blue sky

elle aimait peindre le ciel, il aimait la regarder faire, il aimait la regarder peindre le ciel, peindre sa maison. © mourire | novembre 2016

sunset

un soleil couchant, une plage, le cri des mouettes, le vent qui souffle, un amour en peine. ou bien, un souvenir. © mourire | automne 2016

une nuit

ils avaient une nuit, douze heures, sept cent vingt minutes, quarante trois milles deux cents secondes, pour un semblant d'éternité. © mourire | automne 2016

elle

elle avait dans ses yeux implorant et bleutés, quelque chose qui voulait dire « je t'aimerais jusqu'au bout du monde, et bien plus encore » © mourire | novembre 2016

judi

judi c'est le fouillis, la colère, les larmes qui coulent des yeux en même temps que le rire qui résonne. judi c'est tout et rien à la fois, un mélange de malheur et de violence, c'est une masse de cheveux blonds en bordel, un jean raccommodé et un pull trois fois trop grand, une odeur d'alcool et de tabac, des coupur...

condoléances (en pause)

grosse, elle est jugée maigre, elle est jugée franche, elle est jugée laide, elle est jugée morte, elle était parfaite © mourire | débutée en mars 2017

pyrophobie

elle avait ces éclats de rire dans les yeux, et ces larmes dans le sourire © mourire | juillet 2017

avril

et puis, parce qu'on s'aimait bordel. et parce qu'elle s'appelait avril aussi, et qu'elle voyait pas l'monde, et qu'le monde la voyait pas non plus après tout. © mourire | août à septembre 2017

yeux disent le contraire

il dit aimer la vie, mais ses yeux disent le contraire © mourire | octobre 2017

anna

chloée est belle. chloée est aimée. chloée est heureuse. chloée est gentille. chloée est réputée. chloée est sociable. et puis il y a anna, et anna est plutôt fade © mourire | mai 2016

weak (one shot)

judi c'était tout, mais tout ça devient trop vite rien. © mourire | octobre 2017

camille (one shot)

camille ou l'Unique © mourire | novembre 2017

elle bousille ma vie

« docteur, j'ai mal à l'âme » © mourire | décembre 2017

nola

une rage sans nom occupait le maigre corps de nola, et la tristesse bloquée dans sa cage thoracique, comprimait ses poumons, l'empêchant de respirer normalement; elle suffoquait © mourire | décembre 2017

iphigénie

« mais iphigénie, eux ils brillent, et toi tu t'éteins comme une étoile qui ne parvient plus à s'allumer » © mourire | janvier 2018

étés jaunes

tympans percés et bouches cousues, on aspire tous aux étés jaunes © mourire | novembre 2018

aimer est un grand verbe

destiné aux grandes personnes © mourire | décembre 2018

du coton

des mots pour soigner tes maux des mots doux comme du coton

lettres à jules

l'éternité ou un millième de seconde © mourire | mars 2019

coeur en vrac

pourquoi l'amour ? et mon amour si léger prend le poids d'un supplice © mourire | juillet 2020

traque des loups.

:p coucou j'ai le spleen, pas le talent, rip @ivremuse™️ insomniaise™️ ⠀⠀⠀⠀ « je hais cette femme de tout mon cœur. qu'elle soit morte ne m'apporte pas même une once de culpabilité. ce n'est que son tueur, qui m'intéresse énormément. alors je t'en prie. aide-moi. » ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ ⠀⠀⠀octobre.

nu d(i)'été.

:)) coucou j'ai le spleen, pas le talent, rip @ivremuse™️ insomniaise™️ ⠀⠀⠀⠀ « je n'aimais pas particulièrement le métier de mon père. non, je dirais même que je ne l'aimais pas du tout. pourtant je passai l'entièreté de mes journées dans son cabinet, non pas par fascination pour ces tours de passe-passe avec les cer...

Si elle

Si elle savait comme ses yeux me rappelaient la couleur du ciel.

Notre vie en gris

Gwenn formait le blanc de toutes les couleurs, Mais elle se sentait trop remplie. Sullivan semblait paumé dans sa vie, Parce qu'il était plongé dans la noirceur.