Un bachelor, Kageyama, et sept prétendants ; le tout supervisé par Suga, qui ne veut rien de moins que le meilleur pour son kouhai ! Au termes d'épreuves et de ~dates, d'une cohabitation agitée et de dissensions peut-être entre le kouhai et le senpai, qui parmi nos sept saura gagner le coeur de célibataire endurci de Tobio ?

Soulmates AU, partie 3. -Pars d'ici, Nico, murmure Bruno. Tu es libre. Du volley, tu peux en faire partout sur la planète. -Partir où ? demande Romero, et il déteste la détresse qu'il entend dans sa voix. -Ailleurs. Le plus loin possible. Dans un autre pays. Dans une autre culture. Quelque part où tu seras tellement dépaysé que t'auras l'impression de prendre un nouveau départ. art : kamiyu_k07 sur Insta !

(de la connerie - crackship audio - enjoie)

Il crut qu'il allait passer le reste de son existence seul dans cette cave, qu'il y mourrait là, à vingt-deux ans, enterré avec ses regrets. "J'aurais dû dire le fond de ma pensée à Oikawa. Que je l'admirais, que je l'aimais un peu, et qu'il a tout gâché." Art : https://twitter.com/ssi_na19

"Les âmes sœurs, je laisse tomber. Ce n'est pas pour moi, je ne veux plus en entendre parler". C'était du moins ce que se disait Oikawa Tooru, shooté aux annihilateurs pour ne pas sentir qu'il en avait bel et bien une... jusqu'à ce que la police ne frappe à sa porte, et ne sollicite son aide pour retrouver Kageyama Tobio.

-Vas-y, fais le fier. En attendant, j'ai pas envie de te ramasser à la petite cuillère quand ton cher Oikawa-san se souviendra tu es son rival et qu'il ne peut pas te saquer dès que tu cesses d'être utile à son plaisir.

"Si seulement j'avais une chance de revenir en arrière. De faire les bons choix". Kageyama sentit l'appréhension l'étreindre quand il franchit les grilles de Kitagawa Daiichi. Le lieu ne lui laissait pas de très bons souvenirs... Mais ces souvenirs n'existaient pas, ici. Pas encore. N'existeraient jamais, peut-être, s'il jouait finement.

Vingt ans et toutes ses dents. Oikawa aurait bien aimé s'en réjouir, mais son petit-ami était à Tokyo, loin de lui, et ça gâchait un peu les célébrations.

-Règle numéro un : ne jamais faire intervenir de nom propre. -Règle numéro deux : ne pas, ne surtout pas parler du volley-ball.