprétée m'avait arrêter juste devant la porte, me demandant de ne pas trainer, le diner étant prêt.

Et je lui avais affirmer ne pas prendre longtemps, tenant simplement à faire passer l'information.

J'avais couru le long des rues, m'excusant et saluant les passants quand je le pouvais. Mais arriver devant la fameuse maison, je remarquais le manque de lumière émanant des fenêtres. Je m'étais d'abord dis qu'il s'était contenter de la lueur du feu de cheminée, avant de toquer à sa porte et de ne recevoir aucune réponse. Cela m'avait étonner, il était l'heure du souper. Mais je ne m'étais pas décourager pour autant, faisant le tour de la maison pour rejoindre sa boutique, donnant de l'autre côté de la rue.

"Monsieur Jeon? Vous-êtes là? C'est (T/P)!"

Avais je crier, espérant qu'il m'entende suffisemment si jamais il travaillait. Mais encore une fois, aucune réponse ne vint. J'avais frapper à de nombreuses reprises, mais j'avais été forcer de conclure qu'il n'était pas présent. Ce qui m'inquiétais un petit peu.  J'avais donc fini par rebrousser chemin, un peu moins enjouée qu'à l'aller.