Ghost est de retour à Londres après trois ans passés en Irak. Hanté par son passé et les liens qui le rattachent à une mystérieuse organisation, il cherche à se reconstruire et à oublier les horreurs de la guerre. Cependant, son devoir l'amène à accepter une mission inhabituelle : protéger Cassie Bennett, la fille d'une politicienne obsédée par sa carrière. Cassie, qui se sent invisible aux yeux de sa mère, se retrouve quant à elle brusquement plongée dans un monde de danger lorsqu'un mystérieux harceleur s'immisce dans sa vie. Ghost et Cassie sont forcés de se côtoyer. Mais au milieu de ces tourmentes... Une question se pose : à quel point ce lien forcé est-il dangereux pour eux ? C'est déjà trop tard, les rues sombres de Londres les entraînent dans une spirale infernale, où les secrets et les mensonges se dévoilent un à un. "𝙴𝚕𝚕𝚎 𝚗𝚎 𝚟𝚘𝚞𝚕𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚎̂𝚝𝚛𝚎 𝚞𝚗 𝚏𝚊𝚗𝚝𝚘̂𝚖𝚎, 𝚕𝚞𝚒 𝚊̀ 𝚌𝚑𝚘𝚒𝚜𝚒𝚝 𝚍'𝚎̂𝚝𝚛𝚎 𝚒𝚗𝚟𝚒𝚜𝚒𝚋𝚕𝚎. 𝙳𝚒𝚜-𝚖𝚘𝚒, 𝙲𝚊𝚜𝚜𝚒𝚎, 𝚟𝚎𝚛𝚛𝚊𝚜-𝚝𝚞 𝚌𝚎 𝚚𝚞𝚒 𝚖𝚎 𝚑𝚊𝚗𝚝𝚎, 𝚜𝚒 𝚝𝚞 𝚛𝚎̂𝚟𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚘𝚞𝚋𝚕𝚒𝚎𝚛."

Je ne sais pas si on peut appeler ça de la malchance, une chose est sûre la malchance est une circonstance atténuante que la vie donne aux ratés. Et j'étais une ratée sur tous les points existant dans ma misérable vie. Ayleen Carston, une fille dont l'humanité a été souillée, et ce n'est toujours pas terminé tentant de fuir son passé en revenant chez son père elle fera bien des découvertes. Elle tentait tant bien que mal de garder cette flamme d'humanité en manque d'oxygène, mais c'est elle seule qui a fini par la brûler. Ashton Waylton, un garçon où son cœur lui a joué plusieurs tours, mais sera-t-il prêt à le faire battre de nouveau pour une seconde fois ? Sa joie n'est que douleur face aux ténèbres qu'il irradie. La nouvelle le surprendra, mais ce qu'il ne sait pas, c'est que le leader le plus redouté de son groupe, Ashton Waylton, perdra tout seul à son propre jeux. Les fantômes de leurs passés, continueront-ils à faire d'eux ce qu'ils ont toujours détesté..? « Lorsque les gens entendront nos noms que se souviendront-ils, que laisseront derrière nous ?... »