Chapitre 1

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L'hôpital de RIEM, la plus prestiguese de la ville de CITYRIEM était extrement bondé ce jour la. En temps de fête au mois de décembre, les routes qui longent la ville sont remplies. Les feux d'artifices, les pétares, et de nombreux jeux vendu légalement sont utilisés.

Maman Ahla était la avec papa Saf. Pour rien elle ne raterai cette soirée, mais par chance cette nuit, oui. Ahla m'attendait et m'attend toujours  par-ce-que là où je suis, c'est merveilleux. Je n'avais aucune envie de quitter ce lieu, innoncente sans danger. Mais quelque chose se passa je ne me contrôlait pas.

Ahla tu pert les eaux, s'écrie Saf, allons à l'hôpital ma chérie. Ahla n'ecoutait rien, le bruit et les boissons plus que legales etaient en abandance, et on se demande bien quel genre de mélange pouvait offrir ce bonheur suprême. Elle dansait et buvais avec les gens de la rue, criait et sifflait avec les gens de la rue au point de s'efforcer presque jusqu'à l'agonie. Maman Ahla s'est évanoui.

Saf pauvre père, jeune inexpérimenté crie de la place en essayant de trainer Ahla dans la foule jusqu'a RIEM. Plus le choix. Par chance et hasard deux beaux étrangers sont venu à son aide. Ils semblaient être du Nord de CITYRIEM. Plus tu es du Nord plus tu vis aisement. Les gens du Nord aiment visiter le Sud lors des fêtes et ont beaucoup d'honneur, pour les pousser à  laisser plusieurs maudites somme au plus chanceux en échange de service bien élaboré.

Ahla et Saf se trouvèrent enfin a l'hôpital. Ahla s'est réveillée et dans tout ses états comprend ce qu'il se passe. Malheureuse, elle demande pardon à Dieu pour cette ignorance sous les regard de son mari qui semble la soutenir. Les sages femmes sont arrivés. Il y'avait deux femmes et un hommes. Saf etait stupéfié, de voir ce genre de chose mais n'en fait aucune marque. Les gens du Sud ne connaissent pas le Nord. Ils vivent aux pensées du 19eme siecle. Après tout nous sommes à RIEM. 

Je suis née, je décide de ne pas crier, car cela demande beaucoup d'effort puis je ferme les yeux et je dors.

Où est-il, où est-il, crie Ahla. Il est là dit Saf. Je ne le vois pas, ni je ne l'entend. Elle vas bien s'écrie de joie en bon homme le monsieur, et la pose sur sa mère. Ahla contemple avec regrès cette créature très petite, à la peau chocolaté, à la tache sur la poitrine et au visage couvert de ce qui semble des cicatrices de plusieurs jours.

Que voit-je donc là, dit Saf en regardant timidement mais sûrement Ahla. Au Sud de RIEM, il était préférable d'avoir un jeune garçons, pour que dès son jeune âge où il acquière des capacités physique et mentale suffisentes, puisse ramener des sou à la famille. Sans parler des magouilles des mères lorsqu'elle ont une fille.

L'on me sépara de la douceur de la poitrine de maman Ahla pour me nettoyer, pendant qu'un médecin l' éxaminait. Lorsque l'on me ramena je férme à l'instant les yeux au côté de maman. je les entendais dire que maman avait eu des complications et qu'elle devait rester plus longtemps à l'hopital. Saf etait dévasté et se demandait comment il allait payé tout ces frais, et comment s'occuper de moi.

Nous avons passé tout le reste de la nuit jusqu'au matin pour etre sure de ma santé, je n'avais visiblement pas de probleme. Finalement moi et Saf sommes rentré à la maison. Je commencais a avoir fain même si l'on m'avais nourri avant de partir. Je n'avais pas l'idée de pleurer, car cela agacerait sûrement Saf, et je poussais quelques crie.
-Que me veut-tu enfant? Tu ne m'apporte que des problemes. Vois-tu ta mère, me dit-il?
Mais comment résister à cette douceur et ce mignon. Saf me parla longtemp a en décider de m'appeler Cuco-nan. Il avait des origines Epola, et Cuco-nan voulais dire agreable nuit.
Il finit enfin par me nourrir avec le lait qu'on lui avait donner avant de quitter l'hôpital.

Saf lui parlait toujours et ne comprenais pas quel genre de bébé etait-elle. Tout les jours il s'en occupé, impasciament en attendant le retour de Ahla, malgrès toutes ses difficultés financières.

À RIEM, beaucoup de malade de la grande soirée de decembre dont Ahla y étaient et d'après les médecins, nombreux ne sont pas prêts de sortir. Il y'avait dans leur métabolisme des substances encore en cour de recherche. Plusieurs jours plus tard des rumeurs circulent à CITYRIEM disant qu'il s'agissait d'une nouvelle drogue. Que les fabricants attendaient  le bon moment pour la répendre et cette soirée était idéale. Saf ne pouvait pas rendre visite à Ahla lorsqu'il le voulait. Sa vie était bouleversé, mais il tenait le coup pour Cuco-nan, son ultime apaisement.

Cuco: Jusqu'a la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant