Night Talks || l.s || boyxboy (French Translation)

Harry 1

Il ne fait aucun doute que mon cœur battait de plus en plus vite dans ma poitrine lorsque j'ai parlé à ma mère de ma nuit chez Brookelle et de son regard. Elle avait l'air plus confuse que préoccupée par le fait que j'y allais. Elle ne voulait pas dire ce qui l'avait déconcertée, mais elle a dit "protège-toi" comme si elle savait pourquoi j'allais là-bas, comme si elle pouvait me voir au-dessus de Brookelle, essayant déjà de lui faire plaisir. La vérité est là ;

Je ne voulais pas lui faire plaisir de cette façon.

Pourquoi le sexe était-il si important dans une relation, pourquoi aviez-vous besoin de faire l'amour pour débuter ? Était-ce vraiment une question de stabilité ? Était-ce vraiment nécessaire pour rester heureux ? Était-il si important de prouver à votre partenaire que vous pouvez lui faire plaisir autrement qu'émotionnellement ?

Le sexe était cette chose que les gens utilisaient pour prouver leur amour. La mention "faire l'amour" n'était rien d'autre qu'un dicton, elle n'existait pas. C'était quand même du sexe, le sexe était du sexe. Il n'y a pas de version propre, il n'y avait rien pour l'enrober de sucre pour le rendre moins que ce qu'il était, pour le faire paraître plus intime et responsable, c'était du sexe. Ce sera toujours du sexe à la fin de la journée.

Je ne voulais pas avoir de relations sexuelles avec elle, non pas parce que je ne la trouvais pas attirante ou parce que je ne l'aimais pas, mais parce que je ne pensais pas que c'était nécessaire pour que notre relation continue. C'était quelque chose qu'elle voulait parce qu'elle était égoïste avec ses besoins, elle avait besoin de quelque chose pour lequel je n'étais pas prêt et elle ne comprenait pas que le fait que je ne veuille pas le faire soit non seulement un désir mais aussi un besoin.

J'avais besoin d'être dans ma zone de confort, j'avais besoin de pouvoir garder la tête droite et quand je pensais au sexe, je ne sentais rien dans mon corps. Je n'avais pas l'impression d'être moi-même. J'avais l'impression que quelque chose n'allait pas, que je faisais tous les mauvais choix avec qui je le faisais, que je n'étais pas encore censée faire l'amour parce que mon esprit n'y pensait pas clairement.

Mon cœur se serrait quand je me parlais de sexe, le rythme s'arrêtait pendant quelques secondes quand je m'imaginais la toucher, lui tirer les cheveux, l'embrasser dans le cou. Mon estomac s'est affaissé et je me sentais mal à chaque fois. Je me regardais dans le miroir en l'imaginant et je m'étouffais à l'idée d'en parler.

Je me suis demandé pourquoi je me sentais ainsi, mais il n'y avait pas de signe, il n'y avait rien pour me dire pourquoi je me sentais ainsi, il n'y avait que mon esprit et mon cœur qui travaillaient ensemble pour me dire que c'était le mauvais choix, je m'imaginais la toucher, et ils me criaient dessus en me mettant un drapeau rouge dans la tête. Mais cela ne m'a pas arrêté, j'avais besoin de lui faire plaisir pour qu'elle reste avec moi. Je ne voulais pas la perdre.

Vous savez, les gens vous disent toute votre vie de ne jamais écouter votre cerveau parce que cela irait toujours à l'encontre de votre cœur, mais qu'est-ce que cela signifiait quand ils vous disaient la même chose ? Était-ce un signe ? Y avait-il une raison à cela ? Étais-je mon propre ennemi ? Étais-je repoussé par la pensée du sexe ? Ne pourrais-je jamais avoir de relations sexuelles ? Il fallait que j'aille le découvrir, mais je sentais déjà le suc gastrique me traverser la gorge dès que je sortais de la maison.

Elle m'attendait quand je suis arrivé chez elle, elle était toute poudrée, les cheveux relevés et portait une robe courte. Je n'ai pas regardé ses jambes, je n'ai pas regardé ses seins ou ses fesses, je ne pouvais pas me résoudre à le faire. Je n'arrivais pas à accepter ce qui se produirait lorsque nous serions dans sa chambre, ce que j'allais subir lorsqu'elle essaierait de suivre le plan ou tout ce que nous avons prévu.

"Mes parents ne seront pas à la maison ce soir, ils sont en voyage d'affaires, donc nous aurons toute la maison pour nous." Elle semblait heureuse de cela et je ne comprenais pas pourquoi, était-elle vraiment si heureuse que cela se produise ? Elle nous a offert des verres de ce qui ressemblait à du thé glacé et s'est assise sur le comptoir de sa cuisine. Je n'avais pas de mots à dire, alors je l'ai simplement fixée en attendant qu'elle entame une conversation. J'ai commencé à avoir les mains moites et j'ai été surpris quand elle a commencé à parler, "tu vas à ce camping trip dans une semaine, n'est-ce pas ?

Mon humeur a changé lorsqu'elle en a parlé et j'ai eu l'impression d'avoir tellement de choses à dire maintenant, "ouais, Niall, Zayn, Liam et Louis y seront". J'ai hâte de rencontrer Louis, il a l'air d'être un type formidable quand on s'envoie des SMS. Nous sommes obligés de partager une tente, mais ça ne me dérange pas. Je suis juste heureux de pouvoir lui parler en face à face. J'ai senti un sourire monter à mes lèvres quand j'ai pensé à pouvoir le toucher et lui parler et je pourrai voir ses émotions.

"Louis ? Comme dans Louis Tomlinson ?" dit-elle et je lui ai fait un signe de tête en finissant mon thé glacé et en pensant davantage à être seul avec Louis, elle a ri, "le gay ?" J'ai grimacé au mot 'gay', pourquoi a-t-elle dû lui coller cette étiquette ? Pourquoi ne pouvait-elle pas simplement le laisser à Louis Tomlinson, pourquoi tout le monde devait-il y introduire la sexualité ? "C'était un type tellement drôle, même si je le détestais. On dirait que tu l'aimais bien, cependant." Elle me regardait maintenant en face, mais je n'avais rien à lui dire. "Allons à l'étage."

Mon souffle s'est arrêté dans ma gorge et je savais maintenant ce qui allait se passer, je me sentais maintenant comme quand je suis arrivé ici. Elle me souriait tout le long du chemin jusqu'à sa chambre. Mon corps était mou, mon visage transpirait rien qu'en la regardant me regarder comme elle le faisait. Elle a fermé la porte et m'a fait asseoir sur le lit.

Je ne la regardais plus comme Brookelle, je ne la voyais plus comme quelqu'un. Quand elle s'est déshabillée et s'est mise sur moi, je n'ai rien ressenti, je la regardais et elle était belle, mais j'avais l'impression que c'était juste un cadavre vide qui me regardait, il n'y avait plus rien à sentir ou à regarder pour m'attirer comme avant.

Je sais que sa main touchait ma bite et j'essayais de lui donner le meilleur faux plaisir possible, et je pensais que je devenais dur pour pouvoir jouer comme si je m'amusais bien, mais ses yeux se sont tournés vers une émotion qui était choquée, elle n'a même pas dit un mot en me quittant. "Qu'est-ce qu'il y a ?" Elle m'a dit et je n'ai pas pu lui répondre.

"Rien, j'étais excité ?" J'ai dit une question comme si je me remettais en question, je remettais en question ma capacité à respirer à ce moment-là. Je ne savais pas pourquoi cela se produisait. J'ai regardé de haut ce que je pensais être dur, mais en réalité ;

j'étais mou.