Nous à jamais ! (BL ) ( Terminée )

CHAPITRE 7 : LIBIDO TORRIDE

Essayant toujours d'oublier ma mésaventure avec la belle Shin Ma, j'entrepris de baiser avec Mew le plus souvent possible, alternant nos rapports pendant lesquels en Top qui se respecte il me pénétrait avec ces instants fugaces ou il accèptait de me pomper le noeud jusqu'à ce que je jouisse.

Le jeune homme innocent que j'étais il y a quelques mois encore était bien mort.

Mew devait certainement se demander pourquoi j'étais pris d'une telle frénésie à m'acoquiner avec lui d'une façon aussi soudaine.

J'étais à présent persuadé que mon inclinaison sexuelle actuelle était la bonne, la seule et la vraie !

Je faisais partie de ce club des tantes que j'exècrais par le passé quand je voyais tous ces gamins, hommes, dandiner du cul pour attirer sur eux de beaux mâles.

Arriva l'anniversaire de la création de ma boite, soirée longuement préparée à l'avance, dans un secrêt qui n'en n'était plus vraiment un, cette tâche ayant été confiée à Ming Yok qui se trouvait être la pire Miss cancans de notre entreprise.

Le patron convia nos conjointes/conjoints à cette petite sauterie, histoire de re serrer encore plus les liens avec ses employés ...

Mon couple avait été découvert il y a quelques semaines déjà donc plus personne n'ignorait que c'était un homme qui viendrait à mon bras ce soir là.

BB ne laissait personne indifférent, ou qu'il passe ... il faisait se retourner toutes les têtes sur lui à chaque occasion.

J'en étais devenu un brin jaloux d'ailleurs et même méchant envers Mew parfois, quand je remarquais qu'il ne dissuadait pas comme je le voulais ses nombreux admirateurs.

J'avais toujours en mémoire cette soirée que nous avions passée dans un bar réputé ou j'avais surpris un gars de notre tranche d'âge entrain de se branler en matant Mew se soulager dans un urinoir.

Il faut dire aussi que mon Mew n'était pas la discretion même ... il avait cette facheuse habitude de dégraffer son pantalon quand il se rendait dans les lieux d'aisance ce qui fait que n'importe qui, passant par la case toilettes-hommes, pouvait admirer son posterieur rebondi si appétissant ainsi que sa large verge brune au gland rose tendre.

Il est 21h, Mew pendu à mon bras je fends la foule des employés déjà sur place, leur cocktail à la main.

Une serveuse nous croise, son plateau garni de boissons bien en évidence.

Mew l'arrête et se serre, une coupe de Champagne pour moi, il connait mon goût pour ce spiritueux, un Daikiri pour lui.

Nous nous dirigeons vers le fond de la salle saluer le PDG et son épouse qui discutent avec la secrétaire de direction et deux attachés commerciaux qui viennent d'integrer la boite, dont les noms m'échappent sur l'instant.

Mew est enchanté de prendre part à leur conversation, les relations commerciales sont son domaine de prédilection depuis qu'il navigue dans cette branche du métier.

Un sixième sens m'indique que ces deux personnages sont de la jaquette tout comme nous et je me trompe rarement ...

Ma tendre moitié, s'excusant auprès de nos hôtes, s'absente pour se rendre aux toilettes, les deux commerciaux lui emboitent immédiatement le pas.

Trouvant ça louche je m'engage à les suivre.

Mew s'est dirigé vers l'urinoir central de la rangée, les deux hommes se sont mis de part et d'autre.

Je remercie Mew de ne pas dégraffer son jeans comme il le fait usuellement, le pan de mur derrière lequel je me cache m'offre une vue idéale sur le sexe qu'il vient de dégager de son sous-vêtement bordeaux.

Ayant une légère erection, le voilà contraint d'attendre deux minutes avant de pouvoir uriner.

Le salaud ! Je le vois lorgner en douce sur les queues de ses voisins !

Celle de l'individu qui se tient à sa gauche est énorme déjà, alors qu'elle est au repos.

De la place ou je suis je ne peux apercevoir le sexe de l'homme posté à sa droite.

Mew a semble-t-il fini sa miction vu comme il secoue sa tige avant de la ranger dans son boxer en se reboutonnant.

Passant brièvement au lavabo pour s'y laver les mains, le voici qui me rejoint, étonné que je lui mette mon index sur la bouche pour lui intimer de ne pas faire de bruit.

Voyant les deux commerciaux se dissimuler dans un coin de la pièce, j'entraine mon chéri un peu plus loin pour les observer sans être vus.

Drôle de spectacle qui nous est offert, les deux hommes sont tout bonnement entrain de baiser, l'un enfilant l'autre par derrière en le tenant par les hanches et en soufflant bruyamment dans son cou.

De faibles gémissements nous parviennent, nous faisant monter une vague de chaleur au creux des reins.

On ne voit que le posterieur du plus âgé se trémousser puissamment dans les fesses de son partenaire, lui donnant de grands coups de reins.

J'ai à peine le temps de réagir que me voilà poussé contre le mur derrière nous par mon excité de compagnon.

Cette scène l'a chauffé direct comme je le constate à sa queue érigée dépassant de sa braguette qui essaie de me pénétrer.

Il pousse plusieurs fois son gland contre ma pastille tout en me fouillant de son doigt.

Mon anus, ayant déjà une petite connaissance des réjouissances à venir, se dilate rapidement maintenant puisque toute crainte de douleur du rapport, pour moi, a disparu.

J'accueille avec un bonheur sauvage la tige de Mew dans mes entrailles en me cambrant plus encore, ma tête enfouie dans mes bras repliés contre la paroi du mur.

Je vais au devant des coups de boutoir qu'il m'assène..

Je me retiens de crier, de gémir tout comme Mew qui me défonse avec fougue dans l'urgence.

Le plus jeune des commerciaux est entrain de se réajuster tandis que son compagnon se branle à ses côtés en lui malaxant les tétons.

Un cri étouffé nous indique que le type vient d'éjaculer contre le mur.

Nous n'en sommes plus très loin nous non plus et il faut que l'on se dépêche si nous ne voulons pas être pris en flagrant délit ...

Mex me retourne face à lui, me maintenant une jambe levée avant de se coller à moi à la recherche de mon trou avec sa queue impatiente.

Il s'enfonce en moi de nouveau rejouant de son marteau-piqueur de chair, ses lèvres soudées aux miennes qui étouffent nos gémissements de plaisir.

L'orgasme nous saisit brutalement, sans s'être annoncé, me faisant trembler sur mes jambes.

Mew se vide en moi en toute puissance tandis que mon sperme est propulsé sur sa taille, manquant de peu d'éclabousser sa chemise.

Pas le temps de trainer, après nous être rapidement essuyés, nous nous adossons au mur en entamant une discussion amicale, laissant les deux commerciaux passer à côté de nous.

Entendre l'un des hommes dire à l'autre qu'ils l'avaient échappé belle en parlant de notre présence à côté des toilettes nous fait doucement rire sur le coup car nous n'avons rien manqué de leurs ébats qui nous ont incité à en faire de même.

Mew me prend sauvagement la bouche en s'exclamant à voix basse :

Mew - A refaire dès que possible bb ! Bon sang que j'ai aimé te baiser si sauvagement mon coeur !

Mon large sourire sera sa seule réponse ...