ᴛᴏᴍᴇ ɪɪ de « 𝐃𝐄𝐑𝐍𝐈𝐄𝐑 𝐆𝐑𝐀𝐌𝐌𝐄 » « 𝐔𝐧 "𝐉𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞" 𝐜𝐨𝐮𝐩é à 𝐥'𝐚𝐦𝐦𝐨𝐧𝐢𝐚𝐪𝐮𝐞, 𝐨ù 𝐣𝐞 𝐟𝐢𝐧𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐌𝐚𝐧𝐮 𝐋𝐞𝐜𝐨𝐪 » → 𝕀𝕝𝕤 𝕤'é𝕥𝕒𝕚𝕖𝕟𝕥 𝕡𝕣𝕠𝕞𝕚𝕤 𝕛𝕦𝕤𝕢𝕦'𝕒𝕦 𝕕𝕖𝕣𝕟𝕚𝕖𝕣 𝕘𝕣𝕒𝕞𝕞𝕖. ( V. MMXIII - VIII. MMXIV )

« Si le coeur devient noir c'est la faute à tes fautes qui perdurent dans la lumière de mon égo » ** J'étais pas dans la norme, lui non plus. On était pas comme eux. On était même pas quoique ce soit. Mon coeur était pure, intact. Le sien saignait, haïssait tout. On se complétait qu'il disait mais jamais je pensais qu'il me détruirait. Et je me suis consumée, jusqu'au dernier gramme. 🕊 Tarik Andrieu .x. Jasmine Moralès Ceci n'est pas une chronique mais une fanfiction.

@ROZES__ présente N A H I L | "C OE U R D E I C E" 19.02.18 Bonne lecture

Qu'est ce que le véritable amour ? Le premier ? Le dernier ? Celui qui nous a fait vibrer au point où on a senti notre cœur se briser , nous faire mal ? Ou celui qui est constant , doux et latent ? La raison ou le cœur ? La passion ou le sexe ... Trop de questions , peu de réponses ...

𝑵𝒂𝒃𝒊𝒍 𝒙 𝑳𝒖𝒂𝒏𝒂 Avec certains êtres, très rares, il faudrait ne pas parler. Il faudrait tout de suite être dans les bras, caresser le visage, les paupières, les joues, les lèvres, les effleurer d'un doigt, lentement d'abord, puis dans un baiser, passionnément. S'embrasser. S'étreindre. Les mots sont inutiles. Les mots vien- draient plus tard confirmer ce que les corps ont su dès les premiers instants. *Fiction sur PNL

Nabil et sa poupée. « 𝘛'𝘢𝘷𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘮'𝘢𝘣𝘢𝘯𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦𝘳. » « 𝘌𝘵 𝘵𝘰𝘪 𝘵𝘶 𝘮'𝘢𝘷𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘮𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘮𝘢𝘭 𝘕𝘢𝘣𝘪𝘭. » Il n'y avait rien de plus dangereux qu'une femme blessée. 𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐡𝐫𝐨𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞. (NOS-Maes)

« Une facette attirante d'un homme ne fait pas de lui ce qu'on croit ... Et un homme rallié à la rue le reste toute sa vie. » CECI EST UNE REPRISE FACEBOOK.

- Etes-vous muette ? Devant cette question, Tara se mit à trembler. Depuis ce soir d'été où sa vie a basculé, Tara tente de survivre chaque jour sans le moindre espoir en perspective. Mais alors qu'elle séjourne au Khazban avec le personnel de sa clinique spécialisée pour un programme de réinsertion, elle doit faire face à l'une de ses pires craintes. Se retrouver en présence d'un homme. Un homme au regard dangereusement inquiétant. Au bord de la panique, elle décide donc de faire face à cet homme ombrageux qui l'observe depuis son fauteuil. Mais à peine eut-elle relevé les yeux qu'elle le regrette quand cet inconnu lui fait comprendre d'un simple regard, que cette rencontre ne sera pas dernière.

Radia rêve d'amour depuis son plus jeune âge, elle rêve de rencontrer l'Homme avec un grand H, celui qui bouleversera sa vie à tout jamais. Elle rêve d'énormes bouquets de fleurs, de dîners aux chandelles et de lune de miel. Lui n'est qu'« un petit con, un véritable trou de balle et un connard par excellence». Il a tout du prince pas très charmant. Mais les opposés s'attirent, n'est ce pas ?

J'observe ce qui m'entoure avec la nonchalance qui me correspond. J'observe ce putain d'appart qu'on partage à trois, Nayra ma grande soeur et Kader mon petit frère. Pas de parents en vu, vie tragique et merdique. A 12 ans j'ai été diagnostiquée comme "sociopathe", je ressens rien. Pas de sentiments, jamais de peine, jamais de joies. Corps sans vie, âme sans conscience. Terriblement seule. Et puis un jour il y a eu lui. « L'écume de ses jours » 1ère dans les fictions générales le 02/05 merci les girls