ZoSan SPÉCIAL NOËL 🎄

Depuis toujours...

PDV Zoro :

Dix-sept ans plus tôt...

J'avais sept ans quand je l'ai connu. C'était dans un parc, en pleins mois de Décembre, proche de Noël. C'était bondé par tout les parents et leurs enfants. Il neigerait.

- Regarder comment il a les cheveux verts ! Crie un petit garçon.

- C'est dégoûtant... grimace une petite fille.

- Allons jouer loin de lui, il fait peur !

Ça fait bobo au cœur... pensai-je loin des jeux pour enfants. Je m'étais assis au pied d'un tronc d'arbre, caché de tous, les yeux baissés vers mes mains qui se frottent sur l'une d'entre elles.

Pourquoi je n'ai pas de parents comme tout les enfants... ?

Quand je relève la tête, je vois un enfant derrière un buisson, me contemplant. Il sursaute en tombant en arrière, survie d'un petit cri. Je me relève, en allant le voir.

- Outch... se frotte t'il l'arrière de sa tête.

- Pardion ! J'arrive devant de lui. Je met ma main pour but de soulager la douleur, caressant. Tu vas bien ? Détournant mes yeux vers lui. Sa peau est devenue toute rose.

- M...Moui... bafouille t'il gêné. Le petit garçon refuse de me regarder dans les yeux.

- Regarde chéri ce gamin... il est terrifiant. Disait une dame.

- Où sont ces parents pour le laisser avec des habilles déchirées ? Il est horrible. Répondu son mari.

Je recule de quelques pas suite à se rappelle.

- Je devrais partir... me retournant dos à lui. Tu dois avoir peur de moi.

Je marche toujours tête baissé, un peu triste.

- Attiend ! Court-il jusqu'à moi, prenant mon poignet. Pourquoi tu veux que j'ai peur de toi ?

Physiquement, il était plus petit que moi, exactement deux ans de moins que moi. Sa mèche retombait sur ses si jolies yeux bleues. Et la couleur de ses cheveux était d'un blond, comme un rayon de soleil. Ses joues étaient légèrement rosie, comparer à la pâleur de sa peau. Ce qui m'a le plus intrigué, c'était son sourcil en forme d'escargot.

C'était la première fois que quelqu'un m'approcher de si prêt. Même ma tante ne m'a jamais regarder droit dans les yeux comme il le faisait. C'était troublant.

Ma seule vision était de fixer mes pieds, et les siens.

- Les adultes et les enfants me trouve pas beau, et méchant... je finis par dire.

- C'est des bidiots il ne fiaut pas les écoutiés ! S'écrie le petit enfant. Je bondis, surpris. Moii je te trouve très beau !

À cette instant précis, juste... une seconde, j'avais confiance en moi, grâce à son commentaire. Mon cœur se réchauffer. Personne a par lui me trouvé beau.

- Tu leurs as dit à ton papa et ta maman ?

Hum...

- Je n'ai jamais eu de papa... ni de maman.

C'était vrai. Mes parents à moi... je ne les ai jamais rencontrés. J'ignore ce que c'est l'amour paternel et maternelle, des petites attentions, manger un bon repas préparer par sa mère ou alors un père présent pour rigoler et jouer avec son fils. Non... je ne sais pas.