me noyer en toi une dernière fois © mourire | avril 2018

ces six lettres qui lui brûlaient les lèvres. (terminée)

"Clara, Tu sais, je continue de compter les jours depuis cette nuit là. C'est comme si mon esprit était resté bloqué sur ce moment précis, comme s'il n'arrivait pas enregistrer l'information. Tout paraît étranger et inhabituel maintenant que tu n'es plus là. Peut-être que c'est la même chose pour toi, peut-être que tu regrettes ce que tu m'as dit sous le porche ce soir là. Peut-être même que tu souhaites revenir en arrière et tout changer, comme moi. C'est ce que je me dis tous les jours, en espérant y croire assez pour réellement t'envoyer ces lettres. J'ignore si j'aurai un jour la force de le faire, mais pour le moment, je t'écris dans l'espoir d'apaiser mes pensées tourmentées." ♡☆♡☆♡☆♡☆♡ Petite nouvelle sous forme de lettres où on y trouve chagrin, nostalgie, émotions et bien sûr amour ! J'espère que ça vous plaira... 💕 Victoria 💙

"Dans ma tête y'a une fille en apnée. Quand je ferme les yeux je la vois sombrer, les paupières baissées, car elle a peur du vide. [...] Au gré du temps, Et des courants, Elle divague dans mon océan."

« son regard reflétait la clarté de son âme. » - un diamant brisé entre mes doigts, un cri sanglant fendit ma voix.

l'éternité ou un millième de seconde © mourire | mars 2019

judi c'est le fouillis, la colère, les larmes qui coulent des yeux en même temps que le rire qui résonne. judi c'est tout et rien à la fois, un mélange de malheur et de violence, c'est une masse de cheveux blonds en bordel, un jean raccommodé et un pull trois fois trop grand, une odeur d'alcool et de tabac, des coupures de partout, des yeux fuyants et un sourire fané depuis longtemps. © mourire | juillet à août 2016

destiné aux grandes personnes © mourire | décembre 2018

utopie hypocrite d'un monde sans limites gamine désoeuvrée au cœur abîmé rêveur solitaire aux mondes imaginés UTOPOCRITES | © withoutcontrol (septembre à novembre 2017) → réecrit en février 2019 prix coup de cœur - fruit contest 2018

ils avaient une nuit, douze heures, sept cent vingt minutes, quarante trois milles deux cents secondes, pour un semblant d'éternité. © mourire | automne 2016