" Tu ne te rends pas compte de comment tu te comportes, connard! Tu m'embrasses, tu me repousses, comme toujours! Ça m'apprendra! Putain qu'est-ce qui cloche avec toi?" Je m'avançai vers lui en le défiant du regard. "Tu as peur que je développe des sentiments pour toi? Je suis vraiment désolée de t'annoncer que ça ne fonctionne pas, j'en ai déjà des saloperies de sentiments pour toi, Matthew Carter! " - Tous droits réservés | All right reserved @fangirl_marie

Et alors, comment c'est lorsqu'on se soucie du bonheur d'un autre être humain plus que le nôtre? Lorsqu'on vit notre vie seulement pour être avec lui? Lorsqu'on n'envisage qu'un futur extraordinaire pour nous deux? D'avoir trouver l'autre partie de nous même, notre personne et de ne faire qu'un? Et alors, comment c'est? Moi, Destiny Adams, 39 ans, je vous dirais que c'est plus qu'éprouvant. Par contre, la Destiny Adams que j'étais à 20 ans, vous dirait que c'est excitant et merveilleux. Qu'est-ce qui a changé ma façon de penser? Je ne veux pas trop vous en dire, vous comprendrez bien assez vite en lisant l'histoire de notre vie à Harry et moi. S'il vous plait, ne nous jugez pas trop, nous ne sommes que deux être humains parfaitement imparfaits.

Ils ne comprennent pas. Ils trouvent cela anormal. Ils me jugent. Je m’en fiche. Ils ne savent pas ce que c’est, l’amour qui me dévore. Ils passent pourtant leur temps à en parler, de l’amour. Ils voudraient le trouver, le rencontrer, le garder. Alors pourquoi détruisent-ils ceux qui ont eu la chance de le connaître ? De connaître la véritable passion, celle qui te consume, qui te détruit, mais qui est également celle qui te maintient en vie. Ils me regardent, mais ils ne comprennent pas. Leur regard est un poison qui détruit ma chance d’être heureuse. Je m’en fiche, de ce regard. Pas lui. « Je les vois cracher dans ton dos, t’insulter, te juger. Je les vois te faire souffrir, Joy, et ça je ne le supporte pas. Je ne veux pas que tu subisses tout cela à cause de moi. Il est temps d’abandonner, d’accepter la réalité. On a vécu dans un rêve bien trop longtemps, et il faut redescendre de notre nuage. La chute sera rude, mais c’est mieux pour toi. Et ça me brise de te dire ça, Joy, mais c’est ainsi. C’est fini. » Je me répète ses derniers mots. Il me manque. Il m’a appris à vivre. Il m’a fait aimer la vie. J’existais pour lui, et il est parti. Je l’aime. Pourquoi ne peuvent-ils pas le comprendre, qu’une élève puisse tomber amoureuse de son professeur ?

Une erreur de numéro, tout le monde a déjà commis une fois dans sa vie cette erreur, mais généralement votre vie ne change pas pour autant. Que se passe-t-il lorsqu'une personne brisée appelle par erreur une autre personne brisée ?

"C'est moche quand la personne qu'on aime le plus, est la personne la plus froide au monde n'est-ce pas ? C'est moche que tu essayes de lui montrer ton amour et qu'elle te jette de sa vie à coup de pied. Que c'est moche d'être la fille sans défense prisonnière de ses punitions et mauvaises habitudes." /!\ Je tiens à préciser que cette fiction n'a rien à voir avec l'histoire Disney de la belle et la bête, ce n'est qu'une métaphore. /!\ ► Je ne fais que traduire cette fiction et modifier les passages incohérents, je n'ai aucun mérite ◄

Être une princesse au moyen âge, ça devait être d'enfer. Mais être une princesse maintenant, qu'est-ce que ça change ?

Sa vie allait subir un grand bouleversement. Ce grand bouleversement. "that big upheaval"

Caitlin Simons passe de Bristol à la capitale londonienne. Elle y rencontre Joe Sugg, très arrogant, mêlé à des affaires douteuses et qui couche avec toutes les filles qu'il croise... Bref, un garçon peu fréquentable. Deux personnes totalement différentes. Mais les opposés s'attirent-ils réellement?

« elle est le destin ; il est le hasard. elle se méfie du futur ; il le mène comme il l'entend. elle laisse les choses venir ; il ne sait jamais ce qui viendra. elle le trouve fou ; il la trouve folle. ils sont trop différents pour se comprendre, mais... a-t-on vraiment besoin de se comprendre ? »

"Ne pas savoir pardonner, c'est s'empoisonner sois-même en espérant que l'autre personne mourra."