Les secrets. Pearl nage en plein dedans avec sa famille, depuis le début de son adolescence. Une famille l'étouffant dans sa propre bulle. Au point d'impacter ses liens sociaux. L'ignorance et le déni, c'est dans quoi vit Jace depuis petit. Pearl & Jace. Deux lycéens effectuant leur dernière année avant de quitter leur famille, pour de bon. Secrets et menaces, haine et passion, amour et interdictions ; seront-ils en position de faire la différence ? Mais un lien les unit, depuis qu'ils ont chacun mis un pied dans ce tribunal et dans cette salle d'audience...plus qu'ils ne le croient. Et pourtant, il la déteste. Au point de se demander, - Cupidon, tu t'es trompé de cœur, pourquoi ta flèche m'a transpercé ? - ...Pour te montrer que tu peux bel et bien saigner pour quelqu'un.

Athéna, déesse de la sagesse et de la guerre, la plus sage, la plus courageuse et certainement la plus ingénieuse des dieux de l'Olympe. Je porte son nom et pourtant aucune de ses qualités. Je n'ai rien d'une déesse et ma vie est l'opposée de la sienne. Personne ne me voue une grande admiration comme on lui voue. Mais, je ne m'attendais pas à voir ma petite vie insignifiante voler en éclat suite à la rencontre d'un homme. Alessio, parrain de la mafia italienne. Et croyez-moi, j'aurai préféré me tenir loin de lui. ......................................................................... Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez... Cette histoire comporte des scènes pouvants heurtées votre sensibilité. Au début des chapitres concernés, je préviendrai des possibles TW. N'hésitez pas à laisser votre avis dans les commentaires, même s'il est négatif. Je prends toutes critiques, bonnes comme mauvaises. Et merci d'avance pour votre temps accordé à mon histoire.

La mort frappait dans l'ombre. Elle n'avait jamais été vue, elle n'avait jamais été entendue, arrachant des âmes à leurs amours, amis et familles 365 jours par an. Jamais. Du moins, jusqu'à cette nuit d'automne, dans le fin fond de cette superette sombre et fuie de la population new-yorkaise. Elle, elle l'avait vu et il le savait. Il le savait et à présent, elle en avait trop vu, trop dit. Les vies que la mort prenait étaient éphémères, celle de Zara ne tenait plus qu'à un fil. Nous n'échappions pas à la mort et la mort ne nous échappait pas. Mais qui fixait les règles après tout ?