Le mystère de Beacon Hills

Chapitre 3

Quand Scott avait vu Amy s'enfuir, après ce que Stiles lui avait fait comprendre au téléphone, il avait craint le pire pour son ami, il était partageait entre courir après la jeune femme ou le secourir. 

Il n'hésita pas longtemps, il couru sous les gradins retrouver Stiles.

Scott : STILES !!!!

Stiles : ça va, ne t'inquiètes pas, ça va. Elle m'a pas attaqué.

Rassuré Scott fit demi tour et tenta de poursuivre la nouvelle mais Stiles l'en empêcha. 

Stiles : Non laisses tomber, je penses qu'elle a juste besoin d'être seule. Elle a fait une espèce de crise d'angoisse quand elle s'est retrouvé le centre de l'attention tout à l'heure. Il vaudrait peut être mieux la laissé se calmé et retenté une autre fois si on veut pas avoir une louve enragée au milieu du lycée.

Scott : Faut qu'en tente de lui parler au calme loin des autres, si elle sait que je suis un loup garou aussi elle acceptera peut être de nous parler. Mais je ne veux pas lui faire ce genre de révélation ici.

Stiles : OK donc on va chez elle ?

Scott : ce soir après les cours.

Stiles : Ok tu sait où elle habite ?

Scott : Non et toi ?

Stiles : Oui bien sûr, elle a pris le temps de me donner son adresse et même son numéro de téléphone tiens on peux peut être l'appeler et lui dire de revenir ?

Scott : C'est vrai ? 

Stiles : NON !?! Elle a failli me bouffer tu crois vraiment qu'on a pris le temps de papoter ?

Scott : et son nom ? Tu le connais ? 

Stiles : Lydia.

Scott : Super une deuxième Lydia ! On a pas intérêt à se tromper...

Stiles bouscula son ami et couru à la suite de Lydia. Si il y avait quelque chose à savoir sur la nouvelle Stiles était sûr que Lydia le savait.

Stiles : Lydia !! Lydia attends ! Dis moi tu n'aurais pas quelques infos sur la nouvelle ?

Lydia : Tiens salut Stiles ! Ravi de te voir moi aussi ! Désolé mais je ne sais pas de quoi tu parles.

Stiles : Oh allez me fait pas croire que tu es pas au courant qu'il y a une nouvelle qui est arrivée ce matin ? 

Lydia qui jusque la avait adopter une attitude désintéressée et désinvolte se tourna vers le jeune homme et le toisa du regard.

Lydia : ça y est tu t'es trouvé un nouveau coup de cœur ? Tu as de la ressource, je ne m'en fait pas pour toi je sais que tu vas trouvée.

Elle tourna les talons après avoir tapoter affectueusement la joue de jeune homme.

Stiles resta poster là, pour une fois il n'avait rien à dire ! 

Scott : je crois qu'elle n'a pas apprécier que tu lui fasse remarquer que c'était la commère de Beacon Hills la dernière fois ! 

Il avait pris un air amusé en disant cela pensant que son ami avait été blessé par la remarque de la jeune femme. Mais il connaissait Stiles depuis l'enfance, il aurait du savoir que son ami n'avait rien à dire car il chercher une autre solution.

Stiles : le bureau du proviseur ou mon père ? 

Scott : ton père ! Il est hors de question que je mette les pieds dans le bureau du proviseur.

Stiles : Ba alors tu as peur  ? C'est toi le grand méchant loup j'te rappelle.

La journée se poursuivit sans autre encombre. Tous parlaient de la nouvelle, une folle. Elle avait provoquer Jackson pour ensuite s'enfuir en courant. Bien sûr Stiles était le seul à savoir que la nouvelle ne s'était pas vraiment enfui et qu'elle n'aurait fait qu'une bouchée de ce très cher Jackson. Ce que les deux jeunes gens avait redouté toute la journée c'est que la jeune femme en proie à ses émotions ne soit la cause d'un accident ou bien pire... Ils avaient du expliquer la situation au sheriff Stilinski, pour qu'il puisse être sur ces gardes et prévenir les garçons au cas où. Il leur avait également communiqué l'adresse de la nouvelle venue à Beacon Hills, il s'avérait qu'elle n'habitait pas très loin de chez Stiles. Ils auraient plus facile à garder un œil sur elle sans qu'elle ne s'en rende compte. 

Dans l'immédiat les deux jeunes gens souhaitait d'abord lui parler au calme loin de la tension du lycée et du regard des autres. Scott en était persuadé c'était le problème principale de la jeune femme. La raison pour laquelle elle n'arrivait pas à contrôler ses transformations.