Je sens un forte odeur pénétrer dans mes narines, une un gout oppressant de médicament . Je sens mes yeux s'ouvrir, éblouit par une forte lumière blanche qui me sort immédiatement de ma somnolence. Je prends le temps t'observer l'endroit où je semble résider. Elle est plutôt petite, je peux remarquer un lavabo et de petites armoires à ma droite puis, une grande porte en bois et métal à ma gauche. Les murs n'ont aucune couleur, seulement un lourd blanc qui les recouvrent tous. Soudain une forte douleur apparait ou niveau de mes hanches, traversant le long de ma colonne vertébrale ainsi que mes jambes qui peuvent à peine bouger. Puis la mémoire me revient, ce n'était pas mes premiers jours ici, dans cet endroit recouvert de tristesse. Je regarde l'horloge présente sur le mur juste en face de mon lit. 7h 15, je me suis réveillé tôt ce matin. En temps normal, les infermière doivent venir me réveiller pour que puisse prendre mon petit déjeuner, les médicaments que je prends le soir, agissent comme des somnifères même si il sont principalement la pour enlever les douleurs intense que j'ai au niveau du dos.
J'entends quelqu'un toquer à la porte de ma chambre.
-Bonjours Alex , tu es bien matinal aujourd'hui!
C'est Annabelle, l'infermière qui est en charge de moi. Je lui fais un sourire forcer et détourne-le regarde immédiatement. Je n'ai jamais été très douée pour les relations humaines, surtout avec les jeunes de mon âge.
-Je t'emporte ton petit déjeuner mais, cette fois tente de manger un peu d'accord ( dit-elle d'un ton inquiet ) je vais commencer à m'inquiété pour ta santé si tu continu à refuser d'en avalé une bouchée.
Comment voulez- vous que je mange ça ? je ne suis même pas sûr qu'il s'agit de vrai nourriture mais, plus des restes de poubelles d'un mauvais restaurant. Je soupire profondément et saisi le plateau de ''nourriture '' qu'Annabelle me tend. Je prends ma fourchette même si au fond, je n'en ai pas du tout envie, puis regarde L'infermière. Sous son regard insistant, je tente de prendre une bouchée (malgré le sentiment dégout qui me remonte à la gorge.) j'avale avec douleurs mais, recrache immédiatement. Annabelle reprend le plateau et le pose sur la petite table de chevet disposer à ma droite et d'un ton quelque peu désespérer ajoute :
-Si tu ne veux pas manger alors tu devrais sortir a la salle d'activité avec les autres enfants. Je refuse de te voir te morfondre toute la journée, encore... dit- elle en soupirant lourdement.
Pourquoi je devrais aller là-bas? Je n'en pas trop envie, de plus je ne peux même pas m'y rendre... mes jambes refuse d'obéir a mes ordres. je fais des aller-retours avec mes yeux entre son regarde et mes jambes qui me sont complétement inutiles. Elle semble comprendre le message que je veux lui transmettre a travers mes gestes visuels. Elle lève mon lit comme chaque matin et soupire de nouveau.
-je reviendrais plus tard pour tes examens de la journées.
Je me contente de répondre un ''humm'', d'un intonation neutre. Puis elle repart et je reste seule encore une fois, dans cette chambre, sans couleurs et vie laissant le temps passée..
Il est presque 15h, les docteurs et infermières viennent de finir mes examens quotidiennes. Mon état ne s'améliore pas, je ressent de moins en moins de sensations dans mes jambes. Ils m'expliquent qu'ils feront une réunions pour discuter d'une solution pour résoudre au mieux le problème mais que sa finirait surement par une opération quelque peut délicate. Puis, il reparte le sourire au lèvres, sans un dire un mot. Je m'assied sur mon lit , je peux entendre les machines dans les chambres des autres patient de l'hôpital raisonner jusqu'à la mienne . Je n'aime pas du tout se sons, cela sans trop s'avoir vraiment pourquoi. Je m'imagine pas à la place de ces personnes, qui sont constamment en contactent avec cette sourde résonnance , s'avoir qu'à tout moment se bruit si aigue peut s'arrêter laissant un écho sourd et continu qui marque leurs fin... non sans façons!
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Le chemin de nos vies
Romancela vie... c'est la chose la plus ironique du monde, nous devons vivre pour mourir ensuite. C'est comme passer des année sur une peinture et de la déchirer ensuite comme sa ! sans aucune raisons...pourquoi certaine on plus de temps que d'autre ... po...