+18 BWWM « Il se place juste derrière moi, si près que je sens son souffle chaud effleurer ma nuque. Son parfum se mêle à la vapeur encore suspendue dans l'air et pendant quelques secondes, tout devient flou. Je ferme les yeux... Je devrais m'éloigner, mais je bouge pas. Ses doigts effleurent ma taille, lentement, comme s'il testait jusqu'où il pouvait aller. Mon souffle se bloque. Le silence entre nous devient lourd. Lourd d'une tension qu'aucun de nous deux n'ose briser. -Tu devrais...retourner au salon, Bastian. -J'suis exactement où j'suis censé être.» original 2019 réécriture 2025 @cyanures.

Je fui les sentiments pas peur d'être blesser. J'évite le gente masculine par peur de m'attacher. Cupidon est mon aversion et la solitude mon alliée. Mon attitude de détachement te concernant est compréhensible de mon point de vue, parce tu représentais depuis le départ cette peur d'aimer.

- L'hôpital c'est vraiment nul à chier. - Pourquoi t'es là alors ? T'es même pas malade ! - C'est pas comme ça qu'on est censé parler à un visiteur, t'es culotteé toi ! La politesse tu connais ? C'est une règle de base quand même ! - Va te faire foutre toi et tes règles ! Commencé le: 04/05/2020 Fini le: 04/08/2020

-L'amour idéal pour moi est inépuisable, éternel. Impossible à atteindre comme tout idéal . Pourtant, je l'ai finalement fait. Je l'ai atteint. Je t'ai atteint.

Il était une fois un cauchemar, Curtis. Tout ce qu'il y avait de plus effrayant pour moi se réunissait dans un seul et même corps, le sien, celui du jeune Parson. Cet être vicieux, noyé dans son intelligence méprisante. Noyé dans de mauvaises affaires à en faire frissonner plus d'un dos. Six mois donc. Six mois pour foutre le bordel dans ma vie et m'achever... Il avait réussit. 《Je comprends enfin. Sa tendance à fixer et en tirer une satisfaction quand il sent de la peur, son calme impressionnant limite inquiétant, son air terrifiant, son regard constamment noir et enfin sa capacité à s'énerver subitement quand on touche un point sensible jusqu'à en voir aucun mal à tuer ce qui le dérange, me reviennent. Tout ça je l'ai constaté en quarante huit heures. Il n'est pas normal. Je comprends maintenant. Je comprends enfin.》 (cf chapitre 6)

#1 Chicklit : 24/12/16 #1 Chicklit : 03/02/16 Calme et ensevelie sous une tonne de principes, comment pouvait-elle imaginer qu'elle finirait accro à l'une des personnalités les plus terribles de Sainte Adriane ? Entre les regards réprobateurs en cours de littérature, le défilé des mêmes sacs Longchamp et le nuage Tchernobylien des élèves crapoteurs en quête de personnalité...Le lycée, si elle le pouvait, Clairine l'éviterait. Un baiser, du silence et un retentissement de claque plus tard, elle est confrontée au beau et suffisant Danël. M qui la regarde, la main sur la joue, d'un air indéchiffrable. Sanguin et élitiste, Il vit dans un monde qui n'à rien à voir avec la bulle de Clairine. Par ce rapprochement contre nature, elle basculera dans une dimension d'épanouissement plus hostile où passion, sexualité, pouvoir et trahison se confondent.

C'était la première fois qu'une fille comme elle se retrouvait parmi nous. Et comment dire, elle ne passait pas inaperçue.

Psycholove « You makes me feel.. »

D'un regard, elle l'a compris. Mais, lui ne voit que son sourire imparfait pour s'apercevoir du miroir qu'il devient pour elle. Lui n'a rien vu venir. Puis, lorsqu'on se fait véritablement face, lorsqu'on risque enfin à braver la force du miroir ? Après ? C'est presque mortel d'accepter le reflet qui s'en dégage. Il est révélateur de cette tâche noire dans l'âme.

Elle est pourtant tout ce qui ne l'a jamais réellement attiré.