keira141103
Je ne vis que pour toi mais tu combats la mort pour tous tes écrits. Tu oublies la réalité, aspiré par ta torpeur tu imagines vies et contrées dont tu es seul à rêver. Tu imagines, invente, écris, tu dessines du bout de ta plume et donnes naissance à tant d'univers, d'histoires et contes, de femmes et d'hommes... Tu es souverain créateur de ces romans mais prisonnier de ta propre ferveur.
Tu donnes vie à des personnages qui t'arrache la tienne.
Et moi je t'aime, enfin, je t'apprécies... Car comment aimer l'écrivain attaché à tant de ces récits?