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Le froid l'enveloppait, le compressant dans sa tristesse. Au sol le monde semblait au ralenti ou bien en accélérer. Tout ce qui comptait, c'était que l'orage rentrerai chez lui si il y retournait.

Ses yeux dorés étaient brouillés de larmes, quand il avait senti des bras le soulevait, l'éloignant des pavés. Faites que ce soit Gabriel et pas Lucifer. Il avait attrapé la chemise de coton de son sauveur ou kidnappeur et l'avait serré de toutes ses forces entre ses fins doigts.

Son sauveur avait appelé un taxi, et c'était assis. Il avait essayé de repousser Gabriel sur le siège à côté de lui mais celui-ci s'était cramponné. Il refusait de voir les yeux sans émotions de Lucifer.

Et puis ça l'avait frappé comme ça sans raison. Gabriel n'avait pas de chemise de coton. Il avait relevé la tête et c'était de beaux yeux verts qui le fixait. Il c'était d'abord contentait d'observer sa pupille, puis avait observé les paillettes d'or qui parsemaient ses paupières et ses cils. Elles suivaient vivement bien avec les cheveux de blés de l'inconnu.

Le jeune homme qui le tenait dans ses bras avait souris, avait dégagé les mèches qui se baladaient sur le front de Camile, avait essuyé ses dernières larmes. Avant qu'il ne repose sa main dans son dos, Camille l'avait attrapé. De nombreuses bagues était enroulé autours de ses doigts.

Le sourire du blond c'était agrandit. Camile ressemblait à un enfant, observant chaque dessin sur les bijoux. Puis ses doigts qui autrefois fur ceux d'un artistes, parcoururent les avants bras découverts du blond, qui étaient eux recouverts de dessin.

Son regard suffis à posé la question au pailleté, qui lui répondit d'un sourire triste. Camile était étonné. Celui-là semblait parlé par sourire. Il faudrait qu'il lui apprenne. C'est alors que ces sourcils se relevèrent d'un coup, Lucifer allait le tuer il n'était toujours pas rentré. Malgré lui il ne pus s'empêcher de poser les yeux encore une fois sur l'inconnu. Le soleil se levait, le rendant encore plus brillant.

" L'art t'emflammait, te consumait, il était ta vie. Tu t'exprimais en art et pourtant tu ne laissé jamais rien"

CamileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant