CHAPITRE 21 : 𝒊𝒍 𝒏𝒆 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆.

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~Précédemment~

Rempli de mauvaises nouvelles cette journée ne pouvait pas demeurer pire. (t/p) s'efforçait de garder la tête haute malgré toute la tristesse qui s'enfouissait tout u fond d'elle. Levi n'ayant jamais développer le rand pouvoir de comprendre les gens n'eu pas le réflexe d'insister sur la conditions mental de ses soldats et parti déçu de cette expédition.

POV DU READER- 

Je me lève brusquement du sol ouvrant avec force ma porte, m'engageant dans les couloirs vides à la recherche de la chambre de Jean , j'étais déterminer à le retrouver et à pouvoir l'aider comme je pouvais.

Mes larmes coulaient encore, alors oui je vous l'accorde ce n'est pas la chose la plus encourageante que l'on pourrait voir après la mort de l'un de ses amis mais c'est toujours mieux que rien.

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Je marchais, aussi vite que je pouvais pour rejoindre Jean. malgré notre différence d'âge il restait un très bonne ami alors je me vois très peu ne pas le soutenir dans un moment pareil, un moment aussi difficile pour nous mais encore plus pour lui.

Finissant finalement par atteindre sa chambre j'hésitai un moment avant de me décider à entrer. En réalité j'avais peur de le déranger et de le mettre encore plus mal qu'il ne l'était déjà mais, je pris mon courage à deux mains et toquai à la porte.

Jean- qui c'est ? C'est vraiment pas le moment désolé {il ouvre la porte} (t/p), qu'est-ce que tu fais là ?

Moi- je- {je le serre fort dans mes bras}

Voyant son visage peiner la première chose qui m'est venue à l'esprit était de le prendre dans mes bras. Sentant sa fébrilité je ne pu m'empêcher de lâcher une larme à cet instant. Lui offrir ce câlin était pour moi comme une façon de lui montrer que j'étais là s'il avait besoin de réconfort. Une manière de lui montrer qu'il ne sera jamais seul ici malgré le fait que Marco ne soit plus parmi nous...

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Sur cette instant de tendresse il resserra son étreinte et me serra encore plus fort vers lui de façon amical. Personne ne parlait, et en fait personne n'avait envie de parler par peur de gâcher ce moment fort en émotions, mais le silence se brisa rapidement après qu'il sorte ces quelques mots de sa bouche. . . 

Jean- je ne suis pas triste. 

Moi-  {je m'écarte de lui} alors pourquoi tu pleure ? 

Jean- TU me fais pleurer.

Moi- {je ris} oui évidemment c'est moi qui te fait pleurer !

Jean- oui c'est exactement ça !

Jean et moi continuons de rire sans nous soucier de ce qui se trouve autour , riant à vive voix comme deux bons amis qui n'ont pas l'air d'avoir traverser une mauvaise passe. . .J'étais contente d'avoir pu lui parler et de m'être assurer qu'il aille bien, étant plus âgée je ressens comme le besoin de m'assurer que chacun va bien et ce n'est pas pour me déplaire,  c'est même un fonctionnement que j'apprécie malgré les inconvénients. . .

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Le reste de la journée était passer plus tranquillement, le soleil s'était coucher tôt comme chaque jour d'hiver qui passait continuellement. Malgré que la tension se faisait encore énormément ressentir dans tout le quartier général certain avaient quand même eus le courage d'avaler au moins un truc.

Près de moi... [ 𝐋𝐞𝐯𝐢 𝐱 𝐅𝐞𝐦 𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant