À 15 ans, Neyra peine encore à gérer sa vie, en raison de sa "différence". Le monde est ainsi, ceux qui ne sont pas comme tout le monde sont rejetés...telle est la société d'aujourd'hui. Mais comment faire pour comprendre, si tout ce que l'on vous à appris de votre enfance jusqu'à maintenant est en réalité...complètement faux ? Comment réagir alors que votre passé n'est que mensonge ? Bien décidée à découvrir ce qu'on lui a caché, Neyra va s'engager dans une aventure bien plus longue et dangereuse que ce qu'elle pensait... Supportera-t-elle la vérité ? Car cette dernière fait souvent bien plus mal que les mensonges eux-mêmes... Cette aventure n'est pas un jeu, la survit du monde en dépend.

Madji, un jeune homme de 28 ans, se retrouva sans aucun souvenir, dans un monde qui n'était pas le sien. Tout ce qu'il se rappelait, était que lors d'une descente vers l'une des plages sauvages de sa ville, il dû quitter ses amis pour se vider la vessie. Un petit singe, sautillait à travers les buissons, attira son attention puisque ce n'était guère courant d'en voir un dans cette région. Il le suivit jusqu'à ce qu'il se retrouve face à un grand arbre qui lui semblait bizarre et à la fois terrifiant. Puis, rien ! Le néant, le noir total ! Aucun autre souvenir. Il découvrit un monde hors norme, qui se résumait à une petite ile comprenant une Citée fondue dans un gouffre d'une falaise. Elle semblait moderne et d'une technologie avancée, dont le peuple habitant n'était que primitif et ignare mais possédant des capacités et des sens très développés pour de simples humains. En compagnie de la princesse Emeraude, fille du Roi Niaila, Madji vit des aventures tout en rebondissements, lui révélant d'autres mystères et d'autres secrets, en plus de celui qui lui hante l'esprit jour et nuit. Pour quelle raison était-il là et comment ? Entre les monstres géants, des animaux intelligents et parlants le langage humains et un peuple primitif, Madji ne sut où se donner la tête, surtout qu'il devait à tout prix retrouver le chemin vers son monde.

Nous les gros, pétillants de gaieté, de fraîcheur, de spontanéité, « je n'ai pas cité le mot légèreté », vous avez remarqué... qu'avons nous le droit de manger ? « Rien » et quand je dis rien, c'est rien.