《 Je serais tout ce que tu ne pourras pas contrôler》 Nous ne nous débarrassons jamais vraiment du sang sur nos mains. Ni des boulets du passé encore attachés à nos chevilles. Nos pêchés finissent toujours par nous rattraper. La vérité finit toujours par éclater. Parfois, nous rencontrons notre destinée sur le chemin emprunté afin de l'éviter. C'est la fatalité. Dans toute fatalité, il y a le chaos. Si la fatalité était le cours du temps, Tsubasa Berisha serait son chaos. [TOME 1 TERMINE] [CETTE FANFICTION EST UN CROSSOVER AVEC KEKKAI SENSEN (même s'il reste très léger, et que ne pas avoir vu/lu Kekkai Sensen ne vous empêche ABSOLUMENT pas de lire)] High-rank : #156 DANS LA CATÉGORIE FANFICTION (jvous aime bllblblb) Update High-rank : #1 DANS LA CATÉGORIE HORREUR #1 DANS LA CATEGORIE FANTÔME

Ceci est l'équivalent d'un escape game, mais en nouvelle génération. Au lieu de devoir chercher des indices pour sortir, vous allez devoir faire les bons choix pour survivre. Désolé d'avance pour TOUTES les fautes d'orthographes ou même de syntaxe, parce que j'ai pas relus car ça aurait été beaucoup trop long et chiant. Sur ce, bonne lecture !

La loi du plus fort. Gabrielle la connaît bien. Considérée comme la plus belle femme de la cité d'Idalia grâce à ses gênes atypiques, elle se retrouve propulsée au rang de reine alors qu'elle épouse Sire Vicente, héritier de la famille royale afin d'en poursuivre la lignée. Mais cette femme tourmentée à l'apparence angélique cache bien des secrets et démons intérieurs, qui n'hésiteraient pas une seule seconde à tout détruire sur leur passage. Fermement dévouée à garder le pouvoir sur son destin, Gabrielle est très certainement la plus rusée pour avoir l'ascendant sur les autres, notamment dans un monde qui lui a appris à suivre la règle la plus dévastatrice : Tuer ou être tué. Cependant, confronter sa force à celle des autres est un pari qu'elle prend. D'autant plus lorsqu'elle n'est pas la seule à bien cacher son jeu.

Cinq adolescents furent enfermés, des énigmes ils durent trouver, survivre était la clé, un seul fut sauvé.