chapitre 9

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Hello mes petites saucisses de dinde j'espère que vous allez bien ? Je suis désolé pour avoir un peu de retard parfois, mais en ce moment ce n'est pas vraiment évident pour moi. Je passe des moments très difficiles. Mais voilà la suite de notre cher roi.
Xoxo Jane.

Le lendemain matin, quand Aya se leva, elle était seule dans le lit. Ilian lui avait laissé un petit mot à côté de son oreiller. Ce mot lui préciser qu'il travaillerait toute la journée et qu’il ne la verrai que le soir lors de la réception. Elle devait aller s’acheter une robe en ville et décida de s’y rendre accompagné d’un conseillé du roi. Durant le trajet, elle demanda à la voiture de s’arrêter soudainement. Quand elle se rendit compte qu'il y avait une masse de personnes qui criés de colère.

Aya: Farid que se passe-t-il ?

Farid:  J’ai l’impression que le peuple est mécontent.

Aya:  Pourquoi cela ?

Farid:  J’avoue ne pas le savoir Altesse.

Aya:  Il faut faire quelque chose.

Farid: Nous ne devons pas intervenir, c’est beaucoup trop dangereux.

Aya: Dangereux ? Pourquoi cela ?

Farid: Quelqu’un pourrais s'en prendre à vous.

Aya regarda nerveusement Farid. Brusquement, elle ouvrit la porte de la voiture et décida d’intervenir. Suivi de près par Farid complètement paniqué. Quand elle arriva près de la foule, elle se fraya un chemin avec beaucoup de difficultés et déchira même sa robe. Arrivée face un homme qui tenait un sac de blé dans les mains, elle s’arrêta. Cette homme empêcher le peuple d’entrer dans son magasin. Elle demanda ce qu’il se passé. Une dame lui répondit que le marchand ne voulait pas vendre son blé. Elle fut étonnée et demanda des explications au vendeur. Il lui dit que le roi avez expressément demandé à ce que le blé ne soit pas vendu aux peuples. De peur qu'il y est une sécheresse et qu'il manque de vivre. Elle savait très bien que c’était faux. Elle savait qu’il mentait. Ilian n'aurait jamais fait une chose pareille. Elle fronça des sourcils.

Aya:  Comment vous appelez-vous?

Samir: Samir Raden.

Aya: Dites-moi Samir, le roi vous a vraiment exiger de ne pas nourrir le peuple ?

Samir ne savait pas qui c’était, et le peuple non plus d’ailleurs. Elle n’avait pas encore été présentée en tant que futur reine. Il acquiesça et alla même plus loin en disant connaître le roi. Aya regarda à Farid dans les yeux.

Aya: Dite-moi Farid, avez-vous déjà vu cet homme au palais ?

Farid: Non altesse.

Quand le conseiller du roi appela Aya Altesse, plus aucune personne ne fit du bruits. Quant à Samir, il devint pâle comme un fantôme. Il comprit qu’il avait fait une grande erreur. Elle lui prit le sac de blé des mains et le donna à une femme qui était proche d’elle.

Aya: Tenez madame, notre cher et tendre vendeur va vous l’offrir.

Samir ne dis plus rien.

Aya: Quant à vous monsieur, vous allez ouvrir votre magasin et vendre à ces messieurs et ces dames votre marchandise. C'est pour cela que vous êtes ici. Je vous prierai également de ne plus jamais, j’ai bien dit jamais parler au nom de mon mari. Vous pourriez avoir d’énormes problèmes.

Samir trembla légèrement et s’inclina. Toutes les personnes autour se mirent à applaudir la future reine. Farid l’aida à entrer dans la voiture.

Farid:  Vous avez pris leur cœur du peuple Votre Altesse.

Aya: C’était insupportable. Comment cet homme peut-il mentir de cette façon ? Ilian n'aurait jamais autorisée une chose pareille.

Farid leva un sourcil quand il entendis qu’elle venait de l’appeler par son prénom. Elle ne s’en était même pas rendu compte.
Le roi était dans son bureau, il songeait à la future reine. Il ne pouvait s’empêcher d'avoir de fort sentiment pour elle. Comment cela pouvait être possible? Ne devait-il pas détesté toutes les femmes. Et pourquoi n’y arrivait-il pas avec elle ? Peut-être était-il temps pour lui d’ouvrir son cœur de nouveau ? Soudainement, la porte de son bureau s’ouvrit, il vit Jeanne entrer à l’intérieur avec un grand sourire. Il se leva et elle lui sauta dans les bras.

Ilian:  Je ne savais pas que tu viendrait aujourd’hui ?

Jeanne: Il y a le bal ce soir, je ne voulais pas rater l’occasion de voir la future reine. Dis-moi qu’est-ce que tu es beau.

Ilian lui souris, sa cousine avait toujours été charmeuse. Mais il savait que ce n’était qu’une façon de parler.

Ilian:  Alors comment était l’Italie ?

Jeanne: C’était pas mal, mais les hommes ne sont pas aussi bien qu’ici. En tout cas pas aussi bien que toi.

Ilian: Toujours aussi charmeuse dis-donc.

Soudainement, Elyès, un de conseiller du roi, vînt dans son bureau complètement affolé. Il demanda au roi d’allumer la télé ce qu’il fit. Il vit sur une chaîne d’information qu’une émeute avez éclaté après l’arrivée de la reine. Il n’y avait aucune image d’elle, mais on pouvait voir le peuple crier et hurler.

Le Roi D'Azani & La LuneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant