Elle ne se sent plus partie intégrante de ce monde. Elle avance sans en avoir vraiment conscience. Tenir, oublier survivre... C'est la clarté et l'obscurité qui se battent en elle... Sur les marches de l'Université, voilà des jours qu'il l'épie à son arrivée le matin. Chaque fois, elle passe sans le voir, sans même lever les yeux vers lui. Il ne peux cesser de penser à elle, à cette jeune fille qui semble tellement absente de la vie autour d'elle. Elle l'intrigue... Découvrez le chemin du destin qui provoque la rencontre de ces deux âmes esseulées en un éclat inoubliable, poétique et inspirant : un Clair-Obscur. 🏵 🏵 🏵 (5 octobre 2018) Cette histoire est gagnante aux Wattys2018 dans la catégorie Heartbreakers (Les Bourreaux des Cœurs) ❤️🧡💙 :) Bonne Lecture Gaïa ;) © Brigitte Mousseau 2016 alias GaiaNovae Tout droits réservés et œuvre déposée Première publication 06/09/2016

Garance apprend que son ex-compagnon s'apprête à demandé sa nouvelle petite-amie en mariage le soir du réveillon de Noël, réveillon auquel elle est invitée. Pour éviter les regards de honte, elle s'invente une relation avec l'un de ses collègues de travail et d'une invitation pour Noël dans sa famille. Le nouveau venu, celui qui avait suscité les rumeurs et les commentaires sulfureux dès son entretien d'embauche dans l'entreprise, Joaquim. À la cantine, alors qu'elle exposait sa situation à deux autres collègues, il vient s'installer près eux et comprend qu'il est le sujet du mensonge de Garance. Il lui propose de venir dans sa famille et en échange de travailler avec lui sur un projet pour le travail. Elle ignore que Joaquim a vu l'occasion idéale de prouver à sa famille et à son ex-copine qu'il avait tourné la page et qu'il espère de plus être sollicité pour se remettre en couple avec cette dernière. Il propose même à Garance de se comporter comme un couple auprès de leurs familles respectives pour rendre l'illusion parfaite. Une complicité naît rapidement entre eux et leur rapprochement devient rapidement charnel, mais l'un comme l'autre refuse que les sentiments entrent en jeu. Lequel des deux craquera en premier ? Attention, cette histoire contient des scènes explicites, d'où le classement comme histoire mature ! Je préfère prévenir pour éviter de heurter la sensibilité de certains lecteurs. (Bien sûr ce type de relations entre les deux personnages ne seront pas présentes à chaque chapitre, mais quand elles auront une utilité précise dans la narration ^^).

Alma Blunt La première fois qu'il l'a aperçue ? Elle portait une culotte à froufrous, fun et envoutante. La première fois qu'il a espéré l'embrasser ? Elle venait de braquer son jardin et parlait à une plante. La première fois qu'il est tombé amoureux d'elle ? Elle lui tenait la main et se cachait avec lui dans les buissons. La première fois qu'il a voulu l'épouser ? Elle avait besoin d'un alibi. Et tout ça, c'était quand ? Il y a dix ans, dans la Villa des Quatre Saisons. Et depuis ? Tout a capoté. Lake Evans "Il a changé. Il est plus large d'épaules, sa mâchoire plus masculine, ses cheveux à peine plus longs que lorsque j'y promenais mes doigts. Ses lèvres sont toujours aussi tentantes, mais elles ne me sont plus destinées. Son regard noisette rencontre le mien et c'est plus fort que moi, j'ai envie de lui. J'ai beau lui en vouloir, et même le détester, mon corps choisit l'autre camp. Le sien. Vote à main levée, ou plutôt à tétons dressés." Little Crush, ou l'histoire oubliée de Little Hurricane et General Crush. --- © Tous Droits Réservés Œuvre originale publiée en deux mille vingt-deux par Naïs Blune.

Esther est sarcastique. Esther déteste le lycée. Esther hait le sport, les maths et les profs. Entre un père anarco-grognon, une mère complètement lunatique-intrusive, un frère surdoué et un beau-père collant, Esther écrit et parfois philosophe son quotidien de marmotte mortellement banal. Et en même temps Esther c'est la maladresse, c'est l'humour et l'ironie. Accompagnée de sa bande d'amis, Esther n'en a que faire du fléau de l'adolescence. Non elle, ce qu'elle veut avant tout, c'est sa liberté et gare à qui ose s'interposer! Écrit le 10 janvier 2019.